âge, date et lieu de naissance — Treize janvier mille neuf cent quatre-vingt treize. Trente-sept ans.Un instant de plaisir. Un soupir extasiant. Un râle d'aboutissement. Puis plus rien, plus rien si ce n'est neuf mois d'une gestation pleine d'un plaisir qui s’en-fut lors de l'écoulement des eaux. Les cris reviennent, encrés dans la douleur de l'enfantement. C'était un mercredi, mais personne n'est plus pour s'en souvenir.  nationalité et origines —Angleterre, Londres.  Comme une réminiscence d'un passé glorieux, vieux souvenirs qui se font de plus en plus vivaces à mesure que le temps passe. Plein de ces ciels anthracites, de ces nuages pluvieux qui déversent leur peines sur les pavés noircis. Les lamentations s'écoulent dans les caniveaux comme les larmes qui se fondent dans la pluie. Il n'est pas temps de se perdre dans les danses de désolation, il faut vivre. Vivre avec son temps, vivre avec le temps. sang de sorcier —Sang mêlé. La famille est vieille, les descendants nombreux, mais bien moins nombreux sont ceux pouvant se targuer d'être encore vivants. Si peu nombreux qu'aujourd'hui il n'en reste pas plus qu'une poignée de doigts arrachés. Vestige perdu d'une famille désolée. Ruines déconstruites d'une folie mortelle. profession — Psychomage. Psychiatre pour Sorcier. Relents infernaux de quelques maux qui résonnent quand tout déraisonne. Rouages sortis de leur axe pour mieux dérégler une machine aux airs de métronomes. Rien de plus que quelques écho perdu dans les vides ou les trop pleins de ces esprits hantés. Il se fait voix douce, chaleureuse, jamais trop inquiète mais devient se baume aux cœurs dont tout un chacun ne peut plus se défaire. Obsessions malheureuses. Passions obséquieuses. maison à poudlard — Serdaigle. Ombres grandissantes qui planent sur les esprits et les corps, qui se font gardiennes autant que menaces. Les voilà les grands aigles qui tournent et virent autour des hautes cimes. Les voilà les grands oiseaux majestueux qui chantent à qui veut l'entendre leurs odes aux écueils à venir. statut civil — Marié. Douceur d'un corps alangui, courbes extasiées sous les affres des ébats. L'anneau d'or brille au feu de leurs passions, s'éteint sous les accoues de leurs heurts. Ils sont ainsi faits, ainsi forgés dans leurs amours dévorants. Ils se cognent l'un contre l'autre, s'échappent pour mieux se rattraper, se nourrissent de leurs détressent pour mieux renaître de leurs petites morts. Couple imparfait et, pourtant, parfaitement dérangeant. Ils sont l'un et l'autre une unité infaillible. parcours scolaire — Diplôme de médicomagie. Étrangeté dans le domaine de la magie et plus encore dans celui des folies, il n'est pourtant pas si rare que la sorcellerie engendre le vice et plus encore les hystéries les plus diverses. Quoi de plus normal que de voir l'enfant des esprits cabossés se faire maître des situations les plus dérangées. baguette magique — Baguette longue et sinueuse, sombre héritage qui se fait aussi obscure que le sang qui l'aura vu naître. Sculptée dans un bois de noyer noir laissant transparaître les sillons d'un bois veinés de teintes mordorée, elle ne laisse pas même entrevoir son cœur palpitant. Dragon ventriculaire qui n'a jamais cessé de vivre, qui toujours se fait chaud et merveilleux quand la magie vient s'y mêler. Elle se prête d'avantage à la vilenie plutôt qu'à l’œuvre de la bonté mais qu'importe à son porteur tant que son œuvre extirpe à la mort, anime les macabres dépouilles. Longue de vingt-huit centimètres, elle apparaît comme étant aussi rigide que son propriétaire peut souvent se montrer têtu.  patronus — Un Épervier. Il est de souvenirs joyeux que certains verraient comme des actes de folies, des agissements odieux que d'autres jugeraient comme étant l'aboutissement d'une vie ou du chapitre d'une vie. Ce sont de ces actes qu'il auréole de gloire là où les autres vomiraient leur dégoût qu'il tire sa plus grande joie, sa plus grande satisfaction. On pourrait alors penser que l'homme serait bien incapable de faire naître du bout de sa baguette le filet blanc évanescent du patronus et pourtant aussi paradoxale que cela puisse paraître cela ne semble pas impossible. Et déjà, de la détresse des autres naissent ses éclats de joie, dans ce plaisir qu'il éprouve de vivre dans les calvaires de l'esprit jaillissent les ailes opalescentes de l'épervier. Cruel, implacable, mais capable d’éprouver son propre bonheur et attaché à sa vie comme tout un chacun.   épouvantard — Aquaphobie. La falaise est abrupte, la chute vertigineuse, et les pierres roulent sous ses pieds, lui retirant cet équilibre qu'il avait jusqu'alors. Rien ne le retient, et déjà il tombe. Il chute traversant l'air à une vitesse affolante, son cœur explose dans sa poitrine alors que ses yeux suivent au ralenti les étoiles qui brillent au firmament, et déjà il touche l'eau noire. Elle l’engloutit, l'asphyxie, le noie. Il se débat en son sein, essayant de regagner la surface mais les profondeurs le retiennent et l’entraînent en leur cœur d'encre. Bientôt il ne verras plus la belle Séléné dans sa robe ténébreuse, bientôt il ne verra plus rien que ce voile obscure qui couvrira son regard comme le linceul sur lequel repose son corps. Il est trop tard. Trop tard pour reprendre son souffle, le voilà mort porté par les flots d'une mer démontée, recraché par les profondeurs abyssales après avoir été bercé dans les bras des nymphes aquatique. L'eau noire lui aura tout pris pour mieux lui offrir le plus beau des châtiments.    amortentia — Délicat parfum de ces matins humides où les effluves de la terre s'élèvent, dryades et autres nymphes dansant sur les vastes prairies encore humides de quelques rosées. Comme une douce euphorie qui accompagne le parfum des terres humides et se charge, alors, de quelques fragrances fleuries tout droit extirpées de ces souvenirs les plus enfantins. Mélange subtile de camélia, de jasmin d'hiver et de rosiers d'été, bouquet printanier dont il s'enivre encore. Puis vient l'irrémédiable automne, apportant sur son chemin un goût de décrépitude dont il adore les couleurs et les sensations, baignent alors les corps dans un marasme de sucre et de macabre. Mélange savant de bonbons et de chrysanthèmes. localisation — Londres. Souvenir lancinant d'une longue haie de roses-rouges coupée à force de longues cisailles, d'un chapeau qui s'envole. Le vent souffle sur les gais jardins. Le vent souffle sur les souvenirs qui lui reste de cette ville qu'il n'aura que trop connu. Il est de ce qui lui appartiennent à jamais.don magique — Aucun. Il n'est aucun don qui lui ai été accordé si ce n'est celui d'avoir l'esprit vif et fouineur. Celui de savoir s'insinuer dans les pensées des autres par sa seule voix et sa propre réflexion. qualités et défauts — Sérieux ×  Réflechit ×  Manipulateur ×  Calculateur ×  Charmeur ×  Observateur ×  Pragmatique ×  Menteur ×  Adroit × Taquin ×  Sarcastique ×  Têtu × Fier ×  Abrupte ×  Cultivé × Tempéré × Possessif × Accessible × Opiniâtre × Caustique × Ingénieux signe distinctif — Une cicatrice le long de son torse, souvenir encré dans ses chairs sous la forme d'une terrible estafilade. Mémoires de la douleur qui ne fait rien d'autre se faire rappelle de ses erreurs, de ses mégardes. Souvenirs impérissables d'une folie néfaste qui fit s'écouler en flots abondants l'écarlate de son torse. Extirpant un peu de sa vie. Un peu de ses certitudes.  faits notables — Auteurs de plusieurs livres traitant de magie, sociologie et psychologie. Ceux-ci font, aujourd'hui, partis des anthologie utilisée pour les médicomages voulant s'orienter vers la psychologie. Ses écrits, ses connaissances, et ses recherches en font aujourd'hui le meilleur dans sa specialité. groupe — Slow Life

pseudo et prénom — Mauuâge et région/pays — Vingt-cinq ans, en France, plus précisément dans le grand sud! comment as-tu découvert le forum ? — C'est Priam qui m'a tiré par les cheveux jusqu'ici! quel est ton avis sur le forum ? — Fortement appréciable, sinon je ne serais pas parmi nous, mes chers amis! quelle est ta fréquence de connexion par semaine ? — Un peu tous les jours, cela dit je suis relativement assez lente pour rp! ton personnage est — () prédéfini () scénario (x) inventé ton avatar est — Hugh Fucking Dancy un dernier mot — Voulez-vous vous faire lobotomiser? C'est remboursé par la sécu!

Journée obscurcie des vents d'un hiver trop rigoureux. La neige se fait manteau blanc pour les rues désertées, recouvre déjà les pas traînants des derniers badauds transis de froid. Angoissants silences portés par les vents glacés. Les peaux sont mordus, les sangs se figent, et déjà les peaux laiteuses laissent transparaître les veines bleuies que la mort met en exergue. Le ciel anthracites crache, inlassablement, ses flocons duveteux qui, déjà, ne fondent plus sur le corps alangui. Rien de plus qu'un homme tranquille abandonné par sa vie, oublieux d'une existence déjà lointaine. A peine plus qu'une statut figée dans son dernier abandon, à peine moins qu'une marionnette entre les mains d'un étrange bourreau. La silhouette l'extirpe de son immobilisme, le porte vers d'autres cieux, d'autres lieux.

Peu de choses n'enchantaient pas l'homme car il était de ceux qui aimait à prendre les choses avec bien des philosophies. Peu de choses le rendaient nerveux car il était plutôt de ceux qui appréciait la nervosité chez les autres. Néanmoins, ce jour là à dix heure trente-deux du matin, comme le précisait l'horloge murale, il n'était ni enchanté ni véritablement à son aise. Ses doigts pianotaient avec impatience sur le bois de son large bureau, attendant l'enfant qui se faisait récalcitrant et peu obéissant. Il l'avait fait appelé par trois fois, et par trois fois aucun enfant ne s'était présenté sur le devant de son bureau. Furieux, il s’apprêtait à se lever pour faire irruption dans cette anarchie qui s'imposait à lui, seulement son geste fut condamné à rester en suspend tandis que la lourde porte d'ébène s'ouvrait dans un effroyable grincement.
Petite et fine silhouette qui se faisait ombre géante dans l’entrebâillement lumineux. Chétif petit garçon qui ravalait un frisson qui, pourtant, déjà lui remontait le long du dos pour mourir à la base de sa nuque. Ses doigts tordus entre d'autres montraient tous les signes de son inquiétude. Il n'aimait pas être ainsi appelé dans le bureau de son père, il n'appréciait en rien de se faire ainsi convoqué, et préférait de loin faire la sourde oreille dans l'espoir que les choses en viennent à se calmer. A disparaître. Il avait essayé une nouvelle fois de mettre en œuvre cette curieuse fuite, avait pu témoigner de son inefficacité pour cette fois-ci. Le méfait qui lui incombait devait être bien grave pour que son père fasse prendre d'autant d'acharnement, d'autant de persévérance.
La figure paternelle trônait derrière son bureau massif qui semblait que trop immense au regard d'un enfant trop petit pour son âge. Le feu dans l'âtre, rougeoyant dans l'obscurité, offrait un peu plus de sinistre à la situation. L'enfant, à force, avait fini par s’accommoder du sinistre de ces situations, de ces envies les plus périlleuses qui le mettent en porte-à-faux face à ce père inquisiteur et cette mère démente. Silencieux petit agneaux qui apprenait à se méfier de tout, à juger sans préjuger, à déchiffrer ces choses dont il se faisait le témoin imparfait. Il avançait alors encore d'un pas et laissait la porte se refermer sur son passage. Il ne sursautait pas alors que tout claquait et que le fauteuil sur lequel trônait son père raclait le sol. Si la peur était une chose qui ne le quittait jamais vraiment quand il entrait dans ce bureau, il avait rapidement appris qu'il valait bien mieux ne rien en montrer à l'homme qui y résidait.  
Créature dégingandée, pleine de ses intentions macabres et de ses allures sinistres, il se rapprochait un peu, jamais trop pour qu'un contact se fasse. Il se tenait droit, les mains mêlées dans son dos, et il fixait sa progéniture d'un regard vide. A la lumière, il avait les yeux bleus, dans l'obscurité ils ne ressemblaient qu'à deux trous béants dans lequel l'enfant se sentait être aspiré. « Il est temps de mériter ton nom. », arguait-il alors dans un sifflement terrible, « Il est temps de mêler ton nom à la mort, de le graver dans la succession de ton père et de ses aïeuls avant lui. », avait il rajouté en s'éloignant de quelques pas. Une enjambée de plus et voilà qu'apparaissait dans un filet de lumière tamisée un long drap sur lequel il tirait dévoilant ainsi l'opalescence d'un corps. La mort.

La langue passe les lèvres rougies du plaisir interdit, le corps se cambre sous l'audace, se tire sous le désir, se mêle dans l'ivresse. Les soupirs transgressent les silences, transpirent de quelques gémissements fugaces et répétés. Il y a de la hardiesse dans le mouvement, de la souplesse dans la meurtrissure des âmes qui se heurtent. Souffles saccadés qui bientôt se muent en un râle d'impuissance. La lame s'enfonce dans les chairs dans un plaisir qui se fait culminant. Derniers sursauts d'une magie oubliée, derniers instants dépassés qui se gorgent d'une vie viciée. Âme effacée, éradiquée, puis remplacée par une idée entêtante. Infernale ombre qui rampe dans la fange pour ne plus être que le souvenir du martyr déjà oublié.

Les trottoirs étaient jonchés de taches de sang que la pluie ne savait plus nettoyer, des flaques carmins avaient remplacé les habituelles trous dans la chaussée, et la brume fantomatique qui s'échappaient des caniveaux avait perdu sa couleur immaculée au profit d'une teinte bien plus rosée. Et dans ce tableau macabre se dressaient les silhouettes noires, encapuchonnées dans leur capes sombres, elles tiraient derrières elles les corps inertes de leurs victimes sans tenir compte des gémissements qui émanaient encore de certaines d'entre elles. C'était la guerre. La fin. Terrible, marquante, violente, insensée, punitive, et surtout meurtrière.
L'horreur des événements avait suffit à faire ressortir ce qu'il y avait de pire comme de meilleurs en chacun d'entre eux. Certains s'étaient montré d'une force d'esprit hors du commun, d'autres étaient tombé dans la plus terrible des bassesses. Une idéologie avait été implanté dans la caboche des esprits les plus facile à conditionner, on avait fait miroiter à leurs yeux monceaux de mensonges éhontés au sujet d'un monde qui ne sait jamais. Utopie pour eux, dystopie pour ces autres. Les Stoker n'auraient jamais dû participer à cette mascarade, jamais dû se laisser emporter par les tourmentes d'un esprit dérangés. Il fallait croire que la clairvoyance dont avaient preuve les générations précédentes n'avaient en rien était légué aux père des derniers nés.
Aucun recul, aucune réflexion, pas même un brin de remords. Il s'était laissé prendre au jeu, n'avait pas même détourné le regard tandis que sa baguette œuvrait aux mains d'un maître. Il avait perdu toute dignité, avait perdu tout pouvoir sur cette famille qu'il avait fini par délaissé après l'avoir formaté. Il avait tout détruit avant d'être retiré au monde, défait de sa condition de sorcier pour ne plus être qu'un prisonnier. Désormais, il ne subsistait plus rien, absolument plus rien si ce n'était le lien de moins en moins étroit entre une fratrie. Même celle-ci, au fil du temps, se disloquerait.

Éclat de vie moribond qui prenait place dans les prunelles mornes d'un corps vivant sans l'être vraiment. Inspiration suivit d'une expiration difficile, encombrée de mille et un supplices difficiles à supporter. Ce n'était plus rien. Rien de plus qu'un corps animés par de sombres desseins, de sombres appareils issus d'un monde englouti par les ténèbres, avalé par l'obscurité. Mort sans l'être. Vivant sans l'être non plus. C'était bien là la terrible engeance de ce nom, le terrible fardeau qui incombait à leur sang. Celui de porter la nécromancie à l'apogée de son art. Celui de porter le difficile poids de la damnation, d'une innocence rare trop tôt perdue.

Dans cri de rage perdu entre les murs et le tapis devenu carmin de son sang, il se laissait tomber. Cruelle vérité. Le docteur ouvrait alors de grands yeux béants tandis qu'un premier coup lui couplait le souffle, il ployait l'échine sous la douleur, et crachait la rage d'une écume grenat. Un deuxième se plantait au creux de son épaule, lui arrachant un gargarisme douloureux. Le troisième, ultime coup punitif, se faisait plus violent. Indescriptible de cruauté, et il arrachait des lambeaux de chairs sur son passage. Lui, tombait à genoux dans son propre sang. Il se sentait mourir, partir bien loin des rues anthracite de Londres, bien plus loin que tout ce qu'il avait jusqu'alors pu imaginer. C'était la fin. Sa fin. Pas comme il aurait pu l'imaginer, mais elle était sienne. Il s'éteignait dans une sorte de soulagement, dans une libération étrange bien que quelque peu abrupte. Il fuyait son fardeau, s'en libérait sans honte, sans qu'on eu pu lui en faire le reproche.
Il ne mourrait pourtant pas. Pas ce jour là. Pas maintenant.  Il n'était plus qu'un corps démuni et désuni, incapable de bouger, rompu d'une douleur sourde qui le laissait incapable de crier. Les yeux ouverts, noyés de sang, il n'arrivait pas même vraiment à s'évader de son carcan de chairs, restant le témoin impassible des scènes épiques d'une bataille dont il était la victime. Et déjà la nuit tombait sur les lattes de son parquet. La douleur s'estompait. Son corps, inertes, étaient en proie désormais aux chagrins de son bourreau. Larmes terribles qui se mêlées à son sang. Il n'en retiendrait qu'une terrible excuse. Rien de plus qu'une demande, infâme, de pardon qui l'empêchait de mourir. Qui n'arrivait pas même à le faire crever.
Tâches carmins sur ses pupilles, puis obscurité qui s'y installait. Il sombrait dans la douceur de l'onirisme. Rien d'autre qu'une rêverie éphémère, cruel mirage qui s'effaçait pour laisser face à lui le visage blafard d'un homme. Son reflet. Il effaçait la sueur de son front, calmait sa respiration emportée. Ce n'était là qu'un cauchemar. Rien de plus qu'un mauvais rêve mêlé à un souvenir. Mémoire du corps, et de cœur. Il en soulignait les défauts du bout des doigts, marquait d'une terrible caresse la cicatrice qui barrerait à jamais son corps. Lui qui ne faisait jamais d'erreur en avait fait une ce jour là. Cela n'arriverait plus. Plus jamais.

Bienvenue officiellement sur le forum ! ça y est, jeune padawan, tu as réçu le test final, tu es officiellement validé ! Avant toute chose, laisse moi quelques mots sur ta fiche : avis sur la fiche du membre. Franchement, bravo ! et maintenant, un petit rappel de ce que tu ne dois pas oublier avant de commencer des RPs déjà, la danse de la joie de Dumbledore t'accueille sur le forum, clique ici (attention les yeux ). Maintenant, il faut que tu passes par ce portoloin pour recenser ton fabulous avatar ! C'est très important et nous te demandons d'être rigoureux sur ce point. D'autre part, qui dit validation, dit carnet d'adresses ! Tu vas pouvoir te créer un carnet pour gérer tes liens en te rendant sur ce sujet ! Lis bien les instructions avant de commencer Ensuite, il est important de passer dans cette partie pour te recenser où il faut. Premièrement, pense à t'enregistrer parmi les sorciers de grande-bretagne en cliquant ici. Ensuite, il faut bien travailler (au diable les paresseux ) alors viens demander un job ici et parce qu'on a tous été à l'école (même mondingus ) il faut bien recenser son parcours scolaire (et ses retenues) en cliquant ici. Enfin, avoir un toit sur la tête c'est mieux, alors demande un logement dans cette partie. D'autre part, si t'es un peu bizarre, que tu as des dents pointues etc... Viens recenser ton don magique dans cette partie. Si tu as décidé d'incarner un personnage issu d'un famille prédéfinie du forum, fais également un tour dans ce sujet. Ca y est, tu es presque en norme maintenant, sache que tu peux avoir le droit à quelques extras ! tout d'abord, tu peux créer un scénario ou un semi-pv dans cette partie pour les scénarios et celle-ci pour les semi-pv. Tu peux également créer ta propre famille de sorciers (cool hein ? ). Rends toi dans cette partie pour en savoir plus sur cette possibilité. Maintenant, tu peux t'éclater et faire la danse du feu tout d'abord, tu peux FLOODER parce que le flood, CEY LA VIE alors viens poster un petit mot tout doux ici et participer aux jeux du forum Découvre aussi la partie dédiée au shipland et aux RPs des membres en prenant ce portoloin. Tu vas t'éclater avec nous et si tu n'oses pas te lancer dans un RP tout de suite car tu es timide, nous avons LA solution lance une recherche de partenaire RP en postant ici. N'oublie pas de consulter régulièrement les nouveautés du forum pour être informé de l'arrivée des intrigues/events et des animations où tu es invité à participer !

Si tu as des questions, l'ensemble du staff reste à ta disposition