âge, date et lieu de naissance — Née un 4 avril à Londres, la belle est désormais âgée de 27 ans. nationalité et origines — D'aussi loin que les Cholmondeley peuvent s'en souvenir : ils sont des anglais. Adriana a donc cette nationalité, même si elle a longtemps vécu en France. sang de sorcier — Mêlé. Les Cholmondeley n'ont jamais été pur. Le premier sorcier de la famille est apparu il y a deux siècles, et depuis cette branche de la famille est sorcière (et n'a d'ailleurs plus aucun contact avec la famille moldue). profession — Si l'ont peut appeler ça sa profession... Adriana est une voleuse, plutôt connue dans la pègre et ce sous le surnom de Red Vulture, à cause d'une habitude étrange qu'elle a commencé à avoir de laisser une décalcomanie de vautour rouge sur la porte des endroits qu'elle a cambriolé. Une manière à elle de faire comprendre qu'elle était là et qu'elle ne se fera jamais attrapée. La jeune femme a un niveau d'arrogance assez impressionnant... Et puis le vautour est l'armoire des Cholmondeley. maison à poudlard — Adriana a été déclarée officiellement disparue, puis morte, à l'âge de douze ans. Elle a donc été désinscrite de l'école de magie Poudlard, alors qu'elle y avait fait une première année sous les couleurs rouge et or. Après, ceux qui l'avaient adoptés sont partis en France et elle étudia à Beauxbâtons. statut civil — Célibataire, Adriana a eut beaucoup de relations charnelles ou de plusieurs semaines, mais jamais rien de sérieux. parcours scolaire — Elle a fait un an à Poudlard, en tant que Gryffondor. Quand elle est allée en France, étant donné qu'elle venait d'être adoptée et qu'elle avait changer de nom de famille (elle avait alors un nom français, qu'elle ne mentionne jamais. Elle se sait une Cholmondeley, même si officiellement Adriana Cholmodeley est morte) elle dut recommencer ses études à la première année. baguette magique — Sa baguette est en bois de cerisier. Elle mesure 24 centimètres et est souple. Elle renferme une plume d'hippogriffe et est prédisposée à la métamorphose.patronus — Un lynx. épouvantard — Une maison en flammes. Sa maison. amortentia — Citron, vieux livres et tissus fraîchement lavé de son enfance. localisation — Londres. La belle a beaucoup voyagé et est revenue dans son pays natale il y a de cela deux ans. Elle pensait que son frère était mort, lui aussi, dans le drame qui a secoué sa famille mais elle vient d'apprendre, par les médias, qu'il dirige toujours le groupe de leurs parents. Elle est dans la capitale, et refuse de la quitter avant de l'avoir retrouver. Avant qu'il sache, qu'il l'avait abandonnée, alors qu'elle n'était pas morte. don magique — Animagus : vautour. qualités et défauts — rancunière, vindicative, joueuse, arrogante, créative, rusée, discrète, sensible, fausse dure, menteuse, généreuse, désillusionnée, voudrait rêver encore, réaliste, déterminée. signe distinctif — Elle possède quelques cicatrices et surtout une, plutôt impressionnante, sur la poitrine et qui va jusqu'à son cou. Il s'agit des reste de l'un des sorts qui la toucha pendant l'attaque contre sa famille. faits notables — La brune révèle sa magie à l'âge de cinq ans, un peu avant son frère jumeau. Elle provoque la surprise chez les Cholmondeley en entrant à gryffondor, alors que la plupart des membres de la familles sont soit des serpentard, soit des serdaigles. Officiellement morte en 2015. Cambriole la première famille sorcière la plus riche en France en 2027 : premier gros larcin qui la fait connaître. Cambriole le musée de la sorcellerie à Genève en 2027. En décembre 2027 : son meilleur ami décède et elle décide de quitter la France pour aller vivre en Angleterre. En 2028, elle tend un piège à un rival et le fait accuser à sa place, en Angleterre. groupe — slow lifei

pseudo et prénom — bigbadwolf, lise âge et région/pays — 22 ans, Belgique comment as-tu découvert le forum ? — directement par Marine. quel est ton avis sur le forum ? — bien construit, comme d'hab ! quelle est ta fréquence de connexion par semaine ? — tous les jours ton personnage est — () prédéfini () scénario (x) inventé ton avatar est — shelley hennig un dernier mot —  

Elle glissa ses doigts entre ceux de son frère, et le tira à elle, dans le lit. Gabriel ne pouvait pas résister aux impulsions de sa jumelle, il se laissa aller contre elle et entoura ses épaules d’un bras qui se voulait protecteur, mais surtout aimant. La fillette, alors âgée de huit ans, glissa son visage contre le torse de son frère. Il était un peu plus grand qu’elle, déjà. « T’as fait un cauchemar ? » Elle hocha la tête, se blottissant contre lui dans son lit bien trop grand pour une seule personne, de toute manière. « C’est juste un rêve, Adri. » Elle hocha la tête et se mit un peu plus sur lui. « Un rêve où j’étais séparée de toi. » Sa petite voix, aux accents candides, s’élevait péniblement, à moitié étouffée qu’elle était par le torse du jeune garçon qui protégeait sa sœur envers et contre tout. « N’importe quoi, comme si j’allais te laisser toute seule. » Elle sourit et leva les yeux. Et puis, comme toujours, parce qu’à huit ans on s’en fiche, parce qu’ils faisaient ça depuis aussi loin qu’elle pouvait s’en souvenir, parce que même ses parents n’arrivaient pas à l’en empêcher, elle posa ses lèvres sur les siennes. Ce n’était rien, pas à huit ans. A huit ans, qu’est-ce qu’un baiser sur la joue ou sur les lèvres ? C’est la même chose. En embrassant sa bouche, plutôt que ses joues, elle avait le sentiment qu’il l’embrassait aussi. C’était mutuel et simultané. Il sourit et serra ses bras autour de son corps, après avoir lâché sa main. « Promis ? » Ce n’était pas la première fois qu’elle le lui demandait. Gabriel sourit son regard noisette et hocha la tête lui aussi. « Promis. » Et elle put enfin s’endormir.

Elle entendit une première déflagration. Adriana, elle n’avait pas encore rejoint son frère. D’habitude, elle faisait toutes les nuits, mais elle avait peur que ses parents l’entendent donc elle était capable d’attendre très longtemps. Elle attrapa sa baguette, même si elle savait qu’elle ne pouvait pas faire de magie, et sortit de son lit. Bientôt, elle sentit le souffle chaud de l’air qui brûle, autour d’elle. Les cris de sa mère la sortirent de sa torpeur. « Lâchez-le ! Lâchez-le, pourquoi vous faites ça ?! » De qui parlait-elle ? Adriana hésita, elle ne savait pas quoi faire, et finalement elle piqua un sprint en direction de la chambre de son frère. Sans réfléchir parce qu’elle n’avait que douze ans, qu’elle avait peur, elle cria. « GABRIEL ! » La belle n’eut même pas à ouvrir la porte : elle était grande ouverte. La peur faisait battre son cœur comme si il désirait sortir de sa cage thoracique. Elle avait le souffle court, à cause de sa course à travers le manoir, et son poing était toujours violemment fermé autour du bout de bois qui ne lui serait de toute manière d’aucune aide. A douze ans, elle ne connaissait que des sorts basiques. Les larmes ne coulèrent pas. Pas tant qu’elle verrait son corps sans vie. Elle sortit à nouveau de la pièce, ignorant qu’il était aller en sens inverse – vers sa chambre à elle – elle prit les escaliers qu’elle descendit quatre à quatre. Là, elle les vit. Des flammes plus grandes qu’elle, qui dévoraient le hall et une partie du grand salon. Un sorcier qui cachait la moitié de son visage avec une sorte d’écharpe lui barra la route. « J’en ai une ! » Cria-t-il en lui attrapant le bras. Adriana ne réfléchit pas, elle lui enfonça sa baguette dans l’estomac et le sorcier se tordit de douleur. Suffisamment que pour lâcher prise. La jeune femme couru alors en haut des escaliers. Elle devait trouver Gabriel, et puis ils pourraient partir. Jamais elle n’avait couru aussi vite, mais le sorcier la talonnait. Il avait de plus grandes jambes et il allait la rattraper quand… « Stupefix ! » Adriana plaqua ses mains sur sa tête et se laissa glisser sur le sol. Ses genoux en furent égratigné au point qu’elle laissa deux petites traces de sangs sur le sol. La sorcière l’attrapa par le bras, presque avec douceur, et la fit se relever. « Ne dis rien, petite, je vais te sortir de là, d’accord ? » Candide, à nouveau, elle hocha la tête. Elle ne savait pas, est-ce que ses parents avaient des sauveurs ? Surement. « Il faut retrouver mon frère d’abord. » Fit-elle, la voix tremblotante. La sorcière lui prit la main et secoua la tête. « Il est surement mort. » Et elle transplana, l’emmenant avec elle loin de ce cauchemar. Son cauchemar. On l’avait arrachée à Gabriel.

« Adriana Montjoie. » Dut-elle se présenter, en tendant la main à son voisin de table. Elle avait un accent anglais qui lui collerait à la peau toute sa vie. Son voisin fronça les sourcils. « Tu n’es pas française. » Elle fit la moue. « Ça se le voit beaucoup ? » Il eut un rire et Adriana se renfrogna encore plus. « Ça se voit beaucoup. Oui. » Il lui offrit un sourire qui lui rappela Gabriel, avec un pincement au cœur. « Je peux t’aider avec le français. » Elle sourit. « Oh really? C’est… Merveillous! » Il fronça les sourcils, encore une fois, lui donnant un air agréable à regarder pour la petite fille qui découvrait seulement que les garçons n’étaient pas tous moches et désagréables. « Merveilleux… ? J’imagine que c’est ce que tu voulais dire. Au fait, je suis Vincent. » La jeune fille l’ignorait, mais elle venait de rencontrer la seule personne qui saurait absolument tout d’elle. Son meilleur ami, son presque frère… Celui qui lui ressemblait tellement que s’en était douloureux, parfois. Et pourtant, elle ne pouvait pas s’en détacher. Elle avait besoin de lui, pour s’accrocher au souvenir de son autre, de sa moitié d’âme qu’on lui avait volée pendant l’attaque de leur famille. Elle avait si désespérément besoin de Gabriel dans sa vie, qu’elle ne mit pas longtemps à donner à Vincent la place de son frère. Mais lui n’avait pas ses sourires, qu’elle avait longtemps réservé à Gabriel, avant d’oublier même comment les faire. Lui ne pouvait pas avoir son touché, comme une brise qui caresse la peau. Parce que même si il lui ressemblait ; il n’était pas lui.

Ils venaient de discuter avec le leader de leur bande. Un type plus vieux qu’elle, pas loin de la cinquantaine. Il avait connu la guerre, et il avait combattu et puis, on l’avait oublié. Des ingrats, disait-il. Tous des ingrats, ces héros de guerre. Que ce soit les familles anglaises, ou les familles françaises qui avaient combattus à leurs côtés. Et les ingrats, ils leur donnaient quoi ? Ce qu’ils méritaient. Eux, ils prenaient ce qu’ils auraient du avoir : leurs richesses. Adriana était née dans une famille riche, mais sa famille française ne l’était pas exactement. Sans être sur la paille, elle avait dû s’habituer à une autre sorte de confort. Chérir les repas fastueux, alors qu’il y avait droit si souvent, avant. Et ça la remplissait de haine, Adriana. Elle voulait que le monde paie, et surtout eux, les riches, ceux qui en veulent toujours plus et ce à tout prix. Elle faisait ses armes dans ce gang, apprenait des choses, et tout ça pour l’Angleterre. Vincent le savait bien, c’était lui qui l’avait entrainée là-dedans. La petite fille candide avait bien vite disparu, pour ne laisser place qu’à cette beauté brune au sarcasme aiguisé et qui ne croyait plus à rien, sinon à elle… Et Vincent. Ils avaient une mission de prévue pour le lendemain. En attendant, ils dormaient ensemble, dans le même appartement, loué depuis deux ou trois ans, un peu en dehors de Paris. Ils n’avaient pas beaucoup d’argent, juste assez pour vivre là, dans un studio assez grand pour n’accueillir qu’un seul lit mais ils s’en fichaient. C’était son presque frère, c’était presque Gabriel et elle avait dormi toutes les nuits avec Gabriel. Elle pouvait en faire de même avec Vincent. Mais quelque chose dans l’attitude du brun avait changé. Désormais, il la touchait de plus en plus. Glissait son bras autour de ses hanches, posait ses lèvres sur son front pour la saluer le matin. Une fois, aussi, ils s’étaient embrassés mais Adriana l’avait repoussé gentiment et ils avaient continué à faire ce qu’ils faisaient. Ce soir, encore, quand elle vint se glisser sous les draps il enroula ses hanches d’un bras. Elle vint se blottir un peu contre lui, comme elle l’avait fait contre Gabriel. Vincent continua à bouger, il s’approcha et glissa ses doigts dans le creux de sa chute de reins, pour la coller un peu à lui. Adriana remonta son visage vers lui. « Qu’est-ce que tu fais… ? » Vincent ne répondit pas, il lui vola un autre baiser. Adriana ne bougea pas, résistant aux lèvres de son meilleur ami. Elle finit par ouvrir la bouche, le laisser faire un crochet à sa langue et mordiller un peu sa lèvre inférieure. Adriana oublia tout, le pourquoi du comment elle ne devrait pas. Gabriel était mort, depuis des années. Vincent était son refuge, la seule personne qu’elle laissait tout savoir. Il savait même qu’elle était une Cholmondeley, il savait qu’elle était l’héritière d’un empire économique de l’immobilier sorcier, probablement perdu depuis le temps. Et leurs mains se firent aventureuse, pour une nuit qui fut courte de sommeil.

Elle était en cinquième année à beauxbâtons quand elle apprit ce qu’étaient les animagi. La jeune femme s’était tout de suite passionnée pour ce sujet, la métamorphose était déjà sa matière préférée à l’école. Le vieux professeur de magie adorait les étudiants qui se passionnaient pour sa matière, et donc elle faisait partie des chouchous de la classe. La belle avait donc naturellement posé beaucoup de questions sur le sujet à son maître, qui avait finit par lui dire que si elle voulait en devenir un, elle devrait travailler des années durant. Ce n’était pas entrer dans l’oreille d’une sourde. Désormais âgée de 24 ans et petite voleuse à al solde d’un grand réseau, la jeune femme continuait à s’entrainer sans relâche et, surtout, sans en parler à qui que ce soit. Sauf lui, sauf son ami, son meilleur ami, son presque frère. Celui qui la poussait sans ses retranchements.
« Tu n’y arriveras jamais. » Avait-il dit en la regardant se débattre avec elle-même. Ca faisait huit ans qu’elle essayait. Huit ans qu’elle avait cette idée en tête. Parfois, des plumes recouvraient son corps. La transformation était douloureuse. Elle avait le sentiment que ses os se broyaient, que ses organes se desséchaient, qu’on lui pressait la tête dans un étau puissant d’acier trempé. La jeune femme ne cria pas, elle ne répondit pas. Un chiffon dans les dents elle persistait. Sa baguette pointée dans sa propre direction. « Pourquoi je m’acharne avec toi, hein ? Adri… » Et ce fut son élan de rage. Elle eut un grognement rageur. Il savait ! Il savait qu’elle refusait qu’on l’appelle comme ça ! Seul son autre en avait le droit, mais il était mort… Le vautour, c’était tout ce qui la rattachait à sa famille, aux siens, à ceu ui s’étaient fait décimé et qu’elle allait peut être venger un jour. Signant son méfait d’un vautour rouge sang, pour qu’ils sachent que c’était elle. Qu’elle n’était pas morte, et qu’elle n’oubliait pas. Qu’elle ne pardonnerait pas. Et ce fut après un effort de volonté un peu plus rageur que les autres, qu’elle se sentit pousser des ailes. Ses bras rapetissaient, et bientôt les plumes recouvrèrent tout son corps. Elle possédait désormais des serres acérées et un long bec. Elle ne pouvait plus parler, un cri s’échappa de son bec. Le chiffon qu’Adriana avait placé entre ses dents s’étalait désormais à ses pieds. Elle réalisa alors qu’elle avait réussi, et donna une impulsion à ses pattes et battit des ailes. Son corps s’éleva de lui-même dans la pièce, elle pouvait voler ! Vincent la regardait avec de l’admiration dans les yeux. « Je savais que tu y arriverais un jour, Adriana ! » La belle, sous sa forme de rapace, vint se poser sur son bras qu’il avait tendu. Ses serres s’enfoncèrent un peu dans la chaire du brun, mais il ne dit rien, n’eut même pas une grimace, tant son regard qu’il portait sur elle était celui d’un frère. Fière, au-delà de l’imaginable. Et puis elle retourna sur le sol, et son corps redevint celui d’une femme. Tremblante, parce que c’était toujours un peu douloureux. Une fine couche de sueur recouvrait son corps, elle avait le souffle court mais le sourire aux lèvres. « Maintenant… L’Angleterre. » Vincent vint près d’elle et lui tendit un morceau de sucre, ce qu’il faisait toujours après leurs entrainements pour qu’elle reprenne un peu de force. Elle le mit en bouche. « Pas tout de suite ma belle, d’abord il faut que le monde fasse la rencontre du Vautour… Et j’ai une idée pour toi. » Son accent du sud de la France chantaient ses paroles. Adriana sourit et hocha la tête.

Elle ne l’avait pas vu, comme pour Gabriel : on le lui avait dit. L’histoire avait cette tendance presque masochiste de se répéter encore et encore et encore. Que ce soit à l’échelle mondiale, avec les guerres incessantes, ou à l’échelle d’un homme (ou d’une femme). Adriana s’était écroulée, dans les bras de ceux qui étaient restés de son côté. De leur côté. Le gang s’était divisé en deux, Vincent et elle étaient partis de leurs côtés et deux personnes les avaient suivies. Et désormais, l’on avait tué Vincent. Il ne restait rien de son corps, disait-on. Adriana s’accrocha à Julie, une amie. Les larmes lui dégoulinaient sur les joues comme si les valves avaient été grandes ouvertes et oubliées par quelqu’un. Quelqu’un qui s’appelle Désespoire. Jamais l’envie et le besoin de se venger n’avait été aussi puissant. Adriana pleura longtemps, elle pleura pour son frère, pour qui elle n’avait pas versé une larme, plus de quinze ans auparavant. Elle pleura pour sa vie perdue, pour ses parents, pour Vincent. Son ami. Son meilleur amie. Son presque frère. Devenu son amant, son tout, son ancre à cet univers. Elle pouvait presque le sentir dans son dos, la pousser vers sa terre natale. Maintenant, maintenant c’était le bon moment, lui soufflait-il depuis l’au-delà. Va, ma belle, arrache les coeurs sanglants des poitrines des imposteurs. Fait leur voir, comme tu es forte. Fait leur voir, comme tu ne plieras pas les genoux. Elle pouvait pleurer, juste ce soir. S’autoriser un dernier moment de faiblesse, et demain elle partirait, la tête haute.

Adriana était sur le sol anglais depuis un an et demi. Elle avait fait plusieurs gros larcins, même si les plus gros étaient ceux de France et de Suisse. L’argent gagné au marché noir, elle l’investissait. La fibre qui avait rendue riche les Cholmondeley était définitivement en elle. Elle savait s’y prendre, et à 27 ans elle était déjà l’une des plus jeunes sorcières à avoir amasser une telle fortune. Et pour cause, c’était si facile… Mais la brune devait être prudente. Devenir riche trop vite attirerait les regards sur elle. Un jour, elle était assise devant sa boite à images, un jus de citrouille à la main pour bien commencer la journée. L’anglaise adorait ces boîtes à images. Elle était pratiquement née avec, mais savait que c’était tout nouveau. Un privilège de sa génération. Elle ne lisait pas vraiment les journaux, elle aimait beaucoup regarder les chaînes d’actualités et, encore ce matin, c’était ce qu’elle faisait. Son programme parlait de l’économie et elle fit un léger bond sur son fauteuil quand elle vit un visage familier, à l’écran. Gabriel. Elle l’aurait reconnu entre milles mais… Il était mort ! « Nous avons appris récemment que l’empire Cholmondeley allait s’agrandir d’une nouvelle acquisition de taille, et pour cause : après le cambriolage au musée de Genève, beaucoup de visiteurs se sentaient moins en sécurité… Aussi, les visites ont chuté et le propriétaire s’est trouvé obligé de vendre. C’est le premier achat international pour le groupe Cholmondeley Magic Enterprises (CME), désormais dirigé par Gabriel Cholmondeley… » Adriana laissa tomber son verre sur son plancher, elle attrapa sa baguette et murmura l’incantation pour mettre plus fort. La brune se leva de son fauteuil, elle s’approcha de la boites à images et, sans s’en rendre compte, tomba à genoux devant son poste. Ses doigts glissèrent sur le visage de son autre, en même temps que les larmes coulaient sur ses joues rosées. Il était vivant… Il était vivant et il l’avait laissé. Il le lui avait promit pourtant. Jamais il ne l’aurait laissée seule. Il était vivant et il l’avait abandonné ! Voilà le maître de tous ses tourments. Il l’avait écartée, pour profiter de l’héritage seul. Il ne l’aimait pas, il ne l’avait probablement jamais aimée comme elle, elle l’aimait. Elle elle avait cet amour bizarre au fond des tripes et du cœur. Elle, elle aurait tout fait pour lui, elle serait morte pour lui et il se pavanait à la tête de leur fortune. Il l’avait abandonnée.

Bienvenue officiellement sur le forum ! ça y est, jeune padawan, tu as réçu le test final, tu es officiellement validé ! Avant toute chose, laisse moi quelques mots sur ta fiche : avis sur la fiche du membre. Franchement, bravo ! et maintenant, un petit rappel de ce que tu ne dois pas oublier avant de commencer des RPs déjà, la danse de la joie de Dumbledore t'accueille sur le forum, clique ici (attention les yeux ). Maintenant, il faut que tu passes par ce portoloin pour recenser ton fabulous avatar ! C'est très important et nous te demandons d'être rigoureux sur ce point. D'autre part, qui dit validation, dit carnet d'adresses ! Tu vas pouvoir te créer un carnet pour gérer tes liens en te rendant sur ce sujet ! Lis bien les instructions avant de commencer Ensuite, il est important de passer dans cette partie pour te recenser où il faut. Premièrement, pense à t'enregistrer parmi les sorciers de grande-bretagne en cliquant ici. Ensuite, il faut bien travailler (au diable les paresseux ) alors viens demander un job ici et parce qu'on a tous été à l'école (même mondingus ) il faut bien recenser son parcours scolaire (et ses retenues) en cliquant ici. Enfin, avoir un toit sur la tête c'est mieux, alors demande un logement dans cette partie. D'autre part, si t'es un peu bizarre, que tu as des dents pointues etc... Viens recenser ton don magique dans cette partie. Si tu as décidé d'incarner un personnage issu d'un famille prédéfinie du forum, fais également un tour dans ce sujet. Ca y est, tu es presque en norme maintenant, sache que tu peux avoir le droit à quelques extras ! tout d'abord, tu peux créer un scénario ou un semi-pv dans cette partie pour les scénarios et celle-ci pour les semi-pv. Tu peux également créer ta propre famille de sorciers (cool hein ? ). Rends toi dans cette partie pour en savoir plus sur cette possibilité. Maintenant, tu peux t'éclater et faire la danse du feu tout d'abord, tu peux FLOODER parce que le flood, CEY LA VIE alors viens poster un petit mot tout doux ici et participer aux jeux du forum Découvre aussi la partie dédiée au shipland et aux RPs des membres en prenant ce portoloin. Tu vas t'éclater avec nous et si tu n'oses pas te lancer dans un RP tout de suite car tu es timide, nous avons LA solution lance une recherche de partenaire RP en postant ici. N'oublie pas de consulter régulièrement les nouveautés du forum pour être informé de l'arrivée des intrigues/events et des animations où tu es invité à participer !

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