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| I don't care what you call yourselves, I want my book back! | |
| Auteur | Message |
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ϟ SORTILÈGES : 110
ϟ CRÉDITS : Lady Beard; Which witch
ϟ PSEUDO : Lady Beard
ϟ AVATAR : Karen Gillan
ϟ MES COMPTES : Willow Ogden;
ϟ ÂGE DU PERSO : 28 ans.
ϟ SANG DE SORCIER : Sang Mêlée
≈ PROFESSION : Langue de Plomb
ϟ STATUT CIVIL : Célibataire
ϟ ANCIENNE MAISON : Poufsouffle
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : Bois de pin et écaille de dragon.
ϟ DON MAGIQUE : Occlumens
ϟ LOCALISATION : Londres
| Sujet: I don't care what you call yourselves, I want my book back! Ven 1 Jan - 19:13 | |
| I've made up my mind, don't need to think it over. If I'm wrong, I'm right. Should I give up or should I just keep chasing pavements, even if it leads nowhere? Would it be a waste, even if I do my best? Should I leave it there? Willow atteigni le bout de l'Atrium et entra dans l’ascenseur sans que personne ne la remarque. Cela lui allait très bien. Willow aimait généralement passer inaperçu. Rester en dehors des ennuis. C'est ce qu'elle aurait du faire la veille. Mais à la vue du Grimoire, elle avait perdu tout contrôle d'elle-même... et c'était retrouvée au cœur d'un foule en colère. Willow n'était pas une optimiste à proprement parler, mais elle avait toujours choisi de croire au bon côté de l'humanité, et la vitesse avec laquelle les sorciers et sorcières l'entourant s'étaient retournés contre elle l'avait simplement terrorisée. Elle en frissonnait encore. Elle en avait frissonné tout le long de son chemin jusqu'au Ministère. Mais tout vas bien maintenant, tu es en sécurité, se dit-elle pour se rassurer, sans que son ventre ne se desserre pour autant. -Niveau neuf? lui demanda un collègue qu'elle croisait fréquemment à cette heure, et qui était depuis les années habitué à la voir descendre au Département des Mystères. -Non, niveau deux s'il-te-plaît, je vais au Bureau des Aurors. Merci. le corrigea-t-elle poliment. Le sorcier haussa un sourcil et Willow sentit plusieurs regards converger vers elle, mais elle choisi de baisser les yeux. Ils avaient sans doute déjà fait le lien entre les événements de la veille et son détour par le Département de la Justice Magique.
Mais Willow avait en réalité déjà déposé sa plainte pour agression. Un membre de la Brigade Magique s'était rendu à Sainte Mangouste pour l'enregistrer. En descendant de l'ascensceur, Willow fila droit vers le bureau de McDowell, en connaissant le chemin comme si elle avait toujours travaillé dans ce Département. C'était en réalité le seul chemin qu'elle connaissait. Elle était déjà venue plusieurs fois consulter l'Auror chargé de l'enquête du Grimoire de Merlin. Gardant les yeux soigneusement posés sur le sol devant ses pieds, Willow évita les quelques regards amusés de certains Aurors qui se rappelaient de sa première visite mouvementée, et s'étonnaient du changement de comportement depuis. Arrivée devant la porte ouverte du bureau de McDowell, Willow passa la tête dans l'encadrement de la porte et frappa avant d'entrer. Vous êtes déjà au courant ? faillit-elle lui demander, mais elle parvint à se retenir de justesse. Bien sûr qu'il était déjà au courant. Outre son métier, son poste, et son enquête, c'était aussi faire insulte à son ingéniosité fabuleuse. Alexander McDowell était l'un des seuls sorciers à côté duquel Willow se sentait stupide, ce qui en disait long sur l'intelligence de l'Auror. -J'ai fait quelques recherches sur la Fraternité... dit-elle à la place, faisant confiance à l'Auror pour qu'il comprenne qu'elle comptait les lui faire partager, et lui dire de revenir plus tard s'il pensait en savoir déjà suffisamment...
©Pando |
| | | ϟ SORTILÈGES : 39
ϟ CRÉDITS : /
ϟ PSEUDO : Julien
ϟ AVATAR : Tom hiddleston
ϟ MES COMPTES : 1
ϟ ÂGE DU PERSO : 30
ϟ SANG DE SORCIER : Sang-mêlé
≈ PROFESSION : Auror
ϟ STATUT CIVIL : Célibataire
ϟ ANCIENNE MAISON : Gryffondor
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : Bois de chêne, cendres de phénix, 28 centimètres.
ϟ DON MAGIQUE : Aucun.
ϟ LOCALISATION : 20 Baker Street, Londres (appartement).
| Sujet: Re: I don't care what you call yourselves, I want my book back! Sam 2 Jan - 18:24 | |
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12 Novembre 2030Ce matin-là, tandis que les gouttes de pluie s’écoulaient le long de l’unique fenêtre de son bureau et que le ciel se faisait de plus en plus menaçant, Alexander prenait un thé, installé confortablement dans son fauteuil. Il s’était rendu au ministère de la magie plus tôt que d’habitude, ne parvenant pas à trouver le sommeil. Et pour cause, le 12 Novembre était pour lui synonyme de tristesse et de culpabilité. C’était le 12 Novembre 2022 qu’Alexander avait assisté impuissant à la mort de ses deux amis d’enfance, Ashley et Charles. Les années avaient passées mais il n’avait rien oublié. Le souvenir de leur mort était resté gravé dans sa mémoire et ne l’avait jamais quitté. Il se souvenait du dernier regard que lui avait lancé Ashley avant qu’elle ne soit foudroyée par le sortilège de mort, ce regard qui ne cesserait de le hanter. Il se souvenait des corps inanimés de ses deux amis, qui quelques instants plus tôt, regorgeaient de vie. La perte de ses amis avait ouverte en lui une plaie béante qui jamais ne se refermerait et qui continuerait de le ronger de l’intérieur. Il se sentait coupable de ne pas avoir su les protéger et de les avoir menés à leur perte. Il avait échoué sur toute la ligne et son intuition l’avait trahi. De plus, le meurtrier d’Ashley n’avait jamais été retrouvé. Alexander avait essayé de retrouver sa trace, en vain. Il s’était juré qu’un jour il le retrouverait et qu’il lui ferait payer. Malgré ce souvenir douloureux, il essaya tant bien que mal de se concentrer sur son travail. Sur la table se trouvait le dernier numéro de la Gazette du sorcier, qu’Alexander avait acheté tôt ce matin. En gros titre, on pouvait lire : L’ombre de la fraternité plane sur le ministère de la magie. L’Auror fronça les sourcils, avala une gorgée de thé, puis ouvrit le journal afin de lire l’article en question. L’article décrivait la manifestation qui avait eu lieu la veille ainsi que l’apparition d’une mystérieuse femme répondant au prénom de Minerve et qui faisait partie, semblait-il, d’une organisation secrète nommée la Fraternité. Cette dernière, après avoir affirmé qu’elle avait volé le grimoire de Merlin, avait sortit le dit livre de son sac et l’avait brandi face à la foule. L’innocence du gobelin Morgol avait ainsi été prouvée, mettant à mal la crédibilité du gouvernement. Cette dernière avait également accusé Harry Potter d’être responsable du meurtre de Draco Malefoy, ce qui était absurde. Pour Alexander, il était clair que ni le ministre Fawley, ni Harry Potter n’étaient au courant de l’existence de la Fraternité et que l’incarcération de Morgol avait été une erreur. Enfin, il considérait que cette accusation de meurtre était tout simplement infondée et scandaleuse. Quoi qu’il en soit, cette organisation était dangereuse et il fallait y mettre un terme au plus vite, avant qu’elle n’utilise le grimoire de Merlin à des fins criminelles. Harry Potter confia l’enquête aux Aurors, tandis que les langues de plomb poursuivaient leurs recherches sur les reliques de Merlin. En premier lieu, celui-ci souhaitait en savoir plus sur cette Fraternité. Alexander n’avait rien trouvé de significatif et il aurait bien besoin d’un coup de main. De plus, les autres Aurors ne semblaient guère plus avancés que lui. Alors que le jeune homme poursuivait ses recherches infructueuses, quelqu’un frappa à la porte entrouverte de son bureau. Alexander releva la tête et aperçu Willow dans l’encadrement. Il n’était guère surpris de sa présence. En effet, cette dernière venait souvent le consulter au sujet de l’enquête. Le jeune homme esquissa un léger sourire. Il avait justement besoin d’aide et voilà qu’elle apparaissait, comme par enchantement. Willow lui avait apporté son expertise sur les reliques de Merlin, ce qui avait permis à Alexander d’en comprendre les subtilités, à tel point que la fascination de la jeune femme pour les reliques avait déteint sur lui. Elle ouvrit doucement la porte et Alexander constata qu’elle avait utilisé sa main gauche, alors qu’habituellement, elle utilisait sa main droite. De plus, lorsqu’elle pénétra dans son bureau, il constata qu’elle prenait soin de laisser son bras gauche le long du corps. Intuitivement, le jeune homme comprit qu’elle avait été blessée. Il se demandait si cela avait un rapport avec la manifestation de la veille. Il faut dire qu’après les révélations de la Fraternité, la réaction de la foule avait été pour le moins virulente à l’égard du ministère de la magie. En conséquence de quoi, bon nombre d’employés du ministère présents dans la foule, dont des langues de plomb, avaient été agressés. Mais il n’eut pas vraiment le temps de lui demander ce qu’il s’était passé. En effet et sans plus tarder, la jeune femme lui annonça qu’elle avait effectué des recherches au sujet de la Fraternité. Alexander en déduit immédiatement qu’elle avait du y passer beaucoup de temps. Quand Willow faisait des recherches, elle le faisait bien, il n’y avait aucun doute là-dessus. Et elle le faisait minutieusement, n’omettant jamais aucun détail. Il arrivait parfois qu’Alexander soit plus rapide qu’elle et qu’il ait déjà suffisamment d’informations à sa disposition. Mais cette fois-ci, ça n’était pas le cas, il n’avait absolument rien à se mettre sous la dent. - Je vous en prie Miss Ogden, je vous écoute, lui répondit-il.
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ϟ MES COMPTES : Willow Ogden;
ϟ ÂGE DU PERSO : 28 ans.
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≈ PROFESSION : Langue de Plomb
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| Sujet: Re: I don't care what you call yourselves, I want my book back! Dim 3 Jan - 16:19 | |
| I've made up my mind, don't need to think it over. If I'm wrong, I'm right. Should I give up or should I just keep chasing pavements, even if it leads nowhere? Would it be a waste, even if I do my best? Should I leave it there? McDowell était assis derrière son bureau, tourné vers la fenêtre derrière laquelle tombait une pluie magique. Les employés du Département de l Maintenance Magique n'avaient pas du apprécier la tournure des événements d'hier non plus. Sur son bureau, McDowell avait posé une tasse de thé dont Willow pouvait sentir le parfum de jaspin depuis la porte. -Je vous en prie, Miss Ogden. lui répondit-il en se tournant vers elle. Je vous écoute. Argh! Décidément non, rien à faire, elle ne pourrait jamais s'habituer à cet accent anglais qui sortait de sa bouche dès qu'il l'ouvrait. Elle avait beau le savoir, depuis le temps, le cerveau de Willow ne semblait pas vouloir jamais admettre que McDowell n'était pas écossais. Ca lui donnait la chair de poule... Son père lui aurait sans doute dit de faire demi-tour, mais c'était pour la bonne cause. Et cet accent anglais devait bien être le seul et unique défaut du brillant sorcier. -J'ai commencé par faire des recherches sur cette dénommée "Minerve", commença Willow en traversant le bureau pour aller s'installer sur l'un des fauteuils faisant face à McDowell. "Minerve" n'était naturellement pas le nom de la sorcière, elle avait caché son identité autant qu'elle avait caché son visage, mais Willow avait fait son enquête sur le choix de ce nom de code. Dans la mythologie romaine, Minerve est la divinité de la sagesse et de l'intelligence, mais aussi de la stratégie et de la guerre, dit-elle à McDowell en sortant une liasse de parchemin de son sac et en sortant ses notes sur la dite divinité afin qu'il puisse en garder une trace, si jamais cela se révélait utile pour son enquête. C'est la sainte patronne des médecins et des enseignants. Il est donc possible que l'une des ces deux professions soit celle de la sorcière, mais je pense que c'est tout simplement un nom symbolique vis-à-vis du but que veut se donner la Fraternité. Minerve n'avait cessé de le scander durant son discours la veille: "Rejoignez-nous pour découvrir la vérité!". Elle avait annoncé avoir volé le Grimoire pour que le Ministère ne le garde pas secret, mais elle-même le gardait bien caché en sa possession... Willow remonta ses lunettes sur son nez, lèvres pincées, et se concentra sur le parchemin suivant. -Lors de son discours, Minerve a annoncé faire partie du Quintet. Il y aurait donc supposément au moins quatre autres membres du groupe. Willow avait été sur le point d'utiliser le mot "secte", mais avait changé d'avis au dernier moment. C'était leur donner trop d'importance, trop de pouvoir. Elle tendit à McDowell le parchemin, sur lequel était dessinée une main blanche... -D'après Minerve, ce serait le symbole de la Fraternité. Ça corrobore l'hypothèse du Quintet à cinq membres, symbolisés par les cinq doigts de la main... On peut aussi supposer que lever le majeur pourrait être leur façon de saluer leur dirigeant... ajouta-t-elle d'un ton parfaitement sérieux. C'était sa façon de faire des blagues. Pas le moindre sourire, juste une étincelle espiègle derrière le verre de ses lunettes. Cela lui permettait de passer inaperçu si jamais sa blague intellectuelle tombait à l'eau... ce qui lui arrivait souvent.
Mais derrière sa plaisanterie, Willow observait surtout la réaction de McDowell... "Depuis le début, le ministère sait que la Fraternité possède le Grimoire car nous avons laissé notre marque, la main Blanche à l'intérieur du coffre après notre méfait. Le bureau des aurors et monsieur Potter ont donc arrêté volontairement un innocent pour avoir un coupable à présenter après le fiasco de la protection du Grimoire." Voilà quels avaient été les mots précis de Minerve. Bien sûr, Minerve pouvait prétendre ce qu'elle voulait, rien ne prouvait que la marque de Fraternité avait bel et bien été laissée dans le coffre, ou qu'elle n'ait pas travaillé en complicité avec le Gobelin avant de le laisser à son sort pour cacher ses traces et prendre ensuite le rôle de l'héroïne libératrice... Willow avait beau ne pas en croire un seul mot, elle était curieuse de savoir comment McDowell allait réagir. Chargé de l'enquête, il devait avoir les réponses à ses questions, mais Willow préférait en dire le moins possible, pour lui laisser le moins de chances possibles de s'adapter au mensonge de Minerve, et voir quelle serait son honnête réaction : assumer avoir déjà vu la marque dans le coffre et valider les propos de Minerve, ou assurer ne pas la connaître du tout et conforter la foi de Willow dans le Ministère. McDowell était un sorcier brillant, sans doute le plus brillant qu'elle connaissait, et elle préférait placer sa confiance en lui plutôt qu'en Minerve, mais c'était plus fort qu'elle... Elle se devait de vérifier...
©Pando |
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| Sujet: Re: I don't care what you call yourselves, I want my book back! Sam 9 Jan - 16:04 | |
| Alexander l’écouta avec attention. Il entendit à nouveau son accent écossais si particulier, mais qu’il avait appris à apprécier au fur et à mesure de leurs discutions. Willow s’installa dans un des fauteuils du bureau, de l’autre côté de la pièce. Elle commença par faire une analogie entre la dénommée Minerve et le dieu romain du même nom, qui représentait la sagesse, l’intelligence et la stratégie de la guerre. Elle sortit un parchemin de sa poche ainsi que des notes qu’elle avait pris soin d’écrire. Elle lui expliqua ensuite que ce même dieu était le patron des médecins et des enseignants et que l’une de ses professions était surement celle du supposé leader de la fraternité ou bien qu’il s’agissait d’un nom symbolique. Alexander était assez d’accord lorsqu’elle associa son nom à un symbole. En effet, la Fraternité souhaitait prendre possession de toutes les reliques de merlin afin d’acquérir un savoir sans limite sur la magie. Ce savoir magique lui permettrait ainsi d’acquérir un pouvoir immense et de l’utiliser afin de prendre le pouvoir et de régner sur le monde des sorciers. En tout cas, c’est ce que supposait Alexander. Et si telle était leur intention, alors le monde magique courrait un grave danger et il était urgent de mettre hors d’état de nuire cette organisation secrète. De toute manière, selon lui, les reliques de Merlin n’allaient rien apporter de bon au monde des sorciers. Trop de pouvoir était en jeu et il s’inquiétait de la tournure que les évènements pourraient prendre. La jeune femme ajouta que puisqu’il s’agissait d’un Quintet, aux dires de Minerve, il devait donc forcément y avoir cinq quatre autres membres. Puis elle lui tendit un parchemin sur lequel Alexander reconnu le symbole de la Fraternité, la main blanche. Il se souvint en effet qu’au cours de son discours, Minerve en avait fait mention. Willow conclut donc que les cinq doigts de la main symbolisaient le Quintet.
- On peut aussi supposer que lever le majeur pourrait être leur façon de saluer leur dirigeant..., ajouta-elle finalement, l’air très sérieux.
Alexander n’eut pas aucun mal à déceler de l’ironie dans cette dernière phrase et esquissa un léger sourire comme pour le lui signifier. Il y avait quelque chose dans ses yeux qui l’avait trahie, tel un soupçon de malice. Après quelques secondes de silence, le jeune homme lui répondit enfin.
- Vos déductions sont très pertinentes. Je pense tout comme vous que Minerve n’est qu’un nom symbolique. Le but de la fraternité serait donc d’acquérir grâce au grimoire un savoir et un pouvoir sans limite afin de régner sur le monde magique. En ce qui concerne le symbole de la Fraternité, il n’a jamais été retrouvé sur le coffre. Ce n’est qu’un mensonge. Il est vrai que l’arrestation de Morgol a été une erreur, mais ni le Ministre ni Monsieur Potter n’étaient au courant de l’existence de cette société secrète, expliqua-il.
Il s’arrêta quelques instants comme pour laisser le temps à Willow d'assimiler ce qu’il venait de lui dire, puis il reprit.
- Je vais vous dire ce que je pense. Je pense que Minerve a trouvé le moyen de pénétrer dans le ministère et de voler le grimoire. Il ne lui restait plus qu’à ensorceler le coffre, d’une part pour effacer toute trace de son passage et d’autre part, pour y laisser de fausses preuves pour que Morgol soit accusé du vol. Elle en aurait ensuite profité pour dénoncer les supposées dérives du gouvernement. |
| | | | Sujet: Re: I don't care what you call yourselves, I want my book back! | |
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