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morning, my dear -morcan

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AuteurMessage
ϟ SORTILÈGES : 26
ϟ CRÉDITS : castaway.
ϟ PSEUDO : hometown glory
ϟ AVATAR : max irons
ϟ MES COMPTES : aucun
ϟ ÂGE DU PERSO : vingt-six ans ont passé depuis sa naissance à l'hôpital ste mangouste, au coeur d'un londres en passe de se moderniser.
ϟ SANG DE SORCIER : fils de sang-mêlés, il devient à son tour l'un d'entre eux.
≈ PROFESSION : controleur des dragons pour le compte du ministre de la magie, il se passionne pour ses animaux aîlés cracheur de feu.
ϟ STATUT CIVIL : fiancé a arabella reed, dans un pur besoin d'argent et de reconnaissance.
ϟ ANCIENNE MAISON : précédemment serpentard et pas des moindres, on le surnomma prince de cette maison.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : bois de lierre, croc de dragon, 32 centimètres.
Lorcan Scamander
Lorcan Scamander
MessageSujet: morning, my dear -morcan morning, my dear   -morcan EmptyMar 29 Déc - 20:14



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Il la savait là, cachée par le corps médial magique. Lorcan lui rendait souvent visite, se présentant comme l’un de ses plus proches amis, il passait à travers les mailles du filet et se faufilait aisément jusqu’à la chambre de convalescence de sa prophète. Sa prophète, la Morgause au visage pâle et à la chevelure ébène. Avait-il jamais autant haït quelqu’un ? Son frère peut-être, et encore, lui n’avait jamais osé prétendre pouvoir prédire un si funeste avenir au grand Scamander qu’il était. Mais si Lorcan la détestait plus que tout au monde, il avait une certaine confiance aveugle en ce que la fille à l’œil étrange pouvait proférer. Savait-il seulement si l’une de ses prédictions ne s’était jamais produite ? Peu lui important, la fascination d’un tel don avait pris le dessus sur sa propre rationalité. Convaincu d’être en danger, il vouait un culte à ses prophéties, aussi troubles pouvaient-elles être.
Comme il avait pris l’habitude de le faire, il se rendait pour la seconde fois du mois de décembre au chevet de la jeune sorcière. Se présentant à l'accueil, il demanda la chambre : « Bonjour, je viens pour Morgause Winter, je suis l’un de ses amis. » On lui répondit aussitôt, il emprunta alors les ascenseurs qui le menèrent au troisième étage. Il arpentait alors les couloirs, en observant la moindre personne qu’il croisait : la peur d’être vu, la peur d’être menacé. S’il venait à croiser une de ses connaissances, on lui demanderait ce qu’il fait là, qui il visitait, et personne ne devait savoir, cette affaire devait à tout prix rester secrète.
Il ressassait sans cesse, encore et encore, sans jamais s’arrêter. Avait-il peur ? Non, Lorcan n’était pas de ce genre-là, Lorcan n’avait pas peur, quiconque le connaissait un tant soit peu savait qu’il n’avait pas froid aux yeux. Et pourtant, cette question l’obsédait.

La porte lui faisait face, jetant un dernier coup d’œil tout autour de lui, il empoigna la poignée d’acier et pénétra dans l’antre de Morgause. Inconsciemment, il tata sa veste, cherchant à se rassurer en touchant sa baguette derrière le tissu noir de ses habits. Il la savait inoffensive, mais il savait aussi que ce qu’il faisait n’allait pas dans l’intérêt de la jeune sorcière et pour cette raison, il la craignait. La pièce était si petite qu’il se demandait comment pouvait-elle vivre dans un espace si réduit. Il n’avait pas fait un bruit en entrant et il la voyait maintenant à sa fenêtre, observant le monde alentour. Comment pouvait-elle vivre captive ? Prenant soin de ne pas faire le moindre bruit, il alla jusqu’à elle. A peine un mètre derrière elle, il s’arrêta. Il la regardait avec dégout, avec mépris.
« Morgause… » disait-il doucement, tel un prédateur prêt à se jeter sur sa proie. « Je vois que tu es déjà debout, il est tôt pourtant. » Le soleil s’était en effet levé depuis une heure à peine, Lorcan avait toujours été matinal. « J’espérais te voir dormir, et quelle aurait été ma joie de te voir t’éveiller. » murmurait-il en tournant autour d’elle. Il se savait impressionnant et aimait en jouer.  « Qu’as-tu vu dans ton sommeil, Morgause ? »
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