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house of the rising sun (odriam)

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house of the rising sun (odriam) Tumblr_mt2se4Wbew1qb6vvvo5_250
ϟ SORTILÈGES : 145
ϟ CRÉDITS : odistole (avatar), alaska (signature).
ϟ PSEUDO : alexandra.
ϟ AVATAR : ben whishaw.
ϟ MES COMPTES : celui-ci. /pan/
ϟ ÂGE DU PERSO : trente-trois ans.
ϟ SANG DE SORCIER : sang-mêlé depuis des générations, un fait oublié.
≈ PROFESSION : vétérinomage, il travaille pour le département des régulations des créatures magiques au ministère. priam a longtemps vécu en amérique du sud où il fut éleveur de dragons renommé.
ϟ STATUT CIVIL : célibataire, son coeur est un trou noir.
ϟ ANCIENNE MAISON : les bleu et argent, serdaigle ftw.
ϟ LOCALISATION : londres, capitale indomptée. il partage un appartement avec son parrain, odenath meyrink.
Priam Stoker
Priam Stoker
MessageSujet: house of the rising sun (odriam) house of the rising sun (odriam) EmptySam 28 Nov - 22:40



house of the rising sun

odriam
Le manteau de la nuit recouvrait la ville quand un éclair tomba sur une de ses ruelles, non loin d'Oxford Circus. La silhouette longiligne d'un homme au teint pâle apparut. Son visage était recouvert d'une cape noire, et il tenait de sa main droite une valise, et de l'autre la cage de son phénix, pour le moins secoué par le voyage. C'est non sans un pincement au coeur que le dresseur de dragons était de retour en Grande-Bretagne, un portoloin l'ayant conduit hors de Punta Arenas, au Chili. Le ciel parsemé d'étoiles éclairait Londres de sa faible lueur, spectacle magistral que Priam avait oublié. L'enfant du Cambridgeshire ne s'était rendu à la capitale britannique qu'à de rares occasions. Il écarquilla les yeux, et commença à marcher calmement dans la ville. La vie fourmillait autour de lui, l'emportant dans son tourbillon de moldus pressées. Il regarda tout autour de lui, avant de poser sa valise au sol, et de sortir un morceau de papier de sa poche, sur lequel il était inscrit : Odenath Meyrink, 221B Hurley Street, London, W1J 0BD UK. Priam relut le nom et l'adresse, avant de réaliser qu'il n'avait pas la moindre idée d'où se trouvait l'adresse. Le nom lui-même lui était inconnu, il s'était entrainé plusieurs fois à le prononcer pour éviter de sembler totalement ignorant une fois arrivé à destination. Priam sortit sa baguette de sa poche, et fit signe à l'animal de garder son calme. L'objet avait bien vécu : le bois était à présent irrégulier, presque fissuré. Il s'éloigna de la foule, et la brandit.

Au même instant, on entendit une forte détonation, et une lumière aveuglante jaillit du bout de la rue. Priam leva une main pour se protéger les yeux, et remonta sur le trottoir juste à temps. Deux roues gigantesques surmontées d'énormes phares s'immobilisèrent dans un crissement de pneus assourdissant. Stoker leva la tête et aperçut le bus violet à double étage qui venait de surgir du néant. Sur le pare-brise était écrit en lettres d'or : Magicobus. Le contrôleur s'adressa à lui. « Bienvenue dans le magicobus, transport d'urgence pour les sorcières et les sorciers en perdition. » Il rassembla ses affaires et s'empressa de monter à bord, tendant l'adresse au conducteur jamaïquen qui laissa échapper un rire gras. « On y va, Ernie ! » Le sorcier avait pris place sur un des fauteuils dépareillés de l'engin, et le bus fila à toute vitesse, évitant la circulation moldue avec une agilité toute magique. Quelques minutes suffirent pour que le magicobus s'arrête enfin devant la porte numéro 221B, Hurley Street. Le vétérinomage reprit ses esprits avant de rejoindre le trottoir à nouveau. Il s'assura qu'Ajax était toujours conscient, et se recoiffa brièvement, se fiant au reflet qui s'était esquissé sur une fenêtre. Le quartier typiquement moldu était calme, peut-être un peu trop à son goût, et la morsure du froid lui rappelait que l'Amérique du Sud était à présent bien loin derrière lui. Une peine pour un jeune aventurier, qui avait pris le plis de son parrain. Un parrain qu'il s'apprêtait à revoir après toutes ces années. Son coeur palpitait dans l'expectative de leurs retrouvailles. Priam prit une grande inspiration avant de sonner à sa porte.
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Invité
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MessageSujet: Re: house of the rising sun (odriam) house of the rising sun (odriam) EmptyDim 29 Nov - 22:43



house of the rising sun

odriam
Le courrier régulier, de ces lettres qu’il lit avec plaisir, l’écriture reconnue d’un filleul se trouvant à l’autre bout du monde. Vagabondage d’un enfant qu’il considère comme sien. Garçon dont le souvenir est gravé. Petit brun curieux qui courait toujours dans ses pattes. Les lettres sont conservées, retenues dans son bureau, comme d’autres, ces souvenirs importants dont il ne peut pas se détacher. Les objets ne sont rien, des passages, des acquisitions renouvelables. Mais pas ces mots, ces échanges, ces années à converser par papier. La plume et son importance. Puis les lettres se sont espacées. Dernières années difficiles pour Odenath. La reconstruction d’une vie, la peur de déranger un garçon avec toutes ses questions. Lui qui est là pour le rassurer, et non l’inverse. L’épaule d’un père, la présence. Chaque anniversaire était accompagné d’un cadeau, d’un trésor ramené de ses voyages. Babiole pour certain mais trésor pour eux, pour lui. Des écailles de dragon. Ces mortes retrouvées en chemin. Jamais achetées. Toujours récoltées. Un trésor à revendre qu’il a offert. Pour lui, pour le garçon qu’il considère comme son fils, comme l’enfant qu’il n’a pas eu. Onze années d’absence. Il se demande parfois si ils se recroiseront, si les routes finiront par s’étreindre. Souhait exaucé. Une lettre arrivée il y a deux semaines. Long voyage pour le volatile qui mérite le repos. Animal dévoré par un chat sournois. Quelques plumes restent, se dispersent, témoin d’un marathonien mort à l’effort. « Tu sais que c’est le cinquième oiseau que j’achète ? Ils ne sont pas tous comestibles… » Le dépit. Les mots adressés à un chat, oreilles levées, faussement attentif aux paroles du maitre. Animal pédant qui s’en retourne à ses activités. L’estomac plein. La lettre, elle, subsiste. Papier qui ne fait pas l’appétit du félin. Plusieurs mois maintenant qu’il n’avait pas eu de nouvelles de Priam. Le bonheur de retrouver son écriture, puis la surprise. Le retour à Londres. L’annonce d’un voyage, d’une demande d’asile mais la date est barbouillée, effacée, l’encre tachée de pluie. Même avec effort, déchiffrer est impossible. Demain, semaine prochaine, ou dans un mois ? Il ne sait pas, et lui envoyer un courrier serait inutile. Longue traversée jusqu’en Amérique.

Nuits de terreur. La dernière a été plus compliquée que prévue. Tue-loup qu’il n’avait plus en quantité nécessaire. Transformation et agressivité. Le corps vomit des plaies, suinte le sang qu’il efface d’une douche chaude. Alterne avec le froid, reprend le chaud, sans savoir ce qui convient pour apaiser la douleur. Baume qu’il applique sur les coupures les plus profondes, les griffes, les siennes. Sonnette qui le tire de ses pensées. Le corps manque la chute. Surprise d’un invité. Personne n’est attendu ! Chemise qu’il boutonne en vitesse, passe une cravate d’un nœud qu’il fait parfait. Réussite du mensonge. Les cheveux trempés, le visage tiré, des détails qui trahissent d’un sommeil douloureux. Coupure sur la joue non soignée. L’apparence est faussement impeccable. La porte s’ouvre. Préparation pour aboyer, assassiner un inconnu, de ces idiots qui viennent et toquent pour quelques paroles inutiles. La magie qu’il réfrène, l’envie de leur clouer la langue au palais.  La baguette crépite déjà. Prête pour la guerre mais le sort reste muet. Surprise à la silhouette qui se trouve sur le perron. Garçon qui n’a pas changé. Cette même silhouette trop fine. Ce gosse à l’aspect maladif. Gamin devenu homme. Un sourire gagne les lippes, étire le visage dans une expression agréable, éloigné de l’impassibilité habituelle. « Priam » Odenath ignore comment il doit réagir. Le prendre dans ses bras, baisser la tête, saluer de quelques mots. Des années qu’ils ne se sont pas vus. Et la lettre ! C’était donc cela les caractères effacés, l’encre baveuse. « Entre… tu ne vas pas rester dehors » Il s’écarte, laisse passer le plus jeune. Finalement, l’affection est reléguée, masquée. Pour quelques secondes. Gosse attrapé dans ses bras. Petit brun qu’il enserre et abandonne aussitôt. Gène du geste non approprié. « Je ne savais pas que tu venais… disons que ta lettre précédente a subi quelques intempéries, donc la moitié était illisible »  
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ϟ ÂGE DU PERSO : trente-trois ans.
ϟ SANG DE SORCIER : sang-mêlé depuis des générations, un fait oublié.
≈ PROFESSION : vétérinomage, il travaille pour le département des régulations des créatures magiques au ministère. priam a longtemps vécu en amérique du sud où il fut éleveur de dragons renommé.
ϟ STATUT CIVIL : célibataire, son coeur est un trou noir.
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Priam Stoker
Priam Stoker
MessageSujet: Re: house of the rising sun (odriam) house of the rising sun (odriam) EmptyLun 30 Nov - 21:35



house of the rising sun

odriam
Priam avait à nouveau laissé toute une vie derrière lui, sans compter ses précieux dragons, à jamais évanouis dans les Andes. Les étreintes sincères et les sourires sans retenue, il les avait appris au Chili. Il y avait trouvé une chaleur rarement rencontrée en Angleterre, loin de la magie noire et des inféris. Il s'était essayé au chamanisme, tout en étudiant les espèces les plus exotiques, un rêve d'enfant pour le serdaigle qui perfectionnait ses connaissances en zoomagie à la lueur d'une bougie. Priam avait vécu bien des aventures, et son retour ne pouvait être qu'un échec cuisant. Quelques jours auparavant, dix années de recherche s'étaient retrouvées décimées par le feu, fruit inattendu d'une des créatures la réserve. Une nouvelle qui l'a dévasté, au moment même où se produisit l'internement de Belladone. C'est son parrain qui le lui appris au cours d'une de leurs correspondances. Leurs échanges de lettres n'avaient fait qu'accroitre au cours de la dernière décennie, jusqu'à ce que le vétérinomage manque de temps pour se confier. Des bouts de pensée auxquels il s'était raccroché comme un naufrager. Egon était une figure paternelle fugitive. Son absence n'avait fait que renforcer le mythe que Priam s'était construit. Un idéal de vie et de courage, fantasme nourri par des présents envoyés des quatre coins du monde. Il se souvenait du sentiment d'admiration qui l'enveloppait lorsque le russe le prenait sur ses genoux pour lui conter ses périples. Les yeux vert bouteille du gamin se perdaient toujours dans les siens. Des moments importants, en ce jour encore le sang-mêlé se souvenait de chaque récit de ses vagabondages. Dès son plus jeune âge, il lui avait appris l'amour et la compassion, l'ambition et l'audacité. C'était lui qui l'avait éveillé au soin aux créatures magiques, c'était auprès de lui qu'il souhaitait retourner après Punta Arenas.

La porte s'ouvrit, et son souffle se coupa. Il était là, face à lui. Son visage lui extirpa un sourire timide, lourd de signification. Priam s'efforça de retenir son émotion, le sorcier s'apparentait à un mirage. Il avait rêvé cet instant mille-et-une fois. Un rire désuet s'échappa de ses lèvres face à la gêne paralytique du parrain, qu'il partageait tout autant. Pourtant il lui tendit les bras et partagea avec lui une étreinte, qui remplaça celles qu'ils n'avaient pas pu s'offrir. Il s'arrêter un instant pour contempler les rides sur son visage. Lui le magnifique, l'âge lui allait si bien. Les yeux d'ambre restaient porteurs d'une lueur particulière. Le sorcier remarqua stupéfait que l'homme avait vécu, des expériences qu'il n'a connu qu'au-travers le papier et la plume, et l'âge qui n'a plus tant d'importance entre les deux. Des conversations qu'ils peuvent enfin tenir. « Egon, c'est vraiment toi. » Une pause. « Ou devrais-je t'appeler Odenath ? » La question est à double tranchant, il n'a pas bien saisi la raison de son changement d'identité. Lui voit toujours les traits de l'homme qui l'a élevé. « Quoiqu'il en soit, heureux de te retrouver, parrain. » Il passe le pas de la porte, et aperçoit non un félin s'agiter autour de la cage d'Ajax. Priam se contente de lui envoyer un morceau de viande sèchée, oublié au fond de sa poche. Il en gardait sur lui pour son élevage. « Je ne pensais pas venir à l'improviste, je peux toujours me trouver une chambre d'hôtel. » La lettre illisible, il aurait dû y penser. L'expression au visage trahit son malaise, il ne souhaitait en aucun cas l'importuner. Il se contente d'empoigner à nouveau sa valise et la cage du phénix, paré pour faire face à une Londres intimidante pour un gamin de Godric's Hollow. « J'ignore encore combien de temps je vais rester. Le ministère m'a offert un emploi, pour la cellule de chasse aux loup-garous. » Tragédie grecque qui s'annonce.
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MessageSujet: Re: house of the rising sun (odriam) house of the rising sun (odriam) EmptyLun 7 Déc - 16:39



house of the rising sun

odriam
Retrouvailles. Le garçon considéré comme son enfant, sien. Celui qui n’est pas né, dévoré. Priam devenu substitut à ce qui ne sera jamais. L’étreinte est maladroite, teintée de souvenirs disparates, d’émotions emmêlées. Des années sans se voir, des années par l’écrit seulement. Les nouvelles dispersées, envoyées, le monde découvert. Gosse perverti pour le gout du voyage. C’est à lui de raconter ses aventures, de montrer les carnets, de conter les rencontres, les fabuleuses. Priam sur ses traces. C’est la fierté du père qu’il n’est pas, l’égo ratatiné par un prénom prononcé. Egon. C’est au passé, c’est le malheur imprimé, la terreur ressassée. S’expliquer serait une bonne idée, fournir des mensonges, de quoi apaiser la curiosité pendant un temps. Qu’il ne cherche pas, que pour une fois il ne demande pas la raison. Prière silencieuse. « Odenath… Egon est… un souvenir » Egon l’assassiné, le prince dans la boue. Le prénom est une douleur à entendre. L’autre qui se moquait, le grincement des dents. Egon. Egon ! Il ne peut plus l’entendre. Plus un prénom, mais un mot, un rattachement à vermine, souillure, chien, saleté. Odenath détaille, observe celui qui n’a pas changé. Toujours l’allure frêle, la brindille qu’il craignait d’écraser. Un moqueur agite les lippes. L’oiseau devenu proie pour le chat, curieux qui s’est faufilé à l’entrée, observant ce qui ne sera pas son repas. « Il est friand d’oiseau… garde le tien en cage, sinon tu ne retrouveras que des plumes pour souvenir » Somptueux qui se tient entre des barreaux. Phénix. Rareté qu’il serait malheureux de savoir dans l’estomac d’un félin.

Le laisser à la rue, prendre un hotel, disparaître encore une fois de sa vie ? Idée odieuse. « Il me semble que j’ai assez d’espace pour t’héberger, tant que tu ne caches pas un dragon dans ta valise » La maison trop grande, les pièces sans fin, les enfilades de couloirs. Le vide qui renforce la solitude, l’absence de décoration, les meubles maladroits. C’est la sensation que personne n’y vit, que rien n’est permanent dans cette maison. Propriété. Une chambre, il peut lui en donner une, à durer indéterminée. Neveu apprécié. Compagnie qu’il ne pensait plus possible.

Et tout s’effondre.

Le corps pivote, serpent dardant les ambres contre le plus jeune. Le poste annoncé. Le corps se crispe, se tend d’une terreur précipitée. L’ironie magnifique ! Le neveu en poste pour l’arrêter, le seul en qui la confiance existe… devenu ennemi. Destin moqueur. « Je pensais qu’ils t’offriraient un poste moins… dégradant » Les mots sont retenus, l’intonation qu’il tente de contrôler, mais la colère est là, doublée de la peur. Priam en charge d’assassiner les siens, de le dépecer, lui. « Je pourrais essayer de t’obtenir le contrôle des dragons, si tu préfères t’occuper de créatures plus admirables » Feindre que les loups-garous sont des animaux, des dangereux, des atrocités. Mentir et se vêtir du costume d’un sorcier. Lui qui se veut humain et non pas chien. Le rappel est pourtant là, le cou enserré. Les marques à la chair. Les propos ricochent toute la journée, de ces langues se plaignant des ravages, demandant la décapitation nette de tous les mordus. Frissons à l’échine quand les discours sillonnent à ses tympans. Odenath s’écarte, commande au plus jeune de le suivre dans le dédale des pièces. Les portes closes. Sinistre endroit aux plafonds trop hauts. Angle gauche, dernière pièce. Chambre offerte. « Je te laisse t’installer et après, je veux le récit de tes dernières aventures… laissons le Ministère pour d’autres conversations » Le garçon laissé seul. Le salon rejoint. Un poing qu’il abat contre le mur, à la fureur de la nouvelle. Priam sur ses traces, Priam devenu une cible.

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