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not what i expected (ambrose)

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ϟ SORTILÈGES : 412
ϟ CRÉDITS : rose red
ϟ PSEUDO : spf.
ϟ AVATAR : felicity jones.
ϟ MES COMPTES : l'unique.
ϟ ÂGE DU PERSO : trente-trois ans.
ϟ SANG DE SORCIER : pur.
≈ PROFESSION : agent de joueur de la ligue de quidditch.
ϟ STATUT CIVIL : le coeur lié tente d'oublier ses yeux bleus qui le font tanguer. le fera-t-il chavirer ?
ϟ ANCIENNE MAISON : gryffondor.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : bois d'érable, ventricule de cœur de dragon, vingt-cinq centimètres.
Deirdre Macmillan
Deirdre Macmillan
MessageSujet: not what i expected (ambrose) not what i expected (ambrose) EmptyMar 8 Déc - 16:02


hello, how are you
ambrose & deirdre
L'emménagement dans la capitale avait beau être terminé, les papiers eux n'en finissaient pas. Entre les contrats de location, d'électricité, d'eau, de gaz, les factures de l'hôpital où séjournait sa mère, les radios, le courrier de l'ancien locataire que celui-ci avait oublié de faire suivre à sa nouvelle adresse, les publicités que l'on s'évertuait à glisser dans sa boîte aux lettres malgré la mention "Stop pub"... Deirdre avait accumulé une quantité impressionnante de paperasse sur la table basse de son salon, si bien qu'on se demandât si elle en avait effectivement une. Mais elle n'avait pas eu le temps, disait-elle. Ce n'était pas une priorité, elle réglerait cela un autre jour, de toute façon aujourd'hui, elle était attendue à la salle de gym. Des excuses, elle s'en trouva jusqu'à ce qu'Hera ne prenne même plus la peine de déposer le courrier important sur le bar de la cuisine, mais pêle-mêle sur le tas qui s'était formé. C'est comme ça qu'elle manqua plusieurs invitations, perdues dans les flots ayant submergé l'objet en bois. Alors, pleine d'entrain à la sortie du lit ce matin-là, elle avait entrepris d'étaler le tout sur le sol et s'était assise en tailleur au milieu de la pièce à vivre pour commencer à trier puis classer par catégories. Elle allait récupérer cette terre autrefois abandonnée à l'ennemi et dans la foulée, retrouver sa vie sociale qui avait sombré depuis son retour à Londres. Blâmait-elle honteusement Hera, sa chouette, de ne pas avoir pu répondre présente à un dîner ? Certainement ! Tout plutôt que d'avouer s'être laissé dépasser par les événements. Deirdre tentait d'ailleurs de se racheter de cette trahison dont l'animal n'avait probablement pas idée en la gâtant plus qu'à l'accoutumée. Et ça, ça ne semblait pas passer inaperçu. La voilà d'ailleurs qui arrive, annonçant sa présence avec l'un de ces petits cris aigus caractéristiques aux chouettes effraies. Pourtant, elle ne s'arrête pas à un seul cri comme à son habitude. Elle continue, braille même un peu plus fort et s'engouffre aussi rapidement que sa vitesse le lui permet dans l'appartement pour se poser sur le haut de la lampe sur pied trônant à côté du téléviseur. Eh bien alors toi ? La sorcière n'a pas le temps de terminer d'exprimer son incompréhension que déjà, une autre créature surgit sur son balcon puis bondit dans la pièce en direction de la lampe, envoyant valser sur son passage les dossiers qu'elle s'était évertuée à constituer ces deux dernières heures et par la même occasion, la patience dont elle avait fait preuve envers l'intrus qu'elle connaissait bien maintenant. Cette fois, j'en ai assez ! Stupefix ! Stoppant ainsi le Fléreur dans sa course, celle qui s'était levée au passage de l'animal pour éviter la collision se laissa ensuite retomber mollement sur son canapé. Le sortilège était parti tout seul cette fois aussi et elle se félicita mentalement de toujours garder sa baguette à portée de main en contemplant l'animal inanimé. Ce Fléreur de compagnie avait pris la mauvaise habitude de chasser après sa chouette, et ce, depuis leur arrivée à Diagon Alley, allez savoir pourquoi. Deirdre n'avait alors jamais aussi bien maîtrisé le sortilège de Stupéfixion que depuis sa première intrusion. D'ordinaire, elle se contentait de le désensorceler après l'avoir déposé sur la parcelle de verdure au pied de l'immeuble, mais cette fois-ci, elle allait mettre un terme aux agissements de ce malotru multirécidiviste en se rendant directement à la source : son propriétaire.

L'animal emmailloté dans une vieille couverture, elle arpentait les couloirs du bâtiment à la recherche d'une personne pouvant la renseigner sur l'identité de son propriétaire. Elle eut droit à quelques regards en biais sur son passage et elle se crut obliger de se justifier : Il est vivant ne vous inquiétez pas. Ce n'est qu'un petit Stupefix de rien du tout. J'aime les animaux ! J'ai moi-même une chouette vous savez, elle est très heureuse. Haha... Jusqu'à ce qu'une bonne âme ne la prenne en pitié et finisse par lui indiquer l'étage et la porte du gentleman responsable de cette bestiole. Les remerciements d'usage prononcés, elle activa le pas pour finir par attendre la destination indiquée en un temps record. Les bras chargés, elle perdit quelques minutes à essayer de se libérer une main sans faire tomber son colis puis finalement, le cala sous son aisselle et frappa trois grands coups contre la porte. Excusez-moi, je vous rapporte votre Fléreur. Je tenais également à vous dire, son éducation laisse franchement à désirer. qu'elle rajoute en soufflant sur une mèche de cheveux barrant son visage en attendant qu'on réponde. L'agitation aura défait son chignon. Foutue bestiole.
electric bird.
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not what i expected (ambrose) 995027tumblrnkebxyjsFJ1smcqr3o6250
ϟ SORTILÈGES : 72
ϟ CRÉDITS : avatar : brat face ; code : endless love
ϟ PSEUDO : valar morghulis. (manon)
ϟ AVATAR : cillian murphy.
ϟ MES COMPTES : only one.
ϟ ÂGE DU PERSO : trente-cinq.
ϟ SANG DE SORCIER : pur.
≈ PROFESSION : langue-de-plomb au sein du département des mystères.
ϟ STATUT CIVIL : le chaos.
ϟ ANCIENNE MAISON : serpentard.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : bois de sycomore, larme de licorne, vingt-sept centimètres.
ϟ DON MAGIQUE : occlumens, hérisse d'épines les pensées les plus secrètes, barricade l'accès des sombres idées.
ϟ LOCALISATION : appartement sur diagon alley.
Ambrose Travers
Ambrose Travers
MessageSujet: Re: not what i expected (ambrose) not what i expected (ambrose) EmptyJeu 10 Déc - 22:49


Now that she's back in the atmosphere
With drops of Jupiter in her hair ⊹ Reminds me that there's a time to change. But tell me, did the wind sweep you off your feet? Did you finally get the chance to dance along the light of day and head back toward the Milky Way? And tell me, did you fall for a shooting star, one without a permanent scar ? (by anaëlle)


Les coups résonnaient dans chaque pièce de l'appartement, hérissant à chaque fois un peu plus le poil du sorcier. Les muscles s'étaient crispés dans sa nuque, sur ses épaules, tendant un peu plus encore son dos fatigué. Personne ne s'annonçait jamais de la sorte chez lui. Personne ne s'y annonçait jamais tout court, d'ailleurs. Rares étaient les visites que recevait le Travers, et anecdotiques étaient celles qui se révélaient imprévues. Certainement fallait-il être téméraire pour oser une telle entrée, et c'était bien la première fois en cinq années que l'on osait malmener sa porte de la sorte. Eremon. Le principal suspect de la langue-de-plomb quant à cette cacophonie. C'était bien le genre du cadet d'ainsi se manifester. Les phalanges de l'aîné craquèrent sur la reliure du livre qu'il referma sans douceur, quittant son siège dans la seconde avant de s'avancer d'un pas décidé vers l'entrée. Marquant une hésitation en entendant une voix féminine lui parvenir à travers le bois, la main tournant déjà la poignée sans davantage de réflexion. Peut-être qu'il aurait dû. Souffler une seconde supplémentaire. Relever le caractère familier du ton berçant les mots qui lui étaient adressés. Essayer de se préparer à ce qui allait s'ensuivre. Sans s'arrêter à la simple idée d'une voisine venue l'emmerder de bon matin, en prenant le risque de critiquer l'éducation qu'il avait pu donner à son animal de compagnie. Clairement, il n'y en avait eu aucune. Bien la raison pour laquelle Coal filait courir les toits pour mener la grande vie, aussi grande puisse-t'elle être dans l'esprit d'un Fléreur. C'était bien le cadet de ses soucis. La lassitude l'avait déjà gagné avant même de laisser le battant s'ouvrir sur l'importune. Le visage fermé, le regard contenant à peine son éclat blasé, Ambrose avait choisi de garder le silence. N'étant guère de ceux à hausser le ton. Presque jamais. Activité dont il laissait l'entier loisir à l'étage du dessus, passés maîtres dans l'art de tambouriner aux portes en jurant les uns après les autres.

Une pause. Un instant de flottement, d'immobilité parfaite. Les iris glacés figés sur le visage de la jeune femme qui lui faisaient face. Ne remarquant pas ses bras chargés, le pelage charbonneux du Fléreur inerte qu'elle portait contre elle. Sur les traits du Travers, une dizaine de changement presque imperceptibles s'opéraient. Ses sourcils se départant de leur courbe inquisitrice. Les commissures de ses lèvres abandonnant l'esquisse d'un rictus moqueur pour ne plus sourire du tout. La surprise imprégnait doucement ses traits tendus, crispant ses doigts sur la porte avant de laisser son bras retomber le long de son corps. « Deirdre. » Le prénom écorcha ses lèvres, porté par sa voix rendue plus rauque qu'à l'ordinaire par les vestiges d'une nuit à ne pas fermer l'oeil, qu'il tenta d'accomoder d'un raclement de gorge. Tout autant destiné à lui donner une esquisse de contenance. Prononcer ce nom glaça un instant son échine d'un frisson, piquetant ses nerfs jusqu'au bout de ses doigts. Incapable de formuler le moindre mot supplémentaire, les iris fermement ancrés dans ceux de la belle Macmillan. Comme si cela allait l'empêcher de se volatiliser dans la seconde, sans lui laisser le temps de tendre le bras pour la retenir. La retenir. Il n'en avait jamais été capable. Sous la chemise blanche, le palpitant se tordait, bridé derrière la muraille de côtes qui le retenait difficilement. Prêt à s'échouer à leurs pieds. Aux pieds de Deirdre. Cet amas de muscle qui n'avait jamais été capable de battre que pour elle. Et qui s'animait encore maladroitement, malgré ces cinq années d'absence, ces cinq années à oublier. Car c'était bien ce que disaient les midinettes, à l'époque de Poudlard, après chaque chagrin d'amour surpris par le Travers dans la salle commune des Serpentards. Le temps était censé aider, permettre d'oublier. Conneries. Le sang pulsait à ses tempes de manière vigoureuse, manquant de lui tourner la tête. Aucune esquisse de mouvement de la part du sorcier. « Qu'est-ce-que tu fais ici ? » A Londres. Sur le seuil de mon appartement. Comment ne l'avait-il pas su ? Tout se savait, toujours.  Après tout, les journaux avaient été capables d'évoquer l'état dans lequel se trouvait sa mère, information sans doute grâcieusement achetée auprès d'un membre du personnel de Sainte Mangouste. Son retour ne pouvait donc qu'être assez récent. Impossible à prévoir. Ambrose ne s'était pas préparé à revoir ce visage qu'il avait tenté d'effacer de ses pensées, en glissant chaque photographie dans un album enfermé dans un tiroir, en détournant le regard dès que son nom se retrouvait cité sur les pages de la Gazette. Le choc n'en était que plus brutal, retournant sa poitrine en y éveillant quelques choses savamment enfouies jusqu'alors. « Tu.. tu es revenue depuis quand ? » Étrange bafouillement dans la voix toujours assurée du Travers, étrange lueur animant son regard confronté à son lot de réminiscences face à cette figure du passé. Il n'avait jamais su, Ambrose, comment se comporter dans le champ de bataille qu'animait Deirdre sur son passage. Il n'avait pas su à l'époque, se laissant perdre pied dans ces sentiments inconnus qui l'arrachaient à la solitude. Il l'avait regretté, ce bordel d'émotions qui galvanisait son être à la proximité de la sorcière. Et puis, il en avait fait son deuil, concentrant chaque parcelle de son esprit sur le département des mystères, sur cette rancune qui ne cessait de croître au fil du temps.

Elle n'était pas censée être ici. Elle n'était pas censée revenir. Elle était partie, et Ambrose avait continué à se cramer la rétine sur sa silhouette jusqu'à ce qu'elle ne finisse par disparaître. Comme si c'était la dernière fois. Il n'était pas supposé la revoir. Pouvoir détailler son visage. La couleur de ses cheveux, légèrement plus claire que dans ses souvenirs. Ces traits qui n'avaient que si peu changé. Rien ne devait se passer ainsi. Tout était déjà suffisamment compliqué. Trop, bien trop compliqué.  
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ϟ AVATAR : felicity jones.
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ϟ SANG DE SORCIER : pur.
≈ PROFESSION : agent de joueur de la ligue de quidditch.
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Deirdre Macmillan
Deirdre Macmillan
MessageSujet: Re: not what i expected (ambrose) not what i expected (ambrose) EmptyDim 13 Déc - 19:21


Elle ne s'y était pas attendue. Pas le moins du monde. Pourquoi l'aurait-elle fait ? Elle pensait sincèrement que rien ne les prédestinait à se revoir après leur séparation d'il y a cinq ans et le silence qui avait suivi. Tirer un trait, tourner la page, passer à autre chose, regarder vers l'avenir, tourner le dos au passé... la formule importait peu tant qu'elle pouvait juste oublier qu'elle l'aimait. Les premières années avaient été passées à appliquer consciencieusement des couches et des couches d'auto-persuasion à chaque souvenir de leur passé commun, à s'acharner sur le fantôme de cet anneau à son doigt jusqu'à faire rougir la chair, allant parfois jusqu'à la mettre à vif. Mais cette marque refusait de s'effacer, l'ombre planait toujours, l'entretenant. Bien sûr, l'idée de le revoir un jour lui avait effleuré l'esprit. Cependant, elle avait coutume de penser que cette fois, cela se passerait selon ses plans. Elle déciderait du jour et de l'heure où il réapparaîtrait dans sa vie, elle lui donnerait peut-être le temps de s'y préparer, lui aussi, en lui envoyant une lettre par exemple. Quelle excuse aurait-elle pu invoquer pour justifier une lettre, son anniversaire ? La mort de son père ? Les fiançailles de Dora ? La maladie de sa mère à elle ? Les occasions avaient été nombreuses, mais elle ne cessait de se dire la prochaine fois, je le ferais la prochaine fois. Et à trop repousser l'inévitable, la voilà qui se retrouvait dans la pire des situations qu'elle pouvait imaginer.

A se revoir, cinq ans auparavant, quittant l'appartement qu'elle partageait avec son ancien compagnon, celui-là même qui se tenait à cet instant dans l'embrasure de la porte qui venait de s'ouvrir, son annulaire gauche la démangea. S'il s'en tenait à leur souvenir, il ne parlerait pas, il n'oserait pas. Et elle pourrait s'en aller, une nouvelle fois. Ils pourraient prétendre que cela n'avait été que l'un des ces cauchemars, l'une de ces réminiscences qui vous laisse un goût amer lorsque vous croisez quelqu'un qui prend les traits des fantômes du passé. C'était aussi simple que cela, n'est-ce pas ? Mais son fantôme à elle ne jouait pas le jeu, il transgressait les règles en lui faisant entendre sa voix, en prononçant son nom et en accrochant son regard au sien, l'ancrant dans un même temps dans la réalité du moment. À en juger par la façon dont son cœur tambourinait à lui en faire mal, ses sentiments avaient décidé de se désolidariser de sa raison. Au final, c'était bien trop semblable à toutes ces fois où ils s'étaient retrouvés après avoir quitté Poudlard pour qu'ils puissent agir autrement. Faisant un pas en avant, qu'elle aurait aimé faire en arrière, elle tend les bras sur lesquels repose l'objet de sa visite. L'un de nos voisins m'a indiqué que son propriétaire habitait ici. Le même immeuble... Ça avait été stupide de croire qu'il résiderait toujours là-bas, qu'en se bornant à éviter ce coin de Londres où elle l'avait laissé, elle n'aurait rien à craindre d'une rencontre fortuite. L'ironie. Sans vraiment attendre qu'il se saisisse du fléreur de lui-même, elle le lui fourra dans les bras avec un peu plus de force qu'elle n'en avait eu l'intention, interrompant de ce fait le jeu de regard entre eux et empoigna sa baguette pour la pointer dans sa direction. Enervatum. Son attention concentrée sur la bestiole qui reprenait vie dans les bras de l'aîné des Travers, elle hésitait à encourager les tentatives de discussions mises en œuvre par celui-ci. Après tout, rien ne l'obligeait à admettre la situation, elle pouvait ignorer la réalité comme elle savait si bien le faire, elle pouvait tourner les talons maintenant et attendre cinq autre années avant de tomber à nouveau sur lui. Joignant le geste à la pensée, Deirdre amorça alors un mouvement similaire à celui qu'elle avait mis du temps à se pardonner d'avoir fait. Mais quelque chose l'empêcha de le mener à terme et de s'enfuir. Arrêtée net dans ses pas, ses épaules s’affaissèrent et elle rejeta lentement sa tête en arrière. Cela pouvait être différent cette fois. Ils pourraient peut-être s'expliquer. Ambrose semblait disposé à parler, elle n'allait pas gâcher cette opportunité. Au léger bafouillement qu'elle avait détecté chez lui, elle y opposa une voix posée après une grande inspiration. Ton fléreur. Il n'a pas arrêté de chasser Hera depuis que nous avons emménagé ici, soit depuis deux semaines. Il a l'air de s'être mis dans la tête qu'elle était la proie parfaite et mon appartement, son terrain de chasse personnel. Était-ce vraiment le sien ? C'était un peu étrange de l'imaginer avec un animal. J'apprécierais si tu pouvais... refréner ses ardeurs. J'ai d'autres chats à fouetter que celui-ci en ce moment avec l'hospitalisation de ma mère à Sainte Mangouste. Et j'aimerais éviter que ma chouette ne se mette en grève sous prétexte que son travail serait devenu trop dangereux. Elle tenta un sourire pour accompagner sa dernière remarque, mais le coin de ses lèvres retombèrent bien vite. Sur quel pied allaient-ils devoir danser ? Qu'elle était la meilleure attitude à adopter dans ces circonstances ? Prétendre parler à un vieil ami n'allait pas être facile, la raison étant qu'elle ne l'avait jamais vraiment considéré comme tel.

Elle pouvait sentir son regard sur elle. Avait-elle beaucoup changé ? Soudainement consciente de son corps, elle tenta d'arranger rapidement sa coiffure qui n'avait pas tenu le choc des allers et venus entre les étages. C'était ridicule, elle n'avait pas besoin qu'il approuve quoi que ce soit concernant son physique. Tu n'as plus quinze ans ma grande, ressaisis-toi. Elle transforma le geste de façon à donner l'impression d'avoir voulu se gratter la tête puis croisa les bras sous sa poitrine. Tu habites ici depuis longtemps ?
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