âge, date et lieu de naissance — carlie est née un vingt-et-un mai, dans un hôpital de l'état de floride. cependant, les sullivan ont déménagé quelques années après la naissance de leur seconde fille pour s'installer en angleterre, à cambridge. vingt-quatre printemps qu'elle a vu passer, vingt-quatre fleurs dans son sourire; et elle ne les fait pas, lui dit-on.  nationalité et origines — si, sur le papier, carlie est de nationalité anglaise, elle se targue de pouvoir prétendre à ce qu'elle appelle un milk-shake culturel un peu plus développé. en effet, sa mère est chinoise, tandis que son père est américain d'origine cherokee. plus qu'entre la magie et le monde moldu, elle a grandi dans deux cultures. les choses à tourner la tête n'ont jamais manqué, mais c'est également ce qu'elle estime être une excellente expérience. sang de sorcier — pour certains, le sang-pur est un honneur, le fait d'être né-moldu une honte. carlie se situe pile entre les deux, expression même du sang-mêlé. tandis que la famille de son père est de sang sorcier depuis des générations, sa mère fait partie du commun des mortels - autant qu'on puisse le dire pour une femme dont la force de caractère a toujours été assez grande pour la considérer magique, elle aussi. elle porte fièrement son héritage, médaille de deux cultures différentes qui se sont reflétées dans sa façon d'être, son travail, sa manière d'aimer. profession — après avoir un temps voulu devenir chanceuse, la jeune femme s'est détournée du show-business pour, à la sortie de l'école, emprunter la voix des médicomages. c'est le métier qu'elle exerce aujourd'hui, sortie tout récemment d'apprentissage. elle a appris à aimer les longs couloirs immaculés de l'hôpital, le visage des patients lorsqu'elle leur annonce que leur traitement est fini et qu'ils peuvent retrouver leur vie, la bouffée d'adrénaline des urgences et l'odeur du café flottant dans les salles de garde. elle a toujours eu un grand coeur, la sullivan, et c'est ici qu'elle peut le déverser, transmettre son sourire de visage en visage. maison à poudlard — carlie, on lui a prédit poufsouffle dès le départ. c'est chez les jaune et noir qu'elle a trouvé son second foyer, dans les chaleureuses caves, douillettement nichées dans les entrailles du château de poudlard.  loyale et généreuse, elle ne s'est jamais vraiment attendue à une autre maison que celle où elle a atterri. et tant pis si la réputation de celle-ci est celle d'un dépotoir à tous ceux qui ne vont pas parfaitement aux autres; elle préfère voir sa maison comme un foyer, un refuge de possibles non encore déterminés. statut civil — carlie est célibataire, et ce n'est pas vraiment une surprise. elle a toujours été trop timide pour même envisager de demander à quelqu'un de sortir avec elle, et si elle a eu quelques petits amis pendant ses années d'études, aucune relation n'a été durable. un ou deux lui ont brisé le coeur, peut-être, mais aucun n'a réussi à détruire la romantique aux yeux brillants, qui rêve encore au prince charmant. parcours scolaire — à sa grande surprise, elle a un jour été préfète, position qui l'a d'abord mise mal à l'aise, étant donné le nombre de tâches qui s'ajoutaient à sa responsabilité et les interactions obligatoires avec le reste des maisons, mais à laquelle elle s'est très rapidement adaptée en se liant d'abord aux première année, puis à tous les autres. élève aux résultats réguliers dans plus ou moins toutes les matières, elle s'est particulièrement distinguée en potions et botanique, bien que des compétences au niveau des enchantements aient également été mentionnées par ses professeurs. baguette magique — la baguette de cecily est faite d'érable, symbole de confiance ( qu'elle accorde bien trop facilement, d'ailleurs ). ambivalente, de vingt-six centimètres, elle contient en son coeur un cheveu de vélane, coïncidence que la jeune femme a détesté au moment de l'achat, avant de s'y faire petit à petit - surtout en découvrant que l'objet se spécialisait dans les sorts de guérison, particularité qui lui est, considérant ses études et son métier, plus qu'utile.  patronus — les quelques fois où elle a réussi à en produire un, c'est une colombe immaculée qui est apparue au bout de sa baguette. bien choisie, peut-être, quand on sait que les tensions actuelles constituent une certaine appréhension pour elle, qui ne parle et ne jure que par la paix.  épouvantard — carlie, c'est une peureuse, on n'aura pas tort de le dire - sauf quand il s'agit du sang. alors, ce n'est pas une scène d'horreur qui la terrifierait, mais d'abord une vision de sa famille et ses amis mourant ou l'abandonnant. elle a peur qu'on la laisse seule, la môme. peur que tout ce qui retient les gens à elle soit le sang vélane, peur qu'ils finissent par s'en apercevoir et la laisser en plan. c'est stupide, elle se le dit, le redit, mais rien n'y fait.amortentia — le parfum des vieux livres, l'odeur des roses et des vastes jardins, le thé aux épices qui flotte en permanence dans la maison des sullivan, les pâtisseries qui parfument son appartement, le popcorn brûlant et le marshmallow...la liste pourrait continuer, encore et encore, rassemblant tous les moments qu'elle a un jour chéri, une mélopée infinie qu'elle laisse l'envelopper, enroulant ses sens dans une couverture de cachemire, l'enlevant au cours du temps. elle se demande si un jour, en respirant la potion d'amour, elle sentira quelqu'un. localisation — la jeune femme vit à londres, pour être le plus proche possible de l'hôpital de sainte-mangouste, où elle travaille. cependant, beaucoup de ses week-ends sont passés à cambridge, où elle transplane afin de rendre visite à sa famille, ou à bath, ville qu'elle affectionne particulièrement. don magique — semi-vélane. le sang de ces créatures magiques coule dans ses veines, à deux générations près; et encore trop à son goût. si cette part de son héritage est quelque chose que carlie préfère oublier, elle ne peut nier ses effets lorsqu'elle les voit. alors elle garde cette particularité là, un secret qui n'en est pas un, quelque chose dont elle ne parle qu'avec embarras et une soudaine envie de disparaître sous terre.  c'est stupide d'avoir honte, une part d'elle en est consciente; mais elle ne peut pas s'empêcher d'avoir peur, et le refouler, encore et encore. qualités et défauts — affectueuse ; nerveuse ; travailleuse ; naïve ; modeste ; compatissante ; généreuse ; indécise ; idéaliste ; perfectionniste ; souriante ; timide ; attentionnée ; peureuse ; passive ; douce ; accueillante ; stressée ; résignée.  signe distinctif — carlie dispose d'une étonnante faculté à se faire oublier. venue d'années d'entraînement, il arrive parfois qu'on oublie simplement qu'elle se tient dans la pièce jusqu'à ce qu'elle ouvre la bouche, une voix douce et presque aussi effacée que sa présence. elle le considère plus comme un avantage qu'autre chose, puisque le silence est une règle d'or dans les couloirs de l'hôpital. rien ne l'empêchera jamais, cependant, de sourire et de rire, de rappeler aux gens qu'elle est chaleureuse - qu'elle est vivante. faits notables — à part une timidité maladive qui se manifeste dès que quelqu'un fait mine de flirter avec elle? pas particulièrement. groupe — slow life, ceux qui mènent leur petit bonhomme de chemin loin des intrigues du ministère.

pseudo et prénom — kim / blackthorns.  âge et région/pays — quatoze-ans-bientôt-quinze, île de france.  comment as-tu découvert le forum ? — je comptais pas rappliquer au début, puis eve m'a tentée, puis j'ai dépoussiéré carlie et me voilà. voyez la faiblesse.  quel est ton avis sur le forum ? —        quelle est ta fréquence de connexion par semaine ? — à peu près 5/7?  ton personnage est — () prédéfini () scénario ( ) inventé ton avatar est — la jolie kelsey chow.  un dernier mot —  

Chaque note est une histoire en soi. Un énième récit que personne n’entend, quand celle qui les récite à en perdre la voix est assise sous les toits, la tête tournée vers des étoiles qu’elle sait aveugles, ne pouvant pas s’empêcher de leur adresser ses confidences muettes, ses soucis fredonnés jusqu’à ce qu’ils en aient perdu leur goût amer, et qu’elle puisse finalement s’endormir sous une couverture de ciel.

Une comptine pour l’enfant qu’elle était quand Cassidy est née, pour une gamine de cinq ans penchée sur un berceau, à examiner ce nouveau-né lui ressemblant tellement et qu’elle sentait pourtant différente. Plus vivante, peut-être, avec des yeux brillants et une vigueur dans ses remuements-même qui faisait dire à maman qu’elle serait une battante, plus tard. Et puis elle prend son aînée sur ses genoux, la berce à son tour, lui narrant conte après conte, jusqu’à ce que les personnages s’animent, échappent aux pages et aux illustrations, aux dessins à l’aquarelle, pour former leur propre farandole, procession chimérique qui rôde, défilé déjanté et coloré qui ceint ses rêves d’une ceinture iridescente. Un conte pour celle qui reste encore là, qui peut réciter de mémoire ses morales préférées aux enfants à l’hôpital, pour leur dire que même quand leur maladie leur semble désespérée, même quand ils se sentent au plus bas, quelqu’un sera toujours là pour leur rappeler que si d’autres s’en sont tirés, alors eux, jeunes, forts, plein d’espoirs, ils ont toutes leurs chances.

Un air dont elle ne se rappelle plus la source pour sa rentrée à Poudlard. Une musique extraite d’un film, peut-être ; quelque chose à l’ambiance magique pour décrire les vastes couloirs du château, la flamme qui s’est allumée dans son cœur lorsque le Choixpeau a clamé son choix de maison devant l’école réunie, le tonnerre d’applaudissements qui secouait la Grande Salle à chaque fois qu’un nouvel élève était réparti. Les pâtisseries dont elle s’est gavée jusqu’à en avoir mal au ventre, et la sensation de quiétude tranquille qu’elle a éprouvé en se couchant pour la première fois dans le dortoir qui serait le sien pour les sept années à venir : une seconde maison où elle serait toujours, quoi qu’elle fasse, quoi qu’elle vive, la bienvenue.

Une chanson de fête pour le jour où Cassidy est entrée à Poudlard, se dirigeant droit vers les Serpentards, et pour Brenton, envoyé chez les bleu et bronze. Pour les frère et sœurs Sullivan, leurs années d’écarts et leurs confidences, la fierté grandissante qu’elle a éprouvé à les voir grandir après elle, les chamailleries et les nuits blanches passées à essayer d’aider Cass pour ses devoirs, puis entrant dans un débat enflammé avec son petit frère, jusqu’à ce qu’ils s’endorment en une pile épuisée mais heureuse, entassés sous la même couverture de pilou dans une maison d’Angleterre. Le parfum des vieux livres dans le bureau de son père lorsqu’il les autorisait à y entrer, où il les laissait feuilleter les copies de ses élèves, et qu’elle comparait en silence aux parchemins magiques de Poudlard, tout en sachant très bien qu’aussi magique que l’école puisse être, elle n’aurait pas renoncé à ce qui faisait ses racines, à ses parents, sa famille, et ce monde moldu qu’elle avait appris à connaître tout gamine, avant de poser le pied dans le Chemin de Traverse, porte de ce qui semblait presque, du haut de ses quatre ans, une autre dimension.

Une mélodie un peu plus mélancolique, peut-être, pour ce jour où elle s’est retournée, cheveux flottants à la fenêtre du Poudlard Express, pour se dire qu’elle ne reviendrait plus jamais là-bas – pas en tant qu’élève. Mais qu’en même temps, c’était une nouvelle vie qui commençait, pour un métier qu’elle apprendrait à aimer, ne serait-ce que pour transmettre son contagieux sourire à ses patients, s’installer dans une routine où elle pourrait un temps arrêter de s’inquiéter. Et un air pour elle, peut-être. Pour Carlie Sullivan, qui continuerait à apprendre, encore et encore, rencontrer, se façonner ; pour sa vie qui était loin d’être finie, une nouvelle histoire qui, elle le savait, ne faisait encore que commencer. Elle écrit chaque mot, un à un, conclut chapitre après chapitre, tout en sachant qu’elle ne sera jamais la seule à y ajouter ses notes. Que chacun y aura un mot à dire, qu’ils le veuillent ou pas, et qu’au final, ce sont eux, et non plus elle, qui tracent la route qu’elle ne fera qu’emprunter, le temps venu.

Elle sourit aux étoiles, moins froides, moins distantes, peut-être. S’allonge, sous couvert de ciel. Se dit que peut-être, peut-être, elle trouvera un autre rêve dans le jour qui colorait l’aube de rose, une autre promesse qui n’attend qu’elle.

Bienvenue officiellement sur le forum ! ça y est, jeune padawan, tu as réçu le test final, tu es officiellement validé ! Avant toute chose, laisse moi quelques mots sur ta fiche : avis sur la fiche du membre. Franchement, bravo ! et maintenant, un petit rappel de ce que tu ne dois pas oublier avant de commencer des RPs déjà, la danse de la joie de Dumbledore t'accueille sur le forum, clique ici (attention les yeux ). Maintenant, il faut que tu passes par ce portoloin pour recenser ton fabulous avatar ! C'est très important et nous te demandons d'être rigoureux sur ce point. D'autre part, qui dit validation, dit carnet d'adresses ! Tu vas pouvoir te créer un carnet pour gérer tes liens en te rendant sur ce sujet ! Lis bien les instructions avant de commencer Ensuite, il est important de passer dans cette partie pour te recenser où il faut. Premièrement, pense à t'enregistrer parmi les sorciers de grande-bretagne en cliquant ici. Ensuite, il faut bien travailler (au diable les paresseux ) alors viens demander un job ici et parce qu'on a tous été à l'école (même mondingus ) il faut bien recenser son parcours scolaire (et ses retenues) en cliquant ici. Enfin, avoir un toit sur la tête c'est mieux, alors demande un logement dans cette partie. D'autre part, si t'es un peu bizarre, que tu as des dents pointues etc... Viens recenser ton don magique dans cette partie. Si tu as décidé d'incarner un personnage issu d'un famille prédéfinie du forum, fais également un tour dans ce sujet. Ca y est, tu es presque en norme maintenant, sache que tu peux avoir le droit à quelques extras ! tout d'abord, tu peux créer un scénario ou un semi-pv dans cette partie pour les scénarios et celle-ci pour les semi-pv. Tu peux également créer ta propre famille de sorciers (cool hein ? ). Rends toi dans cette partie pour en savoir plus sur cette possibilité. Maintenant, tu peux t'éclater et faire la danse du feu tout d'abord, tu peux FLOODER parce que le flood, CEY LA VIE alors viens poster un petit mot tout doux ici et participer aux jeux du forum Découvre aussi la partie dédiée au shipland et aux RPs des membres en prenant ce portoloin. Tu vas t'éclater avec nous et si tu n'oses pas te lancer dans un RP tout de suite car tu es timide, nous avons LA solution lance une recherche de partenaire RP en postant ici. N'oublie pas de consulter régulièrement les nouveautés du forum pour être informé de l'arrivée des intrigues/events et des animations où tu es invité à participer !

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