(ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole

ISAAC SEAD WUTHERIING

Dark twisted fantasy turned to reality

âge, date et lieu de naissance — Son âme a crevé la surface de notre planète bleue et s'est planté telle une graine dans la Terre, la Terre des sorciers. Celle-ci a germé, apparition presque irréelle dans cette partie du nord de l'Angleterre, dans cette commune de berwick upon tweed du comté de Northumberland. La neige l'accueillit le premier décembre 2009. Cela fait 21 hivers que son corps est gelé. nationalité et origines — Wuthering, ce nom souffle le vent des hightlands d'Écosse. Cette famille serait née murmure-t-on dans des bruyères aux fleurs pourpre. Cette lignée pure et noble sorcière s'est peu à peu éteinte. L'écosse les a expulsés, ne pouvant empêcher leur âme de rester près d'elle dans le coeur et l'esprit. Aujourd'hui, minuscule reptile sans son appartenance à cette souche bien enracinée dans le sol magique. Seul modeste fierté dont il peut se venter: être de sang-mêlé. Cependant, parents effacés de sa mémoire, ils ne méritent pas d'être retrouvés, le laissant entre de mauvaises mains. profession — Il vous regarde vous qui passez dans l'allée des embrumes par la vitrine crasseuse et obscure de Barjo & beurk où il tient le rôle de vendeur. Il convoitait celui prisé d'auror au ministère, mais la vie en a décidé autrement. maison à poudlard — Le serpent l'a mordu et son venin s'est répandu dans sa chair vierge. Blason vert et or cousu sur son uniforme, mais gravé au fer rouge dans son cerveau. statut civil — Il est cet animal reclus de la société. Sa haine pour son être ne permet plus à son coeur de voir l'amour que les autres désirent lui donner. parcours scolaire — Assidu aux études, il fut un élève correct mais pourvu d'aucunes facilités. Sa détermination le récompensa, mais ses ambitions le blâmèrent. Sa confiance en lui fut blessée gravement par ses échecs scolaires. Pourtant, il avait cette aura qui attirait tous ces animaux bien dressés. Un respect étrange lui était voué, malheureusement la roue tourne. Il ne le reconnaîtra jamais, mais la facilité déconcertante naturelle chez lui pour brandir sa baguette, jeter des sorts et rempoter des mandragores ne passait pas inaperçue. baguette magique — Longue de 18 centimètres, dans le bois du pommier aux fruits couleur sang, elle fut taillée et en son cœur, on y a planté une ventricule de cœur de dragon. patronus — Doté d'une agilité digne d'un écureuil et d'une splendide fourrure, le marte des pins symbolise ses racines du nord. épouvantard — Souvenir ancré au plus profond de son passé. Le petit garçon de neuf ans est de s'imaginer ce qu'il l'attend malgré les préventions radotées par son oncle. L'armoire s'ouvre et il se retrouve face à lui-même, les yeux noirs, cernés lui crachant "Tu es un monstre, une sale bête au cerveau dure et creux tel une coquille vide" Des mots singuliers, mais aussi tranchant que mille poignards, aussi vifs et brutaux que prononcer un des sortilèges impardonnables. amortentia — Il se promenait sur ces sentiers en automne libérant l'odeur des feuilles mortes dans lesquelles il donnait des coups de pied et ces senteurs des arbres qui le regardaient avec bienveillance. localisation — Londres l'abrite depuis sa fugue du domaine de l'oncle. Ainsi, c'est à Whitechapel, quartier pauvre à l'âge victorien, qu'il a atterri. don magique — On a cessé de lui rappeler : Legilimen dès sa plus tendre enfance. Un don ? Le jeune homme le considère maintenant comme une malédiction. Il entend ces voix, ces plaintes qui constituent les peines du monde. Cauchemars de chaque jour, son oncle le força à s'entraîner dans le but d'exploiter cette particularité pour son propre intérêt. La fierté qu'elle lui procurait s'est transformée en répulsion. qualités et défauts — Il était ambitieux de voler plus haut que les autres pigeons, déterminé à dépasser ses limites et filtrer les apparences, fierté contenue de faire partie de ce monde où une place, semblait-il, lui avait été réservée, introverti, discret sur ses joies, ses peines indignes malheureusement il s'est formé un trou où son âme a glissé. Maintenant sensible face à chaque regard noir de haines qu'il se porte, refermé sur ce misérable dont il aperçoit le reflet chaque matin dans le miroir de sa salle de bain, lunatique sur cette planète pleine de cratères dans lesquels on peut trébucher, perdu dans l'immensité d'un univers qu'il l'a entraîné jusqu'aux abîmes. Il reste au fond de lui ce gamin qui aimait rire, curieux de découvrir ce que dame nature lui réservait. Il resurgira le moment venu... signe distinctif — Une goutte, une larme de sang tatouée sur l'index de sa main droite. faits notables — Le jeune homme ne fut pas honoré de prestiges. Le quidditch, les duels, pacotilles certes agréables, mais dont il ne voyait pas le moindre intérêt. groupe — Contre son oncle, contre le ministère, il désire cependant cette vie longue, lente et reposante où la terre et le ciel ne ferraient qu'un. (~~slow life~~ betrayed heart)

Le ministère semble corrompu et de nombreuses affaires ont éclaté depuis la période de paix. Que pensez-vous du ministère ? Pensez-vous qu'il est corrompu ? Quel est votre avis sur le ministre de la magie ? A-t-il triché selon vous pour obtenir son poste ? Le ministère, il désirait en faire son lieu de travail, sa vie… Celle ordonnée et calme dont il a toujours rêvé. Pour avoir passé un entretien là-bas, il ne s'illusionne pas. Celui-ci ne peut contrôler tous ses employés et ses dirigeants. Cet univers provoque la jalousie et l'ambition de monter toujours plus haut qu'importe le nombre de victimes. Les pots-de-vin ou autres manigances se montrent être le quotidien de cette machine fonctionnant à cent à l'heure. L'expérience le lui fit comprendre le jour où sa seule chance de devenir quelqu'un fut stoppé par les désirs d'un oncle complice avec ce même ministère. Il se retrouva libre mais contraint, bête lâchée trop tôt dans cette jungle humaine où les lianes des arbres avaient été coupées. Ce gouvernement ne se soucie pas du peuple, mais de sa petite personne alors si tricherie et magouilles ont permis au Premier ministre d'accéder au pouvoir, il n'en doute pas une seconde même si son assiduité pour les affaires de ce genre est faible.

Le tombeau de Merlin a été découvert et son reliquaire, caché à Gringotts, mais un voleur s'est emparé d'une relique. Que pensez-vous de cette affaire ? Craignez-vous le pouvoir des reliques ? Quel est votre avis sur cette incroyable découverte ? Les actualités, il ne faut que les suivre du coin de l'œil impuissant. Par les journaux ambulants et ces fouilles, les trésors enfuis depuis des siècles sont exposés pour la seconde fois aux rayons du soleil qui sont certainement trop brûlants pour eux. Il faut rendre à la terre ce qui lui a été confié. Ils ne se trouvaient pas là par hasard, la raison doit se cacher quelque part. Déterrer le passé reforme de vieilles blessures ou en ouvre de nouvelles. Pressentiments, prémonitions, ces reliques vont réveiller quelque chose ... Sous qu'elle forme, de quelle nature apparaitra-t-elle ? Face à l'ignorance, en place la vigilance. On est jamais trop prudent surtout en ces temps qui courent trop vite.

à l'intérieur de ma pensine ≈Isaac… Isaac, ne pose pas tes yeux sur le ciel mais, plutôt sur ce sol qui s'enfonce sous tes pas, qui t'emprisonne et te paralyse, sable mouvement de ta vie. Perds cette tête dure remplie par ces venins que le hommes répandent de leur bouche bien trop souvent entre ouverte. Ton être se déchire petit à petit, se fendille, se craquelle… Ne redevient pas poussière Isaac… Il reste encore l'espoir... Cette lumière Isaac la vois-tu ? Celle qui dore tes cheveux l'été et les brunit en hiver. Tu ne l'as jamais appréciée, elle met en valeur tes iris noirs… Si on les transperce on y découvre le goût amer de la déception nommé Edgar Wuthering… Protecteur, tuteur de ta petite personne… Plan de secours pour ces deux vies qui t'ont mises au monde sans les moyens pour assurer ton épanouissement dans cet univers qui éveille la fascination et la crainte. Ce n'est pas pour autant que la cuillère en argent n'a pas traversé la fente entre tes deux lèvres. Elle contenait, comblait tes moindres désirs. Tu dévalais les collines à perdre haleine, enivrant la vie. Tel un lynx tes pupilles transperçaient ta vision qui en devenait plus performante. Ainsi un, fusil à la main, sa présence tout près de toi, tu appuyais sur le détente et les oiseaux volaient. Peut-être était-ce un présage de cette liberté qui s'échapperait au premier coup tiré ? En tout cas, le sourire se formait sur le visage aussi froid que du marbre d'Edgar quand tu t'entraînais. Tu continuais juste pour le plaisir de voir cet homme satisfait. Tu t'adonnais à une adoration pour ton oncle, ton unique exemple de grandeur. Moteur de tes ambitions, énergie qui te permettait de t'épanouir dans ce paysage masculin et rude. Peur et tristesse furent éradiquées de ton vocabulaire... Ceux-ci étaient domestiqués, domptés, dominés pour être ensuite éradiqués. On t'a fait aimer le rouge provenant de tes cicatrices, l'orange et le jaune du feu de la cheminée, le vert des prairies. Ainsi, cela te fit apprécier cet automne où ces couleurs fusionnaient et provoquaient un bel incendie fascinant et enivrant. Cette saison te permettait d'emprunter cette grosse loupe posée sur le bureau du maître et de pencher ton corps sur l'herbe où une multitude de vies besogneuses cohabitaient à l'unisson. Scarabées, fourmis, araignées, elle te prenait les heures que tu ne passais pas avec ton oncle. Tu entendais leurs plaintes et recherchais des solutions pour qu'elles cessent. Mandragores, botruc, pitiponk… Créatures fantastiques des sorciers les remplacèrent rapidement. Un pinceau sûr et réaliste en main, tu débutas secrètement une singulière œuvre sur tes connaissances sur la faune sorcière accumulée au fil des années par la botanique et les soins aux créatures magiques. Grâce l'amitié tissée avec la professeur de la matière, la forêt interdite te fut révélée lors de rares occasions. le livre de Newt Scamander "les animaux fantastiques" devint ta bible. C'était une simple passion que ton oncle parvint pas à faire disparaitre. Une forge a chauffé ce métal, ce caractère qui se polissait, qui prenait peu à peu sa forme. L'humour noir, reste, miette de cette époque trainant sur le sol, toujours menacée de finir poussière. Tu étais la principale cause des rires émis par le gosier des serpents à Poudlard dont tu étais apprécié, soumis à la même éducation où la force fait prisonnière la faiblesse. Mais tu n'utilisas pas ta sève pour prendre le pouvoir et te démarquer de la masse. Cela n'occupait pas tes aspirations… Tu suivais ce fleuve impétueux sans trop de difficultés sans que ta particularité vienne s'immiscer entre eux. Les fondations de ton existence furent stables avant que les piliers principaux se brisent et fassent tout écrouler petit à petit. Doué à brandir ta baguette et débiter des sorts, tu ambitionnais le poste d'ensorceleur au ministère. Mais elle fut rattrapée par cette figure paternelle : ta déception. Malgré une vue aussi performante, tu ne t'aperçus pas de l'ardeur des ambitions qu'il s'était construites pour accéder au pouvoir par ton intermédiaire. Pantin de ta propre histoire, lui, le marionnettiste avait emmêlé les fils qui se sont cassés. Tu bous tel de l'eau sous les flammes. Dans ta boutique, les objets immobiles provoquent en toi la crainte qui est apparue. Ils te rappellent ta défaite. Tu subis chaque journée ne parvenant à te faire oublier les erreurs passées.
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pseudo et prénom — Garance c'est le nom d'une fleur - Shakespeare in flowers. âge et région/pays — petite parisienne qui en est à son 15 ème printemps comment as-tu découvert le forum ? — forum inconnu qu'on appelle Bazzart quel est ton avis sur le forum ? — Je n'ai pas de mot devant cette merveille quelle est ta fréquence de connexion par semaine ? — cinq fois par semaine minimum ton personnage est — () prédéfini () scénario (x) inventé ton avatar est — Nick Robinson, le babass un dernier mot — Love in the air

THE MONSTERS WILL FIND YOU

Dig up the bones but leave my soul alone, kissing death and losing breath

Elle roule, elle roule la voiture teintée en noire, les yeux restent accrochés au paysage qui défile… Trop vite trop vite. La rapidité, il n'a jamais aimé.
Papa, dans son tracteur sur ces champs bien rectangulaires
Maman, au marché à vendre ses produits laitiers.
Papa, il l'a embrassé rapidement au réveil, les yeux un peu trop brillants de larmes retenues
Maman, elle l'a câliné trop vivement, le serrant fort, trop fort
Tout cela cache quelque chose que les voix de son esprit lui ont déjà murmuré "ils t'ont abandonné"
Peintes en noir, tes pupilles portant cet obscur regard, où la haine s'est déjà immiscée, s'est déjà engouffrée dans la voiture qui l'emmène loin, loin de ce qui n'est déjà plus sa vie, mais un souvenir, un rêve, un mirage. L'oubli a déjà mis son voile.
Plus les kilomètres sont avalés, plus tout cela lui est bien égal "Tu ne trouves pas qu'il a une attitude anormale ?" "Tu te comportes comme un animal"
Bête ! Monstre ! Magicien ! Démon ! Les noms fusent de la bouche de ces paysans.
Rumeurs, rumeurs qui enflent, grossissent jusqu'à éclater.
"J'ai appris qu'il entendait des esprits" "L'autre fois, ce petit de 5 ans a réussi à ouvrir les pétales d'une rose"
Être à part, recueillant trop de bizarreries en lui, il est parti.
Plus de mamelles pour lui donner le lait
Plus de main-forte et muscles pour le redresser.
Il n'a plus besoin de ces renforts qui allaient s'ébranler. Il suit sa destinée qui se trace sur cette route. Petit animal qu'on dirige vers sa cage dorée. "C'est beau là-bas ?" Jeune femme au coeur tendre, celle-ci est venue ce matin sortant du carrosse noir, se dirigeant vers lui "Viens-tu, ton vrai monde t'attend""Mon vrai monde ?" "Celui où ta vraie nature ne sera plus un problème" Sourire mielleux mais rassurant intrigue le petit garçon. Une dernière question est pendue à ses lèvres "et mes parents ?" "Il ne sont plus dans ton univers dorénavant" Elle a attrapé sa main et les voilà lancés "c'est beau là-bas ?" "Oui, plus beau que tu ne puisses te l'imaginer mais plus effrayant aussi…" Il acquiesce et pose sa tête sur le dossier de la banquette arrière. Rêvant les yeux ouverts, il se force à ne pas songer à ce qui l'attend. Il ne veut pas espérer. Non. L'espoir ne mène à rien même dans sa tête de garçon de sept ans, sinon ceux que ses parents avaient placés en lui pour qu'il s'intègre dans la société auraient fonctionné. Un tremblement sourd se répand dans son corps. Peur ? Peut-être, il ignore le sentiment qui traine sur sa langue. Le dictionnaire ne lui donnerait pas la définition exacte, un méli-mélo de crainte, de haine, d'impatience. Hâte, hâte d'accoster à ce port promis, à cette île inconnue. Il traverse colline après colline la campagne écossaise les minutes s'enchaînent, une monotonie s'installe comme un somnifère. "Isaac, nous sommes arrivés" . Les paupières s'ouvrent doucement tandis qu'on le presse de sortir. Ses repères ont disparu. Il est seul face l'imposante façade d'une demeure en brique rouge de style gothique. En ligne, des hommes et des femmes à la tenue pratiquement semblable le regardent avec une étrange bienveillance. Il serre les mains tendues échappant un petit bonjour timide. "Bienvenue à Wuthering Abbey cher neveu" Cette voix le fit sursauter. Il se retourna, né à né avec cette créature, les cheveux d'un blanc cassé, un costard bordeaux comme vêtement, un rictus au coin de sa bouche pulpeuse qui n'augurait rien de bon. Impression effrayante imposant le respect dès cette première rencontre. C'était lui le personnage dont ses géniteurs avaient tant fait référence "s'il devenait comme ton frère ?" "Non Macy, notre garçon est bien trop intelligent" "Tu es sûr que c'est une bonne idée de l'envoyer là-bas ?" "Nous n'avons pas le choix, l'argent qui nous manque et sa réputation au village ne nous laissent pas le choix." Ils soupirèrent impuissant ignorant que leur choix allait marquer la renaissance de leur gamin. Isaac le transperça du regard fasciné. Son passé avait filé, son présent et son futur se tenaient devant lui. "Êtes-vous le diable mon oncle ?" Cette phrase échappa. Elle pendait à sa langue depuis l'apparition du maître. Sa grosse tête de faune éclata de rire "Si je suis le diable, mon enfer est bien beau"

La pièce est plantée dans l'obscurité, il aperçoit à peine cette personne effrayée, paniquée devant lui au service de son maître. Sa peur lui est transmise et son squelette en est tétanisé. Il ne veut pas lui faire du mal. Il ne lui fait pas mal, non ? Est-ce un crime de pouvoir s'immiscer dans la partie la plus intime de l'individu ? Son oncle, son mentor lui assure le contraire mais il n'en est pas totalement convaincu. Il reste cette crainte d'avoir accès à un secret inavouable… La peur, toujours la peur, cette esprit malicieux qui aime faire muraille entre la volonté et l'action. Celle qui mène a une défaite cuisante. Pars, pars, démon, cause des erreurs et du manque de confiance des hommes, fruit empoissonnant l'existence. Fuit avant qu'on ne t'étripe. Disparais en poussière, pourriture s'infiltrant dans nos corps impuissants. Fuit, fuit avant d'être noyé ! "Concentre-toi, tu peux y arriver. Tu es fort" Voie de la raison, elle l'aide à vider cet esprit rempli d'un brouillard opaque. Ses yeux se ferment, ses narines bougent, retiennent l'air qui s'infiltre jusqu'à ses poumons. Calme, la brume se lève enfin sur un territoire étranger, paysage d'une personnalité bien spécifique. L'accueil est glacial, donnant cette impression de ne pas être le bienvenu dans ce monde. Il découvre les regrets, les blessures, les amours passionnels, les tragédies, les erreurs irréparables ancrées au plus profond de l'être. Elles n'ont plus de refuges, de cachettes, de maison où trouver le repos mérité. Violant la propriété privée de l'individu, il se perd. Les informations apparaissent violemment comme des gifles. Il a mal, il est secoué par ce remord de se faire passer pour le mauvais garçon. Malgré lui, chaque parcelle de ces pensées innocentes lui sont révélées, celles-ci lui sont données sur un plateau d'argent comme s'il en était le véritable propriétaire. "Mr Hachett m'a fait des avances""Mon dieu, j'ai peur, j'ai peur qu'on découvre que c'est moi qui est cassé le plat en porcelaine""Ma mère est morte en accouchant"informations aussi accessibles que si elles étaient inscrites dans un journal. Elles ne servent à rien, juste à assouvir cette curiosité maladive sans arrêt en demande. Elles le nourrissent, aliment délicat et frais. Addiction gravée, insoluble qu'il connaît depuis que son oncle a pris la décision de l'entraîner en découvrant son don. "Tu peux en être fier, c'est un honneur d'avoir reçu cette particularité Isaac" il commence à l'apprécier, à se laisser prendre par ce jeu machiavélique. Il a soif, il a faim et ces repas le rassasient aussi bien qu'un solide déjeuné. Il commence à le contrôler, à l'exploiter. Les sens aux aguets, il se focalise sur les émotions de la victime, mais reste aujourd'hui déçu. Cette fille de vingt ans nommée Mary ne se montre pas d'une grande utilité pour déjouer les plans, les manœuvres du personnel pour tenter d'avoir un jour de repos, de gagner un salaire plus conséquent. Il fouille même cherchant à savoir l'avis du personnel sur Edgar Wuthering. Le personnels et les habitants des terres de celui-ci, sont tous moldus à l'exception du secrétaire George McDown. "William a demandé à Alice de…" Hélas, la brume reprend peu à peu sa place, dissimulant maintenant le jardin secret dévoilé. Un juron se forme sur sa bouche qui est aussitôt recrachée. " Allons, Tu as tenu sept minutes ! Deux minutes de plus que la dernière fois. À cette allure, lors de ton entrée à Poudlard, tu n'auras même plus besoin de toute cette préparation intérieure pour entrer dans les pensées !" C'était la première fois que cet homme intransigeant exprimait son contentement devant ses efforts. Les nombreux reproches jetés sans états d'âme restaient gravés. "Tu es trop faible !" "Non, tu ne vises pas assez bien" "Soit plus vif ! Allé ! Restes concentré !""Incapable !""Un sorcier ne se comporte pas comme ça" "Imagine toi à Poudlard, tu crois qu'on va te prendre en pitié lorsque qu'on constatera que tu confonds les cornes de bicornes et les cornes de licornes ?". Il n'avait pas le droit à l'erreur dans aucune discipline magique et à n'importe quel moment de la journée. Il avait le poids de cette pression "Tu dois être le meilleur mon fils". Mais cette fois-ci, il semblait satisfait le congédiant. Rassuré, il dévale les escaliers jusqu'au jardin donnant sur les landes, où un autre monde l'emmène pour un temps toujours trop court. L'activité d'une fourmilière, la coque dorée d'un scarabée avaient toute son attention. Une autre sorte de magie se créait, saine et douce : celle de la connexion de l'homme avec la nature.

Douce nuit, belle nuit, protège-nous par ton dôme comblé d'étoiles, protège nous de ces démons de minuit qui hantent nos rêves bleu azur. Nous ne sommes que ces innocents qui ont touchés le bain de sang dont est couvert notre monde. Donne-nous ces couleurs rassurantes : ce violet des iris, ce jaune des jonquilles, cet orange des tulipes. Le vert sombre de la jungle, le doré trop éclatant, le marron boueux ont imprégné cette salle commune où reptiles se côtoient le sourire moqueur. Il est assis sur un fauteuil, seul face à cette cheminée où un maigre feu crache encore quelques flammes. Le livre posé entre les mains, il tourne les pages délicatement. Instant de bonheur furtif caché à ses camarades trop agités pendant la journée, s'écroulant sur leur moelleux matelas le soir venu. Lui garde ses yeux ouverts et se recueille devant sa bible "les animaux fantastiques". Cette faune l'attire, lui souffle de venir s'envoler pour une destination plus radieuse. Dès l'aurore, il doit montrer cet être réservé dans les pas des autres. Sa personnalité resurgit sous la présence de Dame lune. Il part en voyage, détruisant ces murailles invisibles qu'il dresse autour de son château, celui de son cerveau. Il sent le calme, cette légèreté qui le remplit, disparaissant avec l'arrivée des pensées qu'il peut piocher. Elles s'infiltrent dans sa tête pour venir le chatouiller. Il les reçoit comme des picotements, des fourmis qui se répandent dans une partie de son corps. Le soleil couché, il est libre, heureux. Plus d'oncle, plus de sorciers, plus de potions, de métamorphoses, mais simplement l'univers qu'il s'est créé. "Toi aussi, t'es cet animal, un enfant de la nuit ?" Voix parmi tant d'autres, voix enfantine, sûr d'elle dont il aimait écouter la mélodie. "Silde ?" Joueuse, gaffeuse, intrépide, elle était ce balai incontrôlable qui fonçait tel une bourrasque. Un caractère trempé dans la sauce piquante de la détermination et de la volonté. De nombreuses anecdotes fusaient sur son sujet : on lui donnait l'exploit d'avoir transformé un prétendant trop insistant en hérisson, de s'être emparé d'un Philtre de Confusion dans l'antre du professeur de potion et de s'être infiltré dans la Réserve de la bibliothèque. Aimant, magnétisme indéfinissable, princesse des serpents, petite majesté incontrôlée. Comme tous les autres, il avait succombé à cette étoile plus lumineuse que la sienne. Elle le troublait, elle l'intriguait par cette assurance espiègle. Elle incarnait optimisme, la force : Colombe messagère de la liberté, la grenouille au tempérament plus imposant que celui d'un bœuf, guerrière anéantissant tout individu sur son chemin. Son regard tel une journée sans nuage mettait en valeur sa crinière blonde. Cette stature le fascinait, le rendait minuscule. Elle sort de l'ombre, se calant sur le fauteuil à côté du sien. Il l'observe, muet de crainte et d'émerveillement devant cette apparition. Elle est amusée. "Je fais autant d'effet que ça ?""Tu n'es pas une bête comme les autres""C'est-à-dire ?""Le rat fait toujours son petit effet quand il sort de son trou""Au moins on me remarque" garçon de fer, fille de feux, il voudrait la consumer en même temps que la pomponner comme un rouge-gorge ayant perdu son aile. Il est soumis à deux forces, l'une possède des cornes sur son crâne, l'autre possède des ailes dans le dos. Il navigue sur un flot d'émotions risquant de le faire chavirer. Son corps paralysé n'échapperait pas à la noyade. Il ne veut pas mourir, pas maintenant. Il ne désire pas qu'elle l'avale et en fasse son repas. "Pourquoi as-tu si faim ?" Ose-t-il échapper l'esprit plongé dans ses songes [color=#cc9999"Parce que ta chair est bien plus rare que tu ne veux l'imaginer Isaac"[/color] Réponse sans la moindre pointe d'étonnement comme si elle s'était introduite dans son crâne écervelé, la malice au creux de ses lèvres rosés. "Tu vaux de l'or""Comme celui dans tes yeux ?""Mes yeux sont des forteresses transparentes, elles ne valent rien""Comme quoi alors ?" Elle se lève, lui saisit la main causant la chute de l'ouvrage sur ses genoux et se dirige vers la fenêtre où elle tend la main vers le satellite en son premier croissant "Comme la lune notre maman, reine de la nuit, comme toutes ces personnes ici, tu n'as pas de prix" Douce nuit, demeure de notre mère, enfuit nous dans dans ton lit d'étoiles, nous avons peur de faire un cauchemar.

Le costard bien taillé, la cravate bien nouée les sens aux aguets, la respiration rapide, il s'engouffre dans la cabine téléphonique, ses mains fébriles composent le code : 6. jours que sa scolarité s'est terminée, 2. jours qu'il a formulé ses adieux à la demeure de son oncle 4. heures qu'il est dans un état de nervosité absolue, incontrôlable, 4. minutes de retard 2. secondes qu'il tape ce satané code. La machine infernale s'actionne et s'enfonce dans le sous-sol de la ville. Il atterrit dans l'atrium. Fourmilière, ruche en pleine action, elle lui donne ce tournis. Des regards furtifs de mauvais augures se tournent vers lui, lui animal de taille minuscule à l'échelle de se grand bâtiment étouffé. Il commence déjà à manquer d'air. Le stress peut-être ? Ses pas l'entrainent, lui imposant une rythme soutenu. Il se fait manger par l'ascenseur. Après plusieurs secousses, il atterrit au département de la justice magique. Les visages qu'ils croisent sont de marbre, impossible de découvrir ce qui se cache derrière ces sorciers à l'aise dans leur vêtement chic. Il est enfin devant la porte. Porte par laquelle il sortira le visage en joie, l'avenir dans ses bras : il aura une formation un emploi. Il sera enfin considéré comme adulte. Il n'a tout même pas déployé tant d'efforts pour que l'étagère de ses ambitions ne soit pas remplie. Désire de voir son père adoptif comblé, comblé de sa réussite. La porte s'ouvre, laissant apparaitre un homme de haute stature, des cheveux plaqués par du gel, souriant. Il lui sert la main avec énergie "Bienvenue au ministère Monsieur Wuthering ! Je vous en pris faites moi le plaisir d'entrer" Il lui fait signe d'avancer dans la pièce d'une sobriété exemplaire. Il prend place sur la chaise face au bureau et attend tranquillement que l'homme se munisse de son dossier enfuit un des tiroirs du meuble. "Ah voilà ! Excusez-moi, je ne me suis pas présenté, Harry Potter, chef des Aurors, nous avons étudié votre dossier pour suivre la formation d'Auror" Il hoche la tête mécaniquement en guise de réponse. "Bien, je dois malheureusement vous annoncer qu'il y a eu plus de demandes que de places. Votre candidature est donc refusée" Refoulé, refoulé de sa destinée. Était-ce un cauchemar ? Non, non, sinon celui-ci prendrait fin maintenant alors qu'il continue. Les lèvres du Potter se mordent, le Wuthering prend peu à peu conscience de la réalité qu'il a sous le nez. "Comment ça je suis refusé ? Mais je me suis renseigné, on m'a encouragé pour postuler.""Je suis sincèrement désolé mais vous arrivez trop tard""J'ai fait tout le trajet en train d'Écosse pour rien ?! C'est ça ce que vous voulez me dire ?!" Flash, vision à travers le dossier où une feuille dépasse. Elle est pourpre et porte les insignes d'Edgar Wuthering, son tuteur, son oncle. Il la saisit aussitôt, le chef des aurores n'a pas le temps d'intercepter le geste.

Cher Mr Potter,
Mon neveu que j'héberge depuis l'âge de 6 ans, élevé avec mes propres soins désirant en faire le parfait héritier de mon domaine et de ma fortune, à eu l'idée saugrenue de devenir auror. Comme vous le savez mieux que moi, un auror doit être doté d'une force surhumaine, incorruptible et d'un grand contrôle de soi. Mon neveu, bien que je lui donne certaines qualités, n'en possède aucune propice pour se voir attribuer une formation pour exercer se métier. Avec ces cinq mille galions, veillez bien à l'arrêté dans sa folie pour qu'il revienne à la raison.
Cordialement
Sir Edgar Wuthering.

"Rendez-moi ce papier immédiatement avant que j'appelle les autorités"
Ses mains lâchent d'un coup la lettre, lettre qui marque la fin de toutes les illusions qu'il s'était fondé.
Boom les piliers se fendillent en deux
Boom les murs, le sol, le plafond sont pulvérisés.
Tout s'effondre et il s'enffonce dans cette boue qu'il avait toujours voulut ignoré.
Boom son cerveau est touché, il est blessé.
Boom ses yeux jusqu'alors aveugle, retrouve une vision d'une parfaite netteté l'exposant à la lumière de la réalité.
Ça tourne, ça tourne, tout s'en va, disparaît de la forteresse qu'il s'était promis de protéger. Il n'est plus rien, juste cet animal repoussant, un sale rebouteux "je vous pris de bien vouloir déguerpir de mon bureau monsieur. Vous savez ce qu'il vous reste à faire"
Il court, il court à perdre haleine
Il court, il court s'en ne savoir où cela le mène.
Des couloirs se succèdent, il bouscule des employés incrédules devant la bête qui s'exprime pour la première fois.
Fou, fou de rage, de désespoir. Il ne se rend même pas compte qu'il a retrouvé l'air pollué de la capitale. Il est en cavale, la peur vielle amie se tient tout près de lui, elle a pris possession de son âme. Il peut entendre son rire démoniaque qui le glace frigorifiant ses organes.

Deux jours, deux maudits jours, deux jours de débauche, de verres trop rapidement vidés au chaudron baveur jusqu'à ce qu'il soit expulsé, ne pouvant plus payer. Il est détroussé, sans aucune identité, errant sur les pavés de Diagon Alley. Il ne fait pas beau à voir Isaac, les yeux injectés de sang sur lesquels deux beaux hématomes ont fait leur apparition. Les habits en lambeaux, il ne sait plus où aller. C'est par dépit qu'il bifurque sur l'allée des embrumes, crasseuse et morbide comme sa réputation. En l'empruntant, il signe son avenir. Un coup d'œil jeté à la vitrine de la boutique spécialisée dans la vente d'articles et accessoires consacrés à la magie noire. Un mot est collé dessus "Recherche de vendeur efficace mais pas cocasse". Désespéré, il n'y a pas le temps à l'hésitation devant cette maigre chance qui lui tend ses bras. À son arrivée dans la pièce insalubre, Mr Beurk est là, l'accueillant le sourire édenté "Bienvenue en enfer mon garçon"

bienvenuuuuuuuue (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 363959782

il m'intrigue abel (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 3756103747

bienvenue et bon courage pour ta fiche (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 363959782

nick robinson, quel choix divin.
bienvenue parmi nous, hâte de voir ce que tu nous réserves pour ton personnage.

Un autre Abel (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 2547965434

Bienvenue et bon courage pour ta fiche (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 363959782

oh le super choix d'avatar I love you

bienvenue parmi nous et bonne chance pour la suite de ta fiche (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 2547965434

si tu as des questions, n'hésite pas (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 3602887235

si tu pouvais juste modifier le prénom de ton personnage, nous avons déjà un Abel et on préfère ne pas avoir plein de personnages avec le même prénom, ça évite les confusions, merci (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 2547965434

Merci à tous, vous êtes des amours (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 3845605007

(ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 2064557953

james Oui pas de problème , je me suis dis ça après avoir découvert que j'avais le même prénom qu'un autre membre (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 388063016

(ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 388063016

merci

Et voilou

(ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 34297996

oh, j'adore le choix de prénom (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 3602887235

Oh Nick, quel choix. (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 1689686154

Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche. I love you

Oh mon dieu cet avatar est juste magnifique, j'aime ce choix (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 575538200

bienvenue et bon courage (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 575538200

Bienvenue parmi nous I love you

bienvenue et bon courage pour ta fiche (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 363959782

bienvenue ! courage pour la suite de la fiche (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 575538200

bienvenue

(ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 3824742398

bon courage pour la suite (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 363959782

bienvenue et bonne chance pour ta fiche
super choix d'avatar

bienvenue

(ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 985964627

Vous êtes (trop) magnifiques (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 3322350383

Bref merci pour tout cette amour, j'espère ne pas vous décevoir (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 2547965434

Je vois que mon Nick a du succès (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 985964627

James Je suis rassurée alors (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 501941640

Garance Ça me fait bizarre de voir mon prénom utilisé pour un personnage (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 388063016

(surtout que le tien envoi du lourd (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 3687255958

)

Bienvenue ici Isaac !
Garance est un si joli prénom, et encore assez rare (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 2064557953

(bien que j'ai l'impression d'en voir de plus en plus en ce moment)

Bonne inspiration pour la suite de ta fiche (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 575538200

Un Diggory (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 1689686154

Daniel Craig en plus (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 4223757388

Bref merci (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 1984404495

l'avatar, le personnage, t'es tellement bg.
bienvenue et bonne chance pour ta fichounette.

salut

tu travailles ta fiche depuis une semaine désormais, où en es-tu ? as-tu besoin d'un délai ? si oui, n'hésite pas à le demander. en attendant, je déplace ta fiche ! c'est temporaire alors ne t'inquiète pas. (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 2064557953

merci de nous contacter rapidement pour ne pas la voir archivée et ton compte supprimé. (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 3602887235

Je comptais écrire mon histoire aujourd'hui (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 2064557953

Donc je veux bien un petit délais de 2/3 jours au cas où j'ai des imprévues (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole 3845605007

Sujet: Re: (ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole

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(ISAAC) Boy with a heart, a gaping hole

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