âge, date et lieu de naissance — Une période où la neige accueille les premiers flocons de neiges d'une toute nouvelle année. Pas encore la fin de l'hiver mais pas le tout début non plus. Native du douzième jour du mois de janvier, c'est au sein même de la résidence de sa famille dans le quartier de Montmartre, à Paris (France), que la jeune enfant vient au monde. Si dans le passé elle pouvait prêter attention à ce jour, voilà bien longtemps qu'elle n'y accorde plus autant d'importance. Un avis qui est loin d'avoir changé même à vingt-sept années d'existence. nationalité et origines — Un patronyme qui parle de lui-même, de sa grandeur comme de son histoire, de ses erreurs comme de ses prouesses. Un nom de famille aux consonances françaises, au son des tambours de la conservation anglaise. Des racines familiales et lointaines qui sont à l'image de sa double nationalité à savoir franco-britannique. sang de sorcier — Un nom pour une image, une image pour un murmure. A l'image de ses ancêtres la jeune femme est issue d'une longue lignée où l'ascendance est pure. Ses proches la prônent comme une fierté, pour elle cela n'est qu'un détail parmi tant d'autres. La nature du sang n'a strictement rien à voir là dedans, c'est le sorcier lui-même qui fait toute la différence.  profession — Un savoir et un potentiel, mais surtout une prise de décision qui a surgit dans esprit que tardivement, à savoir au cours de sa cinquième année. Une carrière qui a suscité beaucoup d'interrogations, de méfiance et de combattivité. Au delà des paroles et des avis, la sorcière a su faire front et démontrer l'étendu de son savoir. Faire preuve de patience et de détermination, est un point que l'on reconnaît malgré tout en dépit de son patronyme. Actuellement médicomage spécialisé dans les blessures liées aux accidents du quotidien, un métier qui représente un prolongement de sa conscience ni plus ni moins. maison à poudlard — Il suffit d'une lecture de son moi intérieur, d'appréhender ce qui se cache entre ses lignes et d'un vieux morceau de chiffon pour révéler une direction que les membres de sa famille n'ont jamais empruntés - ou si peu. Elle émettait une différence avec sa réserve et son silence, elle fragmentait par ses mots francs et véridiques et ne cessait de se révéler par son ambition modeste mais rigoureuse. Une proposition que l'on souhaitait louable pour un aigle et son érudition, avantageuse pour une vipère et son ambition, honorable pour un blaireau et sa fidélité, mais c'est surtout la force d'esprit qui a su faire la différence. C'est donc sous les couleurs de la maison gryffondor que la jeune sorcière a effectuée son cursus scolaire. statut civil —L'amour a ses valeurs, l'amour a aussi son temps. Un temps où elle ne s'est jamais laissée gagner par le sentiment, un sentiment qui peut être une faiblesse mais aussi un moyen de connaître la cadence et la teneur de ses lignes intérieures. L'amour à ses valeurs et donc son temps. Elle le pense, l'a toujours pensée. Depuis quelques mois, elle en est couple avec James Potter mais les complications de leur relation ne cessent d'osciller entre les médisances des ragots et des désaccords de leurs familles respectives. Un entre deux, où la résistance est une force que l'on ne devrait soupçonner. parcours scolaire — A l'instar de la fleur sauvage qui s'épanouie au gré des rayons du soleil, Garance est une élève particulièrement en retrait qui toute en réserve et silence suit le filon de ses pensées et de son ambition. Bien loin des rebondissements et des problèmes, la brunette n'a jamais apprécié être au centre de l'attention. En somme elle était une élève studieuse et posée, dont la détermination n'a cessé de se renforcer avec le temps. baguette magique —Travaillée dans du bois d'épicéa, la baguette de la jeune sorcière contient en son sein une écaille de sirène. Mesurant presque vingt-six centimètres et demi, elle possède également des prédispositions pour les soins de guérison. patronus — Des ailes qui s'étendent et des plumes qui révèlent tout le savoir et la force de la conscience. Un brin solaire puis lunaire on prétend qu'il est la grâce et l'intuition même pour permettre l'équilibre de l'être. Tantôt doux, tantôt fort le cygne est la forme que prend son patronus. épouvantard — Ombre sans aucune once de lumière, juste l'obscurité et la sensation que des murs invisibles se referme sur elle-même. Sa peur la plus primaire prend vit lorsqu'elle se retrouve dans des lieux cloisonnés. Des craintes qu'elle tente d'appréhender depuis l'enfance mais sans grand succès. amortentia — Brin d'herbe matinal fraichement coupé, auquel se mêle la senteur sucré et acidulé du citron. Un attrait de gourmandise que l'on pourrait reconnaître sous l'attrait de l'ainé des Potter. localisation — La plupart du temps ses pas résonnent au cœur des nombreux couloirs de l'hôpital qu'est Sainte-Mangouste. Un endroit qui régit souvent son quotidien mais sinon vous la retrouverait sans doute dans son appartement situé en plein centre de Londres. don magique — Aucun si ce n'est celui d'être particulièrement clairvoyante, douée pour laisser sa raison prendre le dessus. Un trait de caractère analytique qui en amuse certains par ailleurs. qualités et défauts — Déterminée, cultivée, protectrice, ambitieuse, réservée, silencieuse, méfiante, taquine, honnête, solitaire, rigoureuse, attentive, douce, ponctuelle, un brin colérique quand cela lui chante, sincère ... signe distinctif —Contrairement à son frère et à sa sœur ainée - comme au sein de l'ensemble des membres de sa famille -, Garance est la seule à détenir une chevelure brune, de quoi creuser davantage la distance non seulement physique mais également morale au fil des années. faits notables — Au delà du patronyme qui la suit partout - par le passé et aux jours d'aujourd'hui - la jeune femme a toujours faire preuve de détermination et de diplomatie. Un comportement qui lui vaut aujourd'hui une certaine reconnaissance dans le milieu médical dans lequel elle travaille. On la connaît pour l'excellence de sa minutie mais aussi de son savoir. Prendre le temps de suivre chacun de ses patients, de se soucier de leur bien être moral et physique est pour elle d'une importance capitale. groupe — Slow life.

pseudo et prénom — l'oisillon bleu/blue bird. âge et région/pays — on est vieux sur la planète bleue.     comment as-tu découvert le forum ? — via bazzart. quel est ton avis sur le forum ? — il est magnifique, comme toujours c'est un superbe travail.      quelle est ta fréquence de connexion par semaine ? — à peu près 4/7 jours. ton personnage est — () prédéfini (x) scénario () inventé ton avatar est — crystal reed. un dernier mot —            

i dont have run anymore, i can chase the fireflies - Tu peux courir et courir encore. Tu peux redoubler de vitesse encore et encore. Tu peux puiser la force de cette course encore et encore. C'est un début, le point de départ de ton existence, de tes premier souvenirs. Tu peux courir encore et encore, mais le début d'un récit commence bien quelque part. Il commence par le son entêtant des notes d'un piano qui peine à s'accorder avec les doigts de son joueur. Un jour qui bon gré mal gré doit se munir de son silence colérique pour suivre les ordres de son précepteur. Ce dernier est catégorique et froid dans sa manière d'être comme de se vêtir. C'est un champ sans racine, une armoire à glace qui se nourrit d'une perfection qui n'existe pas mais qu'il tient à quantifier. Les notes de l'instrument à cordes frappées retentissent à nouveau. Elle résonnent comme une rupture brutale entre le soleil caressant et chaleureux de l'été et la bourrasque intérieure du mauvais caractère de ton frère aîné. Par de là les grandes portes menant à la terrasse, la main agrippant la porte entre ouverte, on ne voit apparaître que la profondeur de ton iris gauche. Un détail difficile à nuancer tellement tes yeux sont sombres tant la couleur est foncée. On peut difficilement lire entre les expressions que dessinent ton visage de poupée de porcelaine, on peine à déchiffrer l'encre qui se déverse de ton regard. Ce sont des lignes qui s’effacent au fur et à mesure, des lignes emplit de secrets qui t'appartiennent à jamais. Les boucles indisciplinées de ton frère aîné sont soigneusement plaquées sur sa tête, le regard noyés sur les touches couleur ivoire du clavier du piano. Angus n'a jamais été favorable à l'âme de l'art et encore moins ouvert à la pratique, c'est une perte de temps auquel il ne trouve aucune douceur. Les traits marqués de son visage émettent la dureté de l'adolescent déjà bien ancré dans les idéaux d'un père qu'il idolâtre. Une ferveur, une fierté à laquelle il s'est abandonnée sous les yeux d'une mère qui l'entoure – à sa manière – de sa protection. Son énervement, sa rage, ton lien fraternel le déverse dans la partition qu'il est en train de jouer. Elle n'a pas rien de passionné, n'a rien de touchant. Elle est en toute en granite, tout en acier bien loin de l'émotion qui a été émis par son auteur. La dernière note s'achève, alors qu'il repousse avec brutalité et véhémence le siège sur lequel il était assis voilà quelques secondes plus tôt. « C'est une perte de temps, rien de plus ! ». S'exclame-t-il d'une voix  froide et amère. Son impatience l'irrite, lui qui aime que tout soit fait en temps et en heure. Une attitude sans équivoque qui a toujours fait rire Léo. Les pieds posées sur l'accoudoir du fauteuil sur lequel il est installé, des lunettes de vue posée sur le bout de son nez, il s’exprime de son éternel rire hilare et moqueur. Un caractère désinvolte et libéré qu'il est bien loin d'abandonné même du haut de ses dix années. Un attrait que votre père mettait sur le compte de l'hérédité des Delacour. Une espièglerie qu'il jugeait mais qui avait eu raison de lui lorsqu'il était tombé sous le charme de celle qui avait capturé son cœur. Des anecdotes dont il ne parle jamais comme si elles demeuraient proscrites. Votre mère en revanche s'attache à te les raconter comme des vestiges antérieurs qui tendent à s’essouffler mais ils finissent par reprendre vit lorsqu'elle les énoncent. « Tu vas continuer longtemps comme ça à râler pour rien ? Je ne crois pas que notre père serait très ravit de t'entendre remettre en cause sa manière de voir l'enseignement ... ». Léo n'avait pas quitté une minute des yeux son journal parlant du monde des sorciers. C'était là toute la contradiction de ton autre frère. Il pouvait se montrer narquois et je m'en foutiste, malicieux et intéressé, là était tout son complexe. Il savait – tout comme toi – où il mettait les pieds, seulement il avait toujours un but bien précis. Ton frère grogne quelques paroles mais tu ne les entends pas, tu ne prêtes même plus attention à ce qu'il se passe dans le salon donnant sur la terrasse car tu t'éloignes. Tu t'éloignes en silence, vers le jardin spacieux et radieux. Ce dernier se présentait comme une artère sauvage de la propriété de tes parents en France. Une demeure qui parlait par son architecture ancienne mais aussi par son patrimoine historique. Une résidence secondaire qui avait accueillit ta naissance un soir d'hiver. Par tous les temps, par toutes les saisons, le jardin aspirait à la solitude gracile et mystérieux d'un autre monde. Une bulle de douceur où les senteurs florales se multiplient, se mêlent les unes aux autres. Un parfum fruité, une odeur agréable qui ne cesserait jamais de t'émerveiller. Accroupi dans l'herbe, les mains sur tes genoux, tu observes avec attention la jeune pousse où des bourgeons ne demandent qu'à éclore. Un sourire enfantin éclaire ton visage poupin. C'est pour toi un spectacle naturel mais surtout révélateur d'une vie qui s’épanouit même en temps de colère et d’obscurité. Tu souris un peu plus, laissant à ton visage – dénué d'expression de coutume – suivre le tableau de l'éclat spontané qu'est l'enfance. Un papillon aux ailes rougeoyantes vient virevolter non loin des tulipes qui bordent l'allée caillouteuse du petit chemin. « Un papillon se pose sur mon épaule, il me murmure des choses. Un papillon danse devant mes yeux avant de prendre le vent qui le mènera sans doute aux cieux. ». Chantonnes-tu mélodieusement et doucement pour toi-même. Les paroles d'une comptine qui même encore aujourd'hui rythme ta mémoire. Un refrain qui se répète comme pour ne pas oublier ses instants là.

far from the fog in my head, life has no master no plan - On appréhende la lumière alors on s'enfuit dans le noir. C'est aussi simple que ça. La prise de conscience n'est pas toujours vertueuse, mais ton cœur peut l'est. Ce n'est pas seulement un muscle ou un appellation, c'est bien souvent la source de tes ressentis, des peines et des joies. Alors ne l'enferme pas trop vite, ne l'écarte pas trop du monde, tu pourrais manqué les essentiels qui forgent une vie. Tu n'avais pas peur de la lumière et tu ne t'enfuyais pas dans le noir, c'était aussi honnête que ça. Tu évoluais seulement à l'écart libre de la foule et des amis qui se rassemblent. Tu étudiais avec la solitude que tu avais besoin et comptait tes amitiés sur le bout de tes dix doigts. Des places demeuraient encore vacantes mais tu t'en souciais peu. Ériger des montagnes, créer une aura de mystère, susciter le regard de la gent masculine, tu n'avais rien demander de tout cela. Non, tu ne faisais qu'agir là où tu le pouvais, là où tu te devais de le faire ni plus ni moins. Pas après pas, tu sentais le regard des membres du services te scruter tantôt en catimini, tantôt sans aucune gêne si ce n'est directement. Des regards méfiants et méprisants, des œillades curieuses et intéressés à la fois. Des conséquences laissaient par tes ancêtres des générations auparavant dont la nouvelle génération payait le prix. Tu ne leur en voulais pas, tu pouvais comprendre et démontrer le contraire avec un brin de patience et de détermination. Faire ses preuves, dépeindre la femme que tu étais, te battre pour démontrer l'étendue de ton talent … Tout cela était un pas en avant. Les murmures, les mauvais égard ce sont éteints au fil du temps afin de laisser place à une réputation. Fierté et reconnaissance, tu es bien loin de rechercher cela. Non, tu souhaites juste exercer la médicomagie. Une science dont l'étendue est si vaste qu'il ne faut jamais se cantonnait au savoir dit basique. Les recherches et leurs études t'animent mais ton ambition personnelle sait aller de pair avec le bien être de tes patients. Un temps que tu prends pour chacun d'entre eux, eux qui sont si précieux. Pour autant, tu reproches de ne pas avoir eu assez de temps pour Blaise. Un prénom, un être humain avant de ne devenir une appellation qui s'imprègne de vos souvenirs communs. Un camarade de longue date, une amitié longue de plusieurs années, à l'image de d'un frère à une sœur, au delà de l'ascendance qui prend tant d'importance à ta famille. Trop obtus, tu t'étais entêtée a trouver un remède qui pourrait le remettre sur pied, lui donner quelques années supplémentaires mais tu avais échouée. Lamentablement échouée. Il t'avait serré la main avec une force protectrice, plus soucieuse de toi-même que de son propre état. Ses paupières semblaient lourdes, son teint blafard mais il trouvait encore l'assurance de ricaner à l'image du malicieux lion qu'il était à l'époque. « Allez ne fait pas cette tête … ça va aller. ». Une assertion qui tranchait bien des interrogations. Il le pensait sincèrement et il le mentionnait clairement pour que tu puisses l'entendre une énième fois. Il pressait un peu plus ta main à chaque minute, sa voix se faisant plus faible au fur et à mesure. Blaise t'avait alors demandé d'approcher. Tu avais approchée ton oreille, son timbre rocailleux et faibles. Ses dernières paroles avaient été pour toi avant que la pression de ses doigts ne se desserrent doucement mais certainement. A jamais. Promet moi de ne pas fermer ton cœur, Garance. La vie peut être heureuse mais ne te ferme pas à l'idée de donner ton amitié. Elle a été l'un des biens les plus précieux pour moi. Pourtant, à la crainte de perdre à nouveau quelqu'un, de souffrir à te lier à autrui tu avais émis de grandes distances. Du moins jusqu'à ce qu'un grand gaillard, aux boucles brunes prouve tout le contraire.

and all of the steps that led me to you, i wouldn’t trade a seconde - Les pétales sont veloutées et douces au touché. Les effluves de parfum qui s'évaporent sont agréables et naturellement à l'odorat. Les yeux baignés dans la contemplation de la fleur que tu tiens entre tes doigts, tu laisses tes pensées dériver à leur rythme, sans les contenir, sans les obliger à faire demi tour. La fleur tourne entre tes doigts graciles comme en un geste coutumier, comme une sécurité intérieure. Assise sur le rebord de la fenêtre, les genoux rapprochés contre ta poitrine, tu réfléchis à l'âme commune qui anime le monde des sorciers. Un monde qui s’essouffle peu à peu et en qui l'avenir perdra confiance. La politique et ses animations n'avaient jamais eu d'importance à tes yeux, juste une futilité de plus décime un peu plus le fragment entre tes avis et ceux de ta famille. Où était dont passé le temps des sourires spontanés et des ambitions enfantines ? Parfois, tu as l'impression qu'il n'a jamais existé, qu'il ne vit que dans ta mémoire. Le décès prématuré du patriarche de la famille n'avait fait que creuser davantage de distance. Les derniers propos de ton père avaient été tranchants à ton égard. Une déception devant tant de potentiel gâche avant de se répéter inlassablement où avait été son erreur. En dépit de cela, tu te contentais de conserver le meilleur de cette figure paternelle qui avait été le tien. Après tout, que pouvais-tu bien faire d'autre ? Tu tournes toujours la fleur entre tes doigts, mais tu sens que son mouvement est interrompu. Tu redresses la tête pour apercevoir ton chat jouer du bout de la patte avec la plante. Curieux et joueur, Orion figurait par mi l'un des plus fidèles compagnons de toujours. Un camarade de jeu, de raison, de temps, d'existence. Il parvenait à te comprendre par bien des manières et ce réciproquement. Son ronronnement rompt avec le silence qu'abritait le salon. Tu tends le bras pour le caresser juste en dessous du menton, les iris bleutés et intenses du félin croisant les tiennes. Tu poses la fleur un peu plus loin, la boule de poils venant s'enrouler confortablement autour de tes pieds. Plongé dans la pénombre de la nuit, la pièce était seulement éclairé par les rayons de la lune et les quelques réverbères allumés ici et là. Tu contemples la ville endormie, un monde qui s'endort sous les quelques gouttes de la pluie. Elles viennent s'abattre sur les carreaux de la fenêtre en un son mélodieux et s'accordent harmonieusement avec les ronronnements d'Orion. Un sourire vient alors prendre naissance à la commissure de tes lèvres à cette pensée. Il devait être aux alentours de minuit passé, tu avais entendu la grande horloge de la ville retentir les douze coups mais le sommeil ne venait toujours pas. Il ne venait jamais lorsque ton esprit était en éveil, ces derniers temps il était en constante ébullition. Tu avais quitté tardivement les locaux de ton service à Sainte-Mangouste, un de tes jeunes patients t'inquiétait. Son état de santé était instable et les premiers soins et traitements administrés ne suffisaient pas. Et dans ces cas là, Merlin – lui seul – savait que tu ne reculerais devant rien et de lâcherait pas l'affaire tant que tu n'aurais pas trouvé un remède. Cette ténacité était aussi une attitude qui t'avait permis de rencontrer James, mais si tu aurais préférée pour lui le rencontrer dans d'autres circonstances. Tu croyais bien plus en lui qu'en toi-même mais c'est une réalité que tu ne mentionneras jamais sous peine de divulgué une faiblesse. Votre relation n'avait rien de simple et de léger. Elle était sujette à bon nombres de rumeurs et la presse en faisait un étalage sans nom dans chaque article. Vos deux familles condamnées cette relation insensée. Pour certains c'était un moyen de faire parler pour se venger, pour d'autre une honte. Entre méfiance et préjugés, il est difficile de percevoir la réalité. Une vérité que ton cœur avait saisit au premier regard qu'il t'a lancé, une sincérité perçue aux paroles échangées. La porte d'entrée s'ouvre avant de se refermer sur la silhouette coutumière de James. Il laisse tombé les clefs sur le comptoir de la cuisine avant de s'avancer en ta direction tout en enlevant sa veste. Les traits de son visage sont tirés par la fatigue, sa tignasse toujours en bataille. « Encore un article sur moi … Et bien ma notoriété ne cesse d'augmenter, mon père à du souci à se faire sur la sienne alors ! ». Dit-il tout en jetant un bref coup d’œil à la une de l'un des journaux resté sur la table. Sa voix était d'une ironie qui ne manquait pas de dévoiler une certaine amertume. Tu le gratifies d'un maigre sourire avant de te tourner de nouveau vers le paysage qu'offrait la fenêtre. « Allez mon gros, je prend le relais ! ». James prend sans ménagement le chat dans ses mains prendre sa place en se rapprochant de toi. Il te tire par les jambes, ces dernières reposant sur ses genoux. Difficile de ne pas mêler ton rire au sien, tandis qu'Orion siffle clairement en le considérant d'une œillade noire. « Tout va bien ? ». A cet instant là, tu sais qu'il s’inquiète pour toi alors que d'ordinaire tu es sans le moindre celle qui joue ce rôle. Il semble avoir percé tes défenses comme personne d'autre auparavant. Il met des mots sur tes silences et signe tes émotions. Tu viens chercher sa main, la serre doucement. « Oui juste le sommeil qui ne vient pas ... ». Dis-tu tout en déposant ton menton sur son épaule. Il serre ta main à son tour avant de venir chercher tes lèvres en échange doux et complice à la fois. Tu pourrais t'amuser à lire entre les lignes mais à ce moment là sa présence apaise bien des maux intérieurs. Juste sa présence et rien de plus, juste lui et un pas en avant. Ce sont des choses véridiques, ton   ancre dans cette existence qui est la tienne. « Tu as de la chance, je pense pouvoir t'aider. ». Il sourit d'un air amusé, décidément il ne changerait jamais mais tu appréciais cela.

Bienvenue officiellement sur le forum ! ça y est, jeune padawan, tu as réçu le test final, tu es officiellement validé ! Avant toute chose, laisse moi quelques mots sur ta fiche : je te valide rapidement ma chère audrey car en fait, j'ai dévoré ta fiche depuis hier, je regardais environ toutes les heures son évolution garance est PARFAITE ! je ne pouvais pas rêver mieux pour le rôle que toi, je sens qu'on va s'amuser, j'ai hâte merci : Franchement, bravo ! et maintenant, un petit rappel de ce que tu ne dois pas oublier avant de commencer des RPs déjà, la danse de la joie de Dumbledore t'accueille sur le forum, clique ici (attention les yeux ). Maintenant, il faut que tu passes par ce portoloin pour recenser ton fabulous avatar ! C'est très important et nous te demandons d'être rigoureux sur ce point. D'autre part, qui dit validation, dit carnet d'adresses ! Tu vas pouvoir te créer un carnet pour gérer tes liens en te rendant sur ce sujet ! Lis bien les instructions avant de commencer Ensuite, il est important de passer dans cette partie pour te recenser où il faut. Premièrement, pense à t'enregistrer parmi les sorciers de grande-bretagne en cliquant ici. Ensuite, il faut bien travailler (au diable les paresseux ) alors viens demander un job ici et parce qu'on a tous été à l'école (même mondingus ) il faut bien recenser son parcours scolaire (et ses retenues) en cliquant ici. Enfin, avoir un toit sur la tête c'est mieux, alors demande un logement dans cette partie. D'autre part, si t'es un peu bizarre, que tu as des dents pointues etc... Viens recenser ton don magique dans cette partie. Si tu as décidé d'incarner un personnage issu d'un famille prédéfinie du forum, fais également un tour dans ce sujet. Ca y est, tu es presque en norme maintenant, sache que tu peux avoir le droit à quelques extras ! tout d'abord, tu peux créer un scénario ou un semi-pv dans cette partie pour les scénarios et celle-ci pour les semi-pv. Tu peux également créer ta propre famille de sorciers (cool hein ? ). Rends toi dans cette partie pour en savoir plus sur cette possibilité. Maintenant, tu peux t'éclater et faire la danse du feu tout d'abord, tu peux FLOODER parce que le flood, CEY LA VIE alors viens poster un petit mot tout doux ici et participer aux jeux du forum Découvre aussi la partie dédiée au shipland et aux RPs des membres en prenant ce portoloin. Tu vas t'éclater avec nous et si tu n'oses pas te lancer dans un RP tout de suite car tu es timide, nous avons LA solution lance une recherche de partenaire RP en postant ici. N'oublie pas de consulter régulièrement les nouveautés du forum pour être informé de l'arrivée des intrigues/events et des animations où tu es invité à participer !

Si tu as des questions, l'ensemble du staff reste à ta disposition