âge, date et lieu de naissance — Autrefois beau comme un dieu, arrogant comme le dernier des petits cons, Atticus a dû se faire une raison il y a deux mois de ça. On le disait faire bien plus jeune que son âge, écumant  sa vingt-deuxième année, il a à présent des rides détruisant ce visage angélique et un calme morbide dans ses yeux là où dans le passé une lueur malicieuse se cachait. Il a vu le jour à ste mangouste, à londres, sa ville natale pourrait-on dire, c'est seulement là qu'il peut jouir  d'une entière tranquilité, loin des journaux et des vipères qui s'amusent sur son accident. On ne peut pas dire qu'il a embrassé le calme profond d'un sage, mais de ce gamin surexcité et extraverti et redevenu ce mirage discret et introverti qui ne converse plus qu'avec sa solitude. Il a recraché du CO2 pour la première fois un douze septembre. nationalité et origines — Il a toujours débordé d'imagination, s'imaginant parfois que du sang français ou encore allemand lui coule dans les veines, il est très vite tombé de son nuage de rêves pour s'acclimater avec sa réelle nationalité. Il a épousé la nationalité anglaise dès sa naissance, sa famille n'a jamais bougé de ces terres ancestrales qu'Atticus connaît jusqu'au bout des doigts. Le jeune homme est fier d'être anglais, mais déplore le peu d'originalité de ses ancêtres. sang de sorcier — On lui dit souvent un sang-pur alors que celui-ci n'a finalement plus aucune importance. Il ne comprend d'ailleurs toujours pas la guerre que pouvait mener certains individus pour prouver la supériorité de cette race dite pure. Il n'en est pas fier, comme il n'en a pas honte. Le sang est rouge, il est le même chez chacun et Atticus est pratiquement sur que son sang ne fait pas de lui ce qu'il est aujourd'hui, son talent lui vient de sa tête et son esprit et non pas des hémoglobines qui gravitent dans son corps. Il juge une personne de part son âme et son intelligence plutôt que par ses ancêtres.profession — Il y a deux mois de ça il était encore une vedette sur un balais, sweetheart de ces dames, et faisant la une de beaucoup de magasines, Atticus était un joueur de Quidditch professionnel faisant la fierté de sa nation et de son nom de famille. Contrairement à beaucoup d'autres personnes, Atticus à toujours tenter de se différencier de son nom de famille célèbre dans le monde magique, son père étant ministre, il n'a jamais été ce fils encourageant et parfait aux yeux des médias. Malgré son talent, il était bien plus connu pour ses bêtises et les scandales qu'il engendrait. Atticus ne fait pas les choses à moitié, et il l'a plusieurs fois prouvé sur un terrain de Quidditch, mais il lui arrive, et ça très souvent, de dépasser les limites de son propre entendement. C'est à cause de son impulsivité qu'il est d'ailleurs tombé de son balais pendant un match qui fait de lui un joueur de Quidditch retraité à présent. Ca le brise, l'épuise, le fatigue, et tout ce qu'il a trouvé de bon à faire, c'est se cacher, et s'introvertir dans sa bulle de solitude ignorant tout de l'actualité. maison à poudlard — à mettre ici  statut civil — à mettre ici parcours scolaire — à mettre ici baguette magique — à mettre ici patronus — à mettre ici épouvantard — à mettre ici amortentia — à mettre ici localisation — à mettre ici don magique — à mettre ici qualités et défauts — à mettre ici signe distinctif — à mettre ici faits notables — à mettre ici groupe — à mettre ici

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Son cœur battait la chamade alors que sa bouche pincée et son regard lasse tentait de prouver le contraire. C'était un vile tentateur Atticus, un de ces garçons qui savait qu'une fille lui plaisait sans jamais le montrer, Denebe elle était belle, presque féérique, elle avait ce regard froid, ces iris malicieuses et un rire envoûtant, elle était tout ce qu'il désirait au plus profond de son être. Elle était pourtant aussi sa meilleure amie, celle qui berçait ses journées et hantait ses nuits. Ils étaient comme les deux doigts de la main depuis leur première année, elle avait un talent indéniable sur un balais, il la jalousait parfois pour ça. Elle était la dame de tous ces hommes accroupis à ses pieds bavant devant sa beauté froide, sa beauté presque imperceptible tant que la reine des glaces la cachait. Parce qu'elle était sa reine des glaces, parfois même sa seule raison de vivre, il se sentait stupide de sentir son cœur manquer un battement quand elle rentrait dans la salle commune un sourire secret mué sur ses lèvres douces. Combien de fois avait-il rêvé d'avoir ses lèvres rien que pour lui ? De pouvoir les caresser du revers d'un doigt tout en lui chuchotant secrètement qu'elle lui appartenait ? Combien de fois avait-il songé à passer ses mains dans ses cheveux avec comme seule possession son cœur et son âme ? Atticus était puéril, mais c'était un garçon puéril amoureux. Ils s'étaient déjà volés des baisers, la bouche en cœur, le sourire aux lèvres avec comme excuse qu'ils étaient fous l'un de l'autre pour quelques minutes pour forger leur expérience, apprendre à embrasser ou à rire comme des abrutis heureux. Combien de fois avaient-ils eu à l'esprit qu'un lit se trouvait non loin d'eux et qu'ils étaient fous de ne pas en profiter et de s'arracher mutuellement les habits qui cachaient leurs corps acharnés ? Combien de fois avaient-ils voulu s'avouer qu'ils étaient des âmes-soeurs, des amoureux transis sans jamais en avoir le courage ? Atticus était maladroit quand il s'agissait de parler de ses sentiments, il aimait la logique, il aimait plus que tout sa propre personne et sa dignité, il n'aurait pas une seule seconde supporter la voir se refuser à lui. Savoir que ses sentiments à lui n'était pas réciproques. Il se préservait d'un cœur brisé, tout comme elle. A la place de quoi il allait voir ailleurs, courait de jupon en jupon avec dans l'âme la même barrière, celle qui lui disait qu'aucune de ces filles n'était pas Denebe. Ca la fatiguait de savoir qu'elle était le déclencheur de ses émotions les plus futiles, qu'elle était sa meilleure amie et en même temps la femme de sa vie. « Qu'est-ce que tu fais ici tout seul ? » Elle venait de se poster devant lui, de le regarder avec la même mine sournoise, elle était coquine Denebe, elle savait ce qui le rendait complètement fou. Il fit claquer sa langue contre son palet avant de se redresser sur le canapé. « Je t'attendais, où est-ce que tu étais ? » Il l'avait attendu, tout en sachant pertinemment qu'elle était avec un garçon, de savoir qu'elle l'avait très certainement embrassé et qu'elle s'était abandonnée à lui, lui donnait la nausée et l'envie de tout casser. Mais il ne disait jamais rien, jamais il ne montrait que la jalousie le consumait. « J'étais dans la salle sur demande. Tu n'avais pas besoin de m'attendre Ticus, je peux très bien m'occuper de moi-même, seule. » C'était la même remarque qu'elle lui disait à chaque fois qu'elle sortait avec un garçon, à chaque fois elle semblait vouloir lui faire comprendre quelque chose : elle n'avait besoin de rien, seulement de sa propre personne. Indépendante, insolente et presque surdouée, elle était la marionnettiste de son cœur, de sa tête et de ses actes. Il était faible, Denebe était sa seule faiblesse, l'envoûteuse, la sorcière cantatrice, la sirène propriétaire de tant d'âmes et particulièrement de la sienne. « Je sais, mais je préfère savoir que tout va bien. » Il fît un bref geste de la main comme pour mimer que cette situation puait la normalité suprême. Elle n'était pas idiote, mais Atticus était malheureusement très bon comédien. Elle s'allongea à côté de lui, il pouvait sentir sa respiration glisser le long de sa nuque, il s'empêcha d'y penser mais un frisson parcourut son échine. « Je vais partir Ticus, je vais partir loin. » Elle avait l'ambition de devenir joueuse de Quidditch, Atticus l'encourageait, mais il avait peur, il était terrifié de la perdre, elle était son seul point d'attache, son ancre qui l'empêchait de fuir. « Et tu veux aller où ? » Il connaissait déjà la réponse, celle qui lui glaçait le sang à chaque fois qu'elle osait lui avouer. Elle partait parce qu'elle n'en pouvait plus de cette Angleterre morose et ennuyeuse. Elle voulait quitter le continent pour partir à l'aventure, curieuse, malicieuse, elle avait besoin de s'échapper, de vivre une nouvelle vie, recommencer tout à zéro. « Je vais aller en Russie. » Il grimaça, mais ne dit rien, il y avait de bonnes équipes de Quidditch et s'il ne partageait pas la même passion il lui dirait sûrement de rester, mais il l'aimait trop pour représenter la prison qui l'empêcherait de partir, il l'aimait trop pour l'empêcher de suivre ses rêves. Alors il ferma les yeux et profita de ses derniers instants, de ces derniers jours avec son âme-sœur.

Avec un simple revers de main il envoya le cognard vers l'un de ses adversaires avec une facilité presque décadante. On disait très souvent qu'Atticus était fait pour ce métier, il était fait pour voler sur un balais et se faire bouffer tout entier par l'adrénaline que lui provoquait ce sport. Il sentit les lames coupantes du vent venir fouetter ses joues, mais son attention était posée sur l'attrapeur de son équipe qui venait tout juste de repérer le vif d'or. Le jeune homme tourna les yeux vers son partenaire et hocha de la tête comme pour lui dire qu'il fallait qu'ils couvrent les arrières de leur collègue. Atticus descendit en pique vers le sol sans même ressentir une once de peur avant de remonter le manche de son balais avec grâce et concentration. Il faisait très souvent le malin, faisant croire au monde entier qu'il savait mieux que tout le monde, qu'il était en quelque sorte un petit prodige, le visage de l'Angleterre, c'était un piètre pitre, en revanche à balais il savait se montrait ingénieux et prouvait son intelligence qu'il aimait parfois masquer devant les médias. On le prenait pour un playboy, un gamin perdu dans les jupons des femmes qui n'avait d'intérêt que pour les courbes fines de la gente féminine, or tout ça n'était alors qu'une illusion. Atticus pouvait voler autant de baiser qu'il voulait, jamais il n'oublierait la seule femme qui semblait lui avait voler son coeur. Cela faisait depuis la sortie de Poudlard qu'il n'avait plus revu Denebe, depuis cinq ans qu'il pensait à elle comme si elle s'était envolée à tout jamais. Plus de nouvelle, aucune lettre, aucun hibou n'était venu toquer à sa fenêtre pour lui faire part d'un mot que sa douce aurait pu lui envoyer. Au fond il la haïssait pour être partie, pour avoir disparue comme une voleuse, mais c'était son choix et il comprenait son ambition, son désir de reprendre tout à zéro sans regarder en arrière avec lassitude. Atticus reprit conscience quand un cognard se dirigea droit vers lui, il eut à peine le temps de lever le coude que la balle infernale vint cogner contre son épaule droite. Il vacilla sur son balais, mais tint bon en s'accrochant de toute ses forces au manche. Atticus avait repris de l'altitude, s'il tombait maintenant il se casserait plus qu'une jambe, il se broierait les os. Il avança un peu tout en reprenant ses esprit et oubliant complètement la douleur lacérante dans son épaule droite. Il serra les dents et mit sa batte dans sa main gauche, sa main droit étant paralysée par le coup du cognard. Le jeune homme prit de la vitesse et tapa dans le second cognard avec haine, celui-ci vint s'écraser contre le balais d'un de ses adversaires, un petit sourire malin se mua sur ses lèvres. Il continua à faire ses rondes, il leva les yeux vers le public et pendant quelques secondes il crut voir le visage de Denebe, celui dont il avait tant rêvé, il tenta de s'approcher un petit peu plus, et de visualiser la foule, mais c'était peine perdue, le visage qu'il avait si bien connu, venait de disparaître à nouveau. Cette disparition fût le coup de grâce. Il ne vit que les bouts de son balais s'envoler au gré du vent, et sentit son corps tomber dans les vide, la boule au ventre, le cœur battant, il entendit un simple crack après sa chute. (…) Son cerveau martelait contre son crâne, il tenta d'ouvrir les yeux, mais la douleur était trop abondante. Il tenta de se relever un peu, mais son corps était comme paralysé. « Monsieur Fawley, comment vous sentez-vous ? » Atticus grogna avant d'ouvrir un œil, puis le second, il était dans un lit d'hôpital, et même s'il ne se souvenait pas exactement de ce qu'il venait de se passer, il comprit que c'était bel et bien effroyable. « Comme si on venait de me rouler dessus avec le Poudlard Express. Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Quand est-ce que je vais pouvoir rejouer ? » Il était agressif, froid, sur la défensive, mais son monde venait de s'écrouler, c'était par sa faute qu'il n'avait pas vu le cognard arrivé, c'était à cause de son fichu esprit, de sa fichue tête. C'était à cause de Denebe. « Votre jambe gauche est fracturée à douze endroits différents, l'os de l'humérus de votre bras gauche est cassé et votre colonne vertébrale a reçu un sérieux choc. Rien qui n'est pas soignable. En revanche, et je suis désolé de vous l'annoncer de cette manière, je ne suis pas sûre que votre jambe se rétablira complètement, il faudra juger de son état pendant la rééducation. » L'envie de vomir vint s'immiscer au fin fond de son estomac avec la même intensité que son envie de pleurer, de chialer comme un enfant, comme un gamin qui venait de perdre sa raison de vivre, sa passion. « Vous êtes en train de me dire que je ne pourrais plus jouer c'est ça ? » Il laissa sortir un petit sanglot tout en chuchotant les derniers mots, ça faisait mal, plus mal encore que la douleur dans sa jambe. C'était comme si on venait de lui arracher sa tête, ses membres et qu'on le forçait à marcher. « Nous ne savons pas encore, tout dépendra de l'état de votre jambe. Maintenant reposez-vous, votre famille vous rendra visite un peu plus tard. » Le médicomage s'en alla. Atticus pleura comme un enfant pendant quelques heures avant de s'endormir profondément dans un sommeil sans rêve.

Atticus regardait le plafond de sa chambre avec dédain, il était devenu froid ce gamin au cœur grand comme l'Asie, il était devenu morose alors qu'il était toujours le premier à rire, il avait perdu de sa malice, celle-ci remplacée par son ennui et sa nonchalance. Il ne laissait plus personne lui rendre visite, mise à part sa grande sœur, c'était la seule personne qui lui restait réellement. Le jeune homme avait tourné le dos à son père et de ce fait aussi à sa mère, il évitait de revoir ses anciens amis qui lui rappelaient trop de souvenirs douloureux, et bien sur plus aucun journaliste ou membre des médias, ils étaient la peste, et Atticus ne pouvait agir avec passivité quand on lui posait des questions sur son accident. Il marchait encore avec deux béquilles, on lui disait que sa jambes guérissait plutôt bien, mais il n'y croyait pas, il avait bien entendu perdu sa place dans son équipe et le monde se fichait bien de lui et de ses problèmes. Il se mordit la lèvre pour éviter de pleurer à nouveau, quand est-ce qu'il était devenu ce modèle de faiblesse ? Dès le jour où on lui avait expliqué qu'il ne pourrait sûrement plus jamais monter sur un balais. On avait beau lui dire qu'il y avait encore de l'espoir et que sa carrière n'était pas terminée, mais il avait du mal à le croire, à ressentir encore de l'espoir. C'était comme si son cœur s'était vidé, il s'était dégonflé, ses tripes étaient faites de lâcheté et son cerveau de pessimisme. Il était redevenu cet introverti naïf, celui qui croyait qu'en restant enfermé dans son appartement le monde l'oublierait. Il était à l'agonie et chaque journée était plus longue que la précédente. Atticus entendit quelqu'un toquer à sa porte, il fît la moue, mais se leva tout en shootant contre quelques cartons de pizza et des verres sales. Il ouvrit la porte en grand, mais resta sous le choc lorsqu'il vit le visage de la personne en face de lui. « Qu'est-ce que tu fais là ? » Demanda-t-il à l'inconnue devant lui. Elle était devenue une inconnue, la seule personne qu'il avait cru connaître par cœur. Denebe. Mais qui l'avait profondément déçu. Il sentit un pincement dans son cœur, mais n'y fît pas attention. Elle le poussa de la porte d'entrée et entra dans l'appartement. « C'est le bordel et ça pue. » Il voyait cette lueur bestiale dans ses yeux, celle qui le demandait au défi, celle qui voulait revoir son meilleur ami tel qu'il était avant. « Cinq ans sans nouvelle et c'est tout ce que tu trouves à dire ? » Il avait craché ça, comme s'il crachait du venin. Atticus n'était pas bête, il savait qu'il entrait dans son jeu, elle voulait le provoquer, l'énerver, le problème était que depuis deux mois il n'était plus que colère et haine. Rien de nouveau, juste un sentiment ressasser et amer. « J'ai entendu parler de ton accident. Il paraît que tu vas peut-être pouvoir remonter sur un balais. » Son sang se glaça, Denebe n'avait jamais été cette fille pleine de tact, au contraire, elle avait toujours été franche avec Atticus et il comptait lui rendre la pareille. « Ca te regarde définitivement pas. Et si tu me disais ce que tu fous là pour qu'on coupe court à cette conversation ? » Il la fusilla du regard, il en avait marre d'entendre toujours les mêmes mots : tu vas remonter sur un balais, ta jambe va guérir, tu verras. L'espoir c'était pour les cons, et il n'en était définitivement plus un. « Tu es toujours aussi charmant. Je venais t'annoncer que je suis la remplaçante de ton poste dans l'équipe. Je préfère que ce soit moi qui te le dise plutôt que tu l'apprennes par quelqu'un d'autre. » Atticus sentit son cœur manquer un battement, il y avait un remplaçant de son poste, c'était naturel et il avait refusé de savoir qui reprendrait la place définitivement, de savoir que Denebe serait celle qui tiendrait sa batte entre les mains, qui jouerait les matchs qu'il aurait dû gagner, firent ressurgir toute la haine qu'il avait pu amassé contre elle ces cinq dernières années. « Tu veux quoi? Une médaille peut-être? Tu peux aller te faire foutre Denebe. Cinq ans sans nouvelle, cinq ans que je me demande si tu vas bien, ce que tu fais, cinq ans que j'attends toujours cette putain de lettre où tu me donnes des nouvelles. Cinq ans, et tout ce que tu viens me dire c'est que tu prends ma place ? Je pensais être lâche, je pensais vraiment que j'étais le dernier des cons, mais t'es bien la dernières de toutes les connes. J'espère que tu te briseras la jambe. » Il la repoussa vers la porte d'entrée, et la ferma devant son nez dans un claquement assourdissant. Il reprit sa respiration et se laissa lentement et délicatement glisser contre le mur froid avec une colère noire au fond de ses yeux. Quel bon à rien.