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( i saw you again, it felt like we have never met. it's like the sun set in your eyes, and never wanted to rise. ) ft. Gabriel Cholmondeley

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ϟ SORTILÈGES : 84
ϟ CRÉDITS : flares
ϟ PSEUDO : bigbadwolf, lise.
ϟ AVATAR : shelley hennig.
ϟ MES COMPTES : only this one.
ϟ ÂGE DU PERSO : 27 ans.
ϟ SANG DE SORCIER : Mêlé. Les Cholmondeley n'ont jamais été pur. Le premier sorcier de la famille est apparu il y a deux siècles, et depuis cette branche de la famille est sorcière (et n'a d'ailleurs plus aucun contact avec la famille moldue)
≈ PROFESSION : Si l'ont peut appeler ça sa profession... Adriana est une voleuse, plutôt connue dans la pègre et ce sous le surnom de Red Vulture, à cause d'une habitude étrange qu'elle a commencé à avoir de laisser une décalcomanie de vautour rouge sur la porte des endroits qu'elle a cambriolé. Une manière à elle de faire comprendre qu'elle était là et qu'elle ne se fera jamais attrapée. La jeune femme a un niveau d'arrogance assez impressionnant... Et puis le vautour est l'armoire des Cholmondeley.
ϟ STATUT CIVIL : Célibataire, Adriana a eut beaucoup de relations charnelles ou de plusieurs semaines, mais jamais rien de sérieux.
ϟ ANCIENNE MAISON : Adriana a été déclarée officiellement disparue, puis morte, à l'âge de douze ans. Elle a donc été désinscrite de l'école de magie Poudlard, alors qu'elle y avait fait une première année sous les couleurs rouge et or. Après, ceux qui l'avaient adoptés sont partis en France et elle étudia à Beauxbâtons.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : Sa baguette est en bois de cerisier. Elle mesure 24 centimètres et est souple. Elle renferme une plume d'hippogriffe et est prédisposée à la métamorphose.
ϟ DON MAGIQUE : Adriana est une animagus : elle se transforme en vautour.
ϟ LOCALISATION : Londres. La belle a beaucoup voyagé et est revenue dans son pays natale il y a de cela deux ans. Elle pensait que son frère était mort, lui aussi, dans le drame qui a secoué sa famille mais elle vient d'apprendre, par les médias, qu'il dirige toujours le groupe de leurs parents. Elle est dans la capitale, et refuse de la quitter avant de l'avoir retrouver. Avant qu'il sache, qu'il l'avait abandonnée, alors qu'elle n'était pas morte.
Adriana Cholmondeley
Adriana Cholmondeley
MessageSujet: ( i saw you again, it felt like we have never met. it's like the sun set in your eyes, and never wanted to rise. ) ft. Gabriel Cholmondeley ( i saw you again, it felt like we have never met. it's like the sun set in your eyes, and never wanted to rise. ) ft. Gabriel Cholmondeley EmptyJeu 3 Déc - 0:45



i saw you again, it felt like we have never met. it's like the sun set in your eyes, and never wanted to rise.

ft/Gabriel Cholmondeley

La nuit était noire, elle englobait Londres dans un voile opaque, rendant les allées et venues des passants difficiles à discerner. Une aubaine, pour la silhouette qui se déplaçait sans bruit dans les rues de la capitale. Chaussée de fines bottes à la semelle en caoutchouc, elle ne faisait aucun bruit. La brune ne voulait pas qu’on la reconnaisse, aussi elle portait une cape avec un capuchon qu’elle avait rabattu sur sa tête, couvrant ses courts cheveux châtains. Sa baguette à la main, cachée dans la poche de la cape, elle s’approcha du British Museum.

Aucun moldus ne le savait, évidemment, mais le British Museum n’abritait pas seulement un musée pour les moldus. Il y avait également un musée, presque de la même taille, pour les sorciers et ce sous le bâtiments moldu. A l’instar du ministère, il y avait des entrées pour les visiteurs, et des entrées pour le personnel. Adriana avait étudié toutes les manière de pénétrer à l’intérieur du bâtiment. Elle ne volait pas tous les soirs, ni même toutes les semaines car elle préparait ses coups longtemps à l’avance. Voler, chez les sorciers, était parfois plus facile que pour les moldus. Les sortilèges se déjouaient parfois plus facilement que des alarmes, du moins le pensait-elle. Sans sa baguette, elle n’était plus rien, rien du tout, même pas ce morceau d’âme un peu brouillon, franchement chiffonné, qu’elle était sans son autre… Elle secoua la tête d’un geste rageur, songeant à la haine qu’elle avait – ou voulait avoir – pour Gabriel, qu’elle avait cru mort mais qui ne l’était pas. Il était en vie, à la tête de leur empire et l’avait abandonnée. Elle dut s’arrêter devant la porte pour respirer et se calmer, avant de finalement déjouer les sortilèges qui l’empêcherait d’entrer sans déclencher une alarme magique. La jeune héritière travaillait longtemps, ces sorts étaient complexes et elle savait qu’elle n’aurait pas beaucoup de temps avant qu’ils ne se remettent en place d’eux-mêmes.

Sa patience finit par payer, cependant. Elle poussa enfin le portail magique et posa un pied dans l’enceinte du musée. Il était sien, désormais, et un sourire triomphant se peignit sur son visage. La brune se rendit alors dans la pièce qui l’intéressait. Dédiée à l’Amérique du Sud, elle y trouverait un talisman qui, elle le savait, plairait à l’un de ses meilleurs clients : Albus Potter. Après avoir déjoué quelques sortilèges simples (pour elle), elle tendit la main et le prit, sans aucune autre forme de procès. Elle le fourra dans sa large poche de sa cape, et prononça un sortilège pour métamorphoser un autre pendentif en l’exacte réplique de celui qu’elle avait volé. A la différence que celui-ci les quelques détails qui faisaient que la copie n’était qu’une copie, ces détails que même la magie ne pouvait pas reproduire. Adriana se rendit ailleurs, dans d’autres pièces, vola quelque chose pour un trafiquant qu’elle connaissait et puis vola une pièce pour elle, peut être, si elle devait faire fructifier son compte en banque déjà de mieux en mieux remplit.

C’est au bout d’une heure qu’elle ressortit. Elle prit alors sa baguette et prononça un sortilège pour taguer un vautour rouge sur la porte. Elle n’avait pas tout à fait terminé quand elle entendit un bruit derrière elle, qui la force à se retourner vivement, le visage dévoilé parce qu’elle avait retiré sa capuche. Son expression devait trahir la surprise qui l’avait envahie, et ce besoin presque vital de se précipiter dans ses bras, elle avait même amorcé un mouvement en sa direction. Gabriel… Mais elle leva la baguette juste sous son nez et son expression se fit plus dure, plus menaçante. Elle le reconnaîtrait entre tous, c’était son cœur qui voyait pour elle, et non pas ses prunelles, inutiles quand il s’agissait de son jumeau, celui qui avait naturellement le don de changer de peau. Le chanceux. Elle avait toujours aimé ce don, c’était à cause de lui qu’elle s’était passionnée pour la métamorphose, après tout.  « Je ne m’imaginais pas te retrouver comme ça, Gabriel. » Sa voix était faussement sèche, elle transpirait des accents de besoin qui l’avait presque trahie. Après avoir raffermi sa prise sur sa baguette, elle éructa. « Surprise, je suis encore en vie, grand frère. Mais toi, plus pour longtemps. » Si on la surprenait, elle tuait. Ce n’était arrivé qu’une fois, et l’acte de prendre une vie l’avait chamboulée trop longtemps, elle l’enfant jadis un peu trop candide, trop joyeuse, trop sensible, aussi. Et pourtant, elle le menaçait sans agir.
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ϟ SORTILÈGES : 275
ϟ CRÉDITS : wildworld
ϟ PSEUDO : k
ϟ AVATAR : nicolas simoes
ϟ MES COMPTES : just this crazy guy
ϟ ÂGE DU PERSO : twenty-seven y.o
ϟ SANG DE SORCIER : mêlé. le sang lui importe peu. lui c'est plus le niveau social et votre pour qui l'intéresse . si vous possédez quelque chose qu'il désire, vous êtes à coup sur son nouveau meilleur ami.
≈ PROFESSION : officiellement PDG de CME : Cholmondeley Magic Enterprises, c'est un empire immobilier qu'il espère faire fleurir encore plus surtout dans les domaines de l'art et la culture historique. sa dernière acquisition est un musée de Genève. officieusement, il est un des plus gros escroc de l'époque, son gros péché mignon pour l'art l'a poussé à mettre au point des fraudes incroyables pour acquérir des tableaux et sculptures de plusieurs millions de gallions.
ϟ STATUT CIVIL : gabriel est fiancé à une riche héritière. a t-il de l’affection pour elle ? disons qu’il affectionne plus le compte en banque et les relations de sa famille plutôt que le fait de devoir passer pour un amoureux transit. surtout quand il sait qu’il a perdu son coeur a l’aube de son adolescence.
ϟ ANCIENNE MAISON : serpentard. il a porté les couleurs vert et argent comme une seconde peau qu'il utilise aujourd'hui.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : 24,5 centimètres, souple, en bois d'épicea. sa baguette a un coeur en plume d'hippogriffe avec une prédisposition à la métamorphose.
ϟ DON MAGIQUE : il est métamorphage. il est né avec les cheveux rouge écarlate et il n’a jamais vraiment appris à maîtriser ses pouvoirs, du moins, pas avant la mort d’Adrianna. Il a cru avoir perdu ses facultés de métamorphoses les premiers mois après que sa maison ai brûlé mais a découvert qu’il avait au contraire réussi à les dompter quand en manque de sa jumelle il a pris son apparence devant un miroir.
ϟ LOCALISATION : a ce moment même à Londres préparant son prochain gros coup.
Gabriel Cholmondeley
Gabriel Cholmondeley
MessageSujet: Re: ( i saw you again, it felt like we have never met. it's like the sun set in your eyes, and never wanted to rise. ) ft. Gabriel Cholmondeley ( i saw you again, it felt like we have never met. it's like the sun set in your eyes, and never wanted to rise. ) ft. Gabriel Cholmondeley EmptyJeu 3 Déc - 3:29



i saw you again, it felt like we have never met. it's like the sun set in your eyes, and never wanted to rise.

ft/Adrianna Cholmondeley

Il a fallut plusieurs mois à Gabriel pour ce décider à voler cette sculpture. Au début, c’était la beauté de ce bout de glaise façonné qui l’avait intrigué. Cette façon dont un simple objet pouvait déclencher chez lui une telle émotion. Deux danseurs en terres, rassemblés par leurs extrémités si bien qu’ils étaient indissociable l’un de l’autre. Impossible de les séparés à moins de détruire les deux. Ironique et tragique à la fois. Tout semblait toujours le ramener à elle. Et puis la curiosité et l’émotion ont cédé la place à l’obsession et l’anticipation. Un désir ardent de possession. Il avait besoin de la sculpture. Il se devait de l’avoir près de lui. Sa passion pour ce bout de terre l’avait avalé vivant. Et sans même s’en rendre compte, il c’était mit à récréer une copie conforme. Pas de magie cette fois. Il emporterait sa sculpture avec lui et procéderait à l’échange comme un voleur moldu le ferrait. Un jeu. Oui, c’était devenu une histoire de passion et d’adrénaline, assez pour faire de lui une personne complète pour les quelques minutes de l’échange des deux bouts de terre.

Il penche sa tête en arrière, laissant ses yeux se perdre dans l’immensité du ciel. Il peut entendre les brouhaha venant des rues avoisinantes mais il est perdu dans sa tête. C’est son rituel. Il ferme les yeux et change de visage. Désormais il ressemble à un homme qu’il a croiser dans la rue il y a quelques minutes à peine mais suffisantes pour retenir l’ensemble de ses traits. Il enfonce les mains dans les poches de sa vestes noir encore plus profondément. Serrant dans son poings droit sa copie des danseurs tandis que les doigts de sa main gauche font rouler sa baguette. Il se prépare à faire tomber les charmes de la partie sorcier du musée et se récite encore une fois les sorts dans sa tête. Rien de bien compliqué mais une étape primordiale s’il veut acquérir la sculpture. Il a déjà visité le musée à plusieurs reprises, dans différents visages, assez cependant pour connaître les différents chemin qui menaient à son prix.

Gabriel baisse enfin la tête et se met en route. Il s’arrête un peu plus tard et tire de son manteau sa main gauche doté de sa baguette. Il prend son temps pour défaire les charmes. Rien ne presse. Il connait le musée par coeur. Les sorties d’urgences, le personnel de nuit, les tours de ronde - quand il y en a - il a passé des nuits à ce préparer pour ce vole et perfectionniste comme il est, il ne veut risquer aucune erreur, surtout pas quand il s’agit de lever les charmes du portail imposant qui entoure le bâtiment. Il penche son cou de droite à gauche, pour le faire craquer, un tic qu’il a avant de commencer une tâche qui lui demande de la concentration. Le brun inhibe finalement les défense du portail juste assez longtemps pour se faufiler à l’intérieur du musée. Après tout, il a tout calculer.

Il reprend son visage au moment même ou il entre dans une des pièces principales. Il a un sourire aux lèvres, étourdit par son impatience et son anticipation. Pourtant il marche lentement, il fait durer son plaisir parce qu’il sait que celui-ci s’éteindra dans quelques minutes à peine. Il regarde les autres objets autour de lui, espérant trouver quelque chose qui attisera sa curiosité et lui donnera un but pour les prochaines semaines. Et puis il ferme les yeux. Il se trouve à l’entrée de la salle qui renferme son cadeau de la soirée. Il respire profondément pour chasser toute trace d’impatience. Il est sur le point d’entrée quand un mouvement sur sa droite attire son attention. Un imprévu.

Ses pieds le mènent vers la forme mouvante comme aimantés. Il n’est plus maître de son corps et pourtant il n’est pas sous l’impulsion d’un impérium. C’est autre chose. Comme si son corps reconnaissait l’être dos à lui. Et de la même manière que son corps semblait attiré par le sien, la figure se tourna pour lui faire face et il en perdit le souffle. Son choc le fit reculer d’un pas. Un mouvement pour lui permettre d’accuser toutes les informations maintenant à sa disposition. Trop. Beaucoup trop d’informations. Impossible. Elle ne pouvait … elle n’était pas … c’est une illusion, elle est morte. Morte. Tu l’entends crier ton nom chaque soir comme un appel à l’aide. Elle a péri dans ce manoir que tu appelais maison. Elle ne peut pas … « Je ne m’imaginais pas te retrouver comme ça, Gabriel. » Non, c’est impossible. Tes yeux la supplient. Elle ne pouvait pas savoir. Elle ne pouvait pas savoir que tu étais vivant parce qu’elle ne t’aurais pas abandonné alors. N’est-ce pas ? Elle serait revenu vers toi. Elle aurait été à tes côtés. « Surprise, je suis encore en vie, grand frère. Mais toi, plus pour longtemps. » Une surprise ? Oui, c’est le cas. Sans doute la plus belle et la plus cruelle des surprises qu’on puisse te faire. Mais elle te convient. Parce qu’elle est en face de toi. Et parce qu’elle te menace de mort. La mort serait douce venant de sa main. Ne le sait-elle donc pas, tu préférerais vivre mille mort venant d’elle qu’une seule vie où elle n’existe pas. Et alors tu ris, un rire franc et audacieux. Un son qui n’a pas franchit tes lèvres depuis le jour de l’incendie. Parce qu’elle est vivante et qu’elle est juste en face de toi. Parce qu’elle va bien et qu’elle t’es revenu. Et surtout parce que ton coeur se retrouve entier. Alors tu murmures, tu chuchotes une prière et un souhait exaucé juste assez fort pour qu’elle l’entende. «  Adrianna »
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ϟ ÂGE DU PERSO : 27 ans.
ϟ SANG DE SORCIER : Mêlé. Les Cholmondeley n'ont jamais été pur. Le premier sorcier de la famille est apparu il y a deux siècles, et depuis cette branche de la famille est sorcière (et n'a d'ailleurs plus aucun contact avec la famille moldue)
≈ PROFESSION : Si l'ont peut appeler ça sa profession... Adriana est une voleuse, plutôt connue dans la pègre et ce sous le surnom de Red Vulture, à cause d'une habitude étrange qu'elle a commencé à avoir de laisser une décalcomanie de vautour rouge sur la porte des endroits qu'elle a cambriolé. Une manière à elle de faire comprendre qu'elle était là et qu'elle ne se fera jamais attrapée. La jeune femme a un niveau d'arrogance assez impressionnant... Et puis le vautour est l'armoire des Cholmondeley.
ϟ STATUT CIVIL : Célibataire, Adriana a eut beaucoup de relations charnelles ou de plusieurs semaines, mais jamais rien de sérieux.
ϟ ANCIENNE MAISON : Adriana a été déclarée officiellement disparue, puis morte, à l'âge de douze ans. Elle a donc été désinscrite de l'école de magie Poudlard, alors qu'elle y avait fait une première année sous les couleurs rouge et or. Après, ceux qui l'avaient adoptés sont partis en France et elle étudia à Beauxbâtons.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : Sa baguette est en bois de cerisier. Elle mesure 24 centimètres et est souple. Elle renferme une plume d'hippogriffe et est prédisposée à la métamorphose.
ϟ DON MAGIQUE : Adriana est une animagus : elle se transforme en vautour.
ϟ LOCALISATION : Londres. La belle a beaucoup voyagé et est revenue dans son pays natale il y a de cela deux ans. Elle pensait que son frère était mort, lui aussi, dans le drame qui a secoué sa famille mais elle vient d'apprendre, par les médias, qu'il dirige toujours le groupe de leurs parents. Elle est dans la capitale, et refuse de la quitter avant de l'avoir retrouver. Avant qu'il sache, qu'il l'avait abandonnée, alors qu'elle n'était pas morte.
Adriana Cholmondeley
Adriana Cholmondeley
MessageSujet: Re: ( i saw you again, it felt like we have never met. it's like the sun set in your eyes, and never wanted to rise. ) ft. Gabriel Cholmondeley ( i saw you again, it felt like we have never met. it's like the sun set in your eyes, and never wanted to rise. ) ft. Gabriel Cholmondeley EmptyJeu 3 Déc - 21:09



i saw you again, it felt like we have never met. it's like the sun set in your eyes, and never wanted to rise.

ft/Gabriel Cholmondeley

Il rit. Et oh ce rire, elle l'a aimé, tant et tant aimé. Il lui déchire le cœur juste un peu plus, encore assez pour qu'il saigne encore et que tout ce carmin s'étende, là, à ses pieds. Tâchant sa fierté, son amour, sa sensibilité. Chaque éclat de ce rire mi divin, mi diabolique est comme un éclat de verre, qui s'enfonce en elle, qui la fait souffrir davantage. Et puis son prénom, qu’il murmure, qu’il semble presque perdre dans un souffle, comme si c’était son dernier. Comme une prière, comme une dernière volonté. Elle tremble, la gamine. Elle a le bras qui tangue, mais elle se reprend et elle s’ancre sur le sol, les pieds un peu plus écartés, elle s’approche même et sa baguette est si proche de lui effleurer la peau. La chanceuse. « Tais-toi ! » Elle ordonne, elle a parlé fort, trop fort pour ce qu’ils sont en train de faire mais elle veut qu’il la croit forte. Elle veut qu’il voit toute la volonté qu’elle est en train d’y mettre. « J’allais le faire de toute manière. Te retrouver, tout récupérer, et… » Et quoi ? Petite sotte, et quoi ? Et n’attendre que de toi que tu me touches encore, songea-t-elle. Elle devait cligner des paupières pour ne pas faiblir, pour ne pas laisser les traitresses de ces émotions glisser contre ses joues. Adriana s’était mordue l’intérieur de la joue, son regard sombre lançait des éclairs et des appels à l’aide. Elle inspira longuement. Il n’était pas temps d’être faible, ici. Pas pour lui, plus jamais.

« Prend ta baguette, Gabriel. » souffla-t-elle en le regardant. « Bat toi. » Elle lui cracha cette injonction à sa belle gueule, comme pour lui dire, comme pour insinuer ‘bat toi comme tu ne l’as plus jamais fait pour moi’. Adriana était si persuadée qu’elle le détestait, avant de le revoir là devant elle. Elle avait élaboré tout un plan : trouver un journaliste qui ne résisterait pas au scandale que sa véritable identité ferait éclater. Publier une interview exclusive. Retrouver Gabriel, et tout lui voler. Tout reprendre, jusqu’à la dernière noise. Qu’il soit comme elle, sans le sous, misérable. Forcés à partager un lit avec un ami, parce qu’ils n’avaient pas l’argent d’en acheter un autre. Qu’il doive se reconstruire… Ou mourir. Elle avait tout prévu, la brune. Son plan était infaillible. Seul détail qu’elle avait occulté, parce qu’elle avait été trop en colère de voir que son autre l’avait abandonnée : elle l’aimait. Elle l’aimait plus qu’elle ne s’aimait elle-même. Il passait avant tout et tout le monde. Il était son ancre et elle avait longtemps dérivé, sans lui. Il était son tout, la moitié forte de son âme mutilée. Adriana répéta « Bat toi ! » une dernière fois, vivement, avec plus de force et de détermination. Elle devait le détester, il l’avait abandonnée.
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MessageSujet: Re: ( i saw you again, it felt like we have never met. it's like the sun set in your eyes, and never wanted to rise. ) ft. Gabriel Cholmondeley ( i saw you again, it felt like we have never met. it's like the sun set in your eyes, and never wanted to rise. ) ft. Gabriel Cholmondeley Empty

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