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| je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas | |
| Auteur | Message |
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ϟ SORTILÈGES : 198
ϟ CRÉDITS : viif.
ϟ PSEUDO : viif.
ϟ AVATAR : mateus lages.
ϟ MES COMPTES : /
ϟ ÂGE DU PERSO : vingt-six.
ϟ SANG DE SORCIER : sang-mêlé.
≈ PROFESSION : auror.
ϟ STATUT CIVIL : célibataire.
ϟ ANCIENNE MAISON : serpentard.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : bois de laurier, moustache de fléreur, trente-deux centimètres.
| Sujet: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Lun 7 Déc - 1:46 | |
| Lucas Andrea Raventhorn Il a les yeux pleins d’étoiles et un sourire séraphique qui dissimulent ses mauvaises intentions. Son optique ? Emmerder le monde, vous compris. Car emmerder le monde est la solution, la panacée contre l’ennui. âge, date et lieu de naissance —ving-six années de provocations, de disputes, d'attente, d'épuisement mental et d'effusions. De sang, de larmes, de joie, de paroles, de mensonges, de sensations, d'amitié, d'émotions. La première, sa naissance le 11 août 2004 par une chaude nuit d'été, dans une clinique moldue privée à belfast, en irlande. Effusion bruyante, excessive, idyllique, laudative, passionnée et magique pour ces deux jeunes parents épuisé d'amour. nationalité et origines — irlandaise, comme sa mère. son père est anglais et trouve ses origines implantées dans le comté de tinworth, en angleterre. la famille raventhorn possédait un manoir non loin du village, mais a été forcée de déménager suite à un incendie. les grands-parents sont restés dans les environs et les parents de lucas sont revenus vivre dans la ville d'enfance de Carmen. sang de sorcier — souillé d'après certains, gâché pour d'autres. c'était une chose regrettable, pour la longue lignée raventhorn. Considéré comme un accident regrettable mais peu important pour son père, il est l'objet de discordes entre ce dernier et ses parents: choisir l'amour à son sang était considéré comme une trahison envers la lignée entière. un travail pur et au service de la famille durant des générations, bâclé par l'unique fils de monsieur et madame raventhorn. mais l'extinction de leur prestigieuse lignée n'est pas la conséquence d'une unique erreur de la modernité de l'amour et raventhorn junior tient tête à ses parents en prétendant que la famille black les a étouffé petit à petit, trompant leur vigilance et faisant d'eux les uniques responsables de cet incendie ainsi que de la destruction de leur lignée pure - et de tous leurs autres biens. lucas ne fera pas une montagne de son sang-mêlé. il aime sa mère, malgré qu'elle soit née-moldue. il aurait simplement voulu que sa famille ne soit pas tombée aussi bas. profession — l'an passé, il exerçait la fonction de sorcier-vigile sur de petites missions répétitives et ennuyantes, mais son ambition était autre. grâce à son caractère sanguin et impulsif ainsi que ses compétences en matière de combat, il a passé les tests pour s'élever au rang d'auror. récemment, il a travaillé sur l'affaire du vol de la relique de merlin et participé à interrogatoire - musclé - de morgol, le gobelin voleur présumé des faits. mais pour une raison qu'il ignore, potter le laisse un peu trop de côté en le plaçant sur des petites enquêtes futiles et inintéressantes qui comportent beaucoup de paperasse à traiter. il a donc pris le risque d'accepter un deuxième honnête travail plutôt bien rémunéré: laisser filtrer des informations - bonnes ou mauvaises - à sa compagne de nuit, miss Goyle, journaliste au Weekly Witch. maison à poudlard — serpentard, un trait héréditaire qui n'a manqué aucune génération dans la famille raventhorn. trois secondes au Choixpeau pour déterminer que l'ambition et la ruse ne lui manquait absolument pas, bien qu'il reste déçu de ne jamais avoir acquis le don caractéristique originel de sa maison: le fourchelang. statut civil — célibataire. outre ses problèmes de sang souillé qui ont un peu coupé court à la voie des mariages arrangés, lucas est un cœur à prendre. son optique pour le moment n'est pas forcément de trouver la femme idéale et de se construire une famille. il est encore au stade des histoires sans lendemain, de bon temps gratuit et de sa belle gueule égoïste. parcours scolaire — lucas aurait pu tenir tête aux meilleurs élèves de son année, mais il n'était pas du genre scolaire. de sa mémoire incroyable et de ses facilités dans tous les domaines pratiques de la magie, c'est pourtant sa répartie orale et musclée qui resteront dans les anales de ses anciens compagnons. baguette magique — bois de laurier, moustache de fléreur, trente-deux centimètres. caractérielle, elle se plie difficilement aux ordres d'autrui et est prédisposée aux sortilèges offensifs. le bois de laurier est un symbole de lâcheté, qui fait certainement référence à l'abandon systématique des objectifs qu'il se fixe lorsque la situation vient à se corser. la moustache de fléreur est un composant rare et onéreux dans la fabrication de baguette, mais lui apporte du caractère et de la précision. sa longueur renforce la puissance de ses sortilèges offensifs et reflète son caractère impulsif et sanguin. il faut savoir que lucas n'a acquis cette baguette qu'en acquérant son rang d'auror ; il a fait le choix d'abandonner sa baguette polyvalente et scolaire pour une baguette lui correspondant davantage. patronus — ce fut un véritable défi pour le jeune homme de formé un patronus intégral à l'âge de quatorze ans. celui-ci prend une forme nette de chimpanzé tantôt agressif, tantôt malicieux. l'animal agile le rejoint dans son intelligence et dans son impulsivité. si l'exploit du jeune homme a impressionné son père, celui-ci aurait préféré que la forme soit un peu plus .. reptilienne. épouvantard — sur son parcours scolaire, c'était souvent coleen, sa soeur, qui rampait vers lui. les autres élèves avaient cru reconnaître l'apparence d'un inferius qui voulait sa peau, mais lucas savait que c'était un corps vivant, dévoré par les flammes, en train de demander de l'aide. à l'heure actuelle, sa crainte envers coleen s'étant totalement estompée, son épouvantard prend la forme d'une main invisible qui le prend par la gorge et l'asphyxie, peut-être un parallèle de la situation dans laquelle il s'est fourrée en devenant un indicateur du weekly witch .. amortentia — un parfum en particulier lui monte tout de suite au cerveau, composé de vanille avec des points de citron. il sent ensuite l'odeur de l'air marin de tinworth et enfin, les viennoiseries tout juste sorties du four. localisation — il habite en périphérie de londres, au dulwich village, dans un appartement trop grand et trop cosy pour lui. nulle décoration au 28 burbage road, seulement un grand lit, un vieux canapé en cuir brun abîmé et une cuisine équipée. il lui arrive de revenir quelques chez ses parents à belfast, en irlande, mais cela devient de plus en plus rare. don magique — aucun, ce n'est pas sans l'avoir voulu. qualités et défauts — intelligent, superficiel, impulsif, joueur, mauvais perdant, espiègle, manipulateur, patient, fidèle à ceux qu'il aime, déloyal, moqueur, séducteur, belliqueux, contradictoire, susceptible, voué à l'autodestruction - et il le sait bien. signe distinctif — il porte la chevalière des raventhorn de son grand-père paternel. il porte également une grosse montre en argent. il est nourri d'une colère qui parfois qu'il lui arrive, parfois, de ne pas réussir à contenir. il porte un deuxième prénom de fille, mais il aime ça, dans le fond. faits notables — il croit à la transparence des actions du ministère, et balance donc des informations confidentielles au weekly witch contre de belles sommes d'argent - à croire que l'honnêteté à un prix. il couche également avec la journaliste dont il est l'indicateur, maeve goyle. il a participé à l'interrogatoire peu délicat du gobelin morgol, impliqué involontairement dans le vol du grimoire de merlin. il voue une haine féroce aux membres de la famille black, qui sont les principaux responsables de l'extinction du prestige dans la famille raventhorn. groupe — betrayed heart. quand un potter ne lui a pas laissé de chance pour faire ses preuves, il s'est retourné contre le ministère - et contre le survivant en particulier. ses idéologies sont cachées dans ses paroles, mais bien présentes dans ses faits. Le ministère semble corrompu et de nombreuses affaires ont éclaté depuis la période de paix. Que pensez-vous du ministère ? Pensez-vous qu'il est corrompu ? Quel est votre avis sur le ministre de la magie ? A-t-il triché selon vous pour obtenir son poste ? par définition, un ministère est corrompu. lui-même faisant partie du ministère et étant corrompu, en arriver à ce choix est tout à fait normal et sain: on intègre le ministère pour vouloir faire de ce monde une société plus saine, et on se rend compte que les gens dedans sont pourris de l'intérieur, rendant notre souhait idyllique impossible à réaliser. pour vivre avec ce fait insupportable, on veut changer le monde, tous, à notre manière, en abusant de notre pouvoir pour oublier les lois. il est certain pour lucas que le ministre ait triché pour accéder au pouvoir. mais ne le font-ils pas tous ? Le tombeau de Merlin a été découvert et son reliquaire, caché à Gringotts, mais un voleur s'est emparé d'une relique. Que pensez-vous de cette affaire ? Craignez-vous le pouvoir des reliques ? Quel est votre avis sur cette incroyable découverte ? pour lucas, ces reliques sont d'une magie pure et d'une puissance incomparable. il faut les craindre et les aduler à la fois. mise dans les mains de la mauvaise personne, la relique volée pourrait faire de sacrés dégâts, et même atteindre ses objectifs, quels qu'ils soient. en tant qu'auror, il serait désastreux de perdre une autre relique ... | |
à l'intérieur de ma pensine ≈ il possède une certaine fascination pour l'auto-destruction et aime jouer sur le fil du rasoir entre la frontière du bien et du mal ≈ il a longtemps cherché l'approbation de son père, avant de choisir de mener sa vie comme bon lui semblait ≈ il n'a pas la fibre familiale, malgré qu'il a été touché par l'histoire de la descente aux enfers de sa famille, les Raventhorn ≈ longtemps, il n'a pu poser les yeux sur sa soeur Coleen qui lui suscitait le dégoût ; leurs relations vont désormais mieux et il se sent toucher par l'injustice dont elle a été victime ≈ il fut invaincu au duel à la baguette sur sa dernière année à Poudlard ≈ il joue à la console moldue pour se défouler ≈ il possède un boursouflet mâle nommé Rex ≈ il aime aussi les créatures magiques plus dangereuses et plus exotiques ≈ il possède une réserve de potions assez monumentale, toutes faites maison ≈ il est connu au ministère pour des faits de violence ≈ il enchaîne les conquêtes sous le pseudonyme d'Andrea Gordon ≈ il jure solennement que ses intentions sont mauvaises pseudo et prénom — viif ; audrey. âge et région/pays — vingt-deux. belgique(bruxelles). comment as-tu découvert le forum ? — top-site. quel est ton avis sur le forum ? — intrigue générale originale et design canon. Une belle activité pour un forum jeune, aussi ! quelle est ta fréquence de connexion par semaine ? — tous les jours sauf exception. ton personnage est — () prédéfini (x) scénario () inventé. ton avatar est — mateus lages. un dernier mot — vous avez l'air aussi cools que des chatons déguisés en licornes. TEMPORIS HEREDITAS 2015 |
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| Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Lun 7 Déc - 1:58 | |
| le jour fait semblant de se lever, mais c’est la nuit pour toujours La vitesse me grise. Demain tout va changer. J’en ai marre, j’en peux plus. Poursuivre chaque jour une finalité qui n’existe pas ; m’étourdir, taper, jouer, baiser, sortir, je veux rompre cet engrenage infernal. Je veux avoir une raison de me lever le matin. I. portrait d'une famille de sang-pur déchue. Ils étaient riches, ils étaient puissants, ils avaient de l'influence et même du pouvoir. Ils regardaient leur manoir brûler au pied des grandes grilles, ce feu à l'appétit éternel était magique et rien ne pouvait l'arrêté. Il s'était même nourri du corps d'un enfant qui gisait sur un brancard, la chair brûlée à vif, hurlant à la mort. Des colonnes de fumée noirs s'élevaient tandis que l'odeur de brûlé régnait partout dans les alentours. Le vent soufflait sur les braises chaudes et faisait virevolter joyeusement les cendres éteintes dans les champs de blé voisins. Le spectacle n'était pas joyeux pour la famille Raventhorn. Cette famille de sang-pur avait su attiser la jalousie des autres familles de prestige. Certaines, envieuses de leur nom et de leur fortune avaient déjà tenté des coups bas pour rabaisser leur notoriété. Mais aujourd'hui, le spectacle qui était donné était signé Black, et c'était certainement la dernière représentation qu'il donnerait aux Raventhorn. Les grands-parents, propriétaires légitimes du manoir, retrouvaient leurs esprits après avoir inhalé trop de fumée toxique. Ces deux petits vieux, au style habituellement bien sorcier, était pauvrement assis sur un tronc d'arbre coupé, dans des pyjamas en velours. Ils vidaient leurs poches pour inspecter ce qu'ils avaient pu sauver des flammes. Un médaillon avec une grosse émeraude, un poignard gravé de runes antiques, la chevalière des Raventhorn et l'album photo familial. C'était tout l'héritage qui leur restait. C'était pathétique. Les oiseaux qui commençaient à s'éveiller en émettant des gazouillis tirèrent de ses noires pensées la jeune mère. Elle avait les yeux rougis par la fumée et par les larmes. Elle était couverte de suie et avait les mains bandées à cause de brûlures au troisième degré. C'était elle qui avait tiré à la force de ses bras sa petite fille de dix ans, dont le corps avait été touché par les flammes. Enceinte de huit mois et demi, les émotions qui traversaient sont corps étaient multiples, et contradictoires. Elle s'en voulait, elle en voulait aux responsables de l'incendie. Elle était épuisée physiquement et mentalement, mais elle voulait tout construire pour préparer l'arrivée du nouveau fœtus. Elle s'approcha à petites enjambées incertaines du brancard où sa première fille pleurait à lui fendre le cœur. Si elle avait su qu'elle n'aurait pas pu la sauver davantage, elle l'aurait laissé mourir là, sur place. Son œil tourna en voyant son visage brûlé vif, elle perdit l'équilibre et sentit ses jambes défaillir sous son poids. C'était trop dur à porter. Heureusement, elle n'était pas seule, son mari la soutenait, littéralement. Il la prit dans ses bras comme il aurait porté sa fille endormie, et déposa un baiser sur son front. Raventhorn Junior n'était pas tellement secoué par la perte de sa maison et de ses biens. Il était seulement inquiet des répercussions que ça pourrait avoir sur sa femme, et sur ses deux enfants. Est-ce que Coleen allait survivre à ses blessures ? Est-ce qu'Andrea allait continuer à se développer normalement ? Cet avenir incertain inquiétait, et se voir impuissant dans une pareille situation le laissait anéanti. Andrea n'avait pas survécu. Ce bébé prématuré de quelques semaines était morte-né. Ils l'enterrèrent dans le cimetière des Raventhorn dans un petit cercueil, ce qui était d'autant plus révoltant. Coleen avait survécu, mais elle garderait des séquelles de cet accident pendant tout le restant de sa vie. Brûlée au visage, aux mains et aux cuisses, elle avait développé un handicap mental suite à l'asphyxie qu'elle avait subie à cause des fumées. Aucun sort n'avait pu la remettre sur pied, l'opération était trop dangereuse pour être tentée. La jeune fille avait gardé sa joie de vivre, mais son cerveau ne se développait plus aussi rapidement qu'autrefois. Madame et monsieur Raventhorn seniors avaient déménagé dans le comté de Tinworth, en Angleterre, pour finir leurs vies au calme. Ils avaient acheté une petite maisonnette très charmante au bord de la plage, où il faisait bon vivre. Les habitants, sorciers comme moldus, étaient aimables et respectaient l'intimité. Ils s'occupaient régulièrement de Coleen, qui se plaisait dans ce paysage. Personne ne leur posait des questions, l'air marin lui faisait du bien et elle grandissait comme une véritable petite fille, avec le respect des voisins. Elle reçut sa lettre de Poudlard, comme n'importe quelle petite sorcière, mais ses parents annulèrent son inscription. L'état de Coleen était jugé trop lourd pour être pris en charge par l'école de magie. Madame et monsieur Raventhorn juniors s'étaient mariés. En deuil, ils avaient reconstruit leur vie du côté de Belfast, en Irlande, où la famille de Madame Raventhorn habitait depuis toujours. Ils furent d'un réconfort pour surpasser la perte de cet enfant. Leur maison était grande, et bien vide par moment. Madame finit rapidement par retrouver du travail, dans une école maternelle moldue. Elle adorait conter les histoires et voir l'émerveillement des enfants. Et bien qu'elle savait à présent que ces histoires étaient pour la plupart vraie, elle se contentait de les transmettre. Monsieur finit par revenir de son congé de maladie. Après être tombé en dépression, il fut de retour au service psychiatrique de Sainte-Mangouste. C'était difficile, mais il abordait les rencontres avec les familles de ses patients avec plus d'humanité, avec plus de compréhension. Après un début lourd, où il pensait beaucoup à Coleen - qui venait régulièrement le voir - les habitudes reprirent leur court, et il se sentait de mieux en mieux, chaque jour, acceptant petit à petit sa situation, et l'idée que rien d'aujourd'hui ne sera comme autrefois. Neuf années s'écoulèrent sans que rien ne change. Un quatorze février, monsieur invita madame au restaurant. Il lui offrit des roses rouges, un bon repas dans une brasserie sorcière du centre. Elle refusa alors sa coupe de champagne, porta ses mains à son ventre et sourit. Effusion de joie. Effusion d'amour. Et un soupçon de tristesse. Ils pensaient à Andrea, ce petit être qui n'avait jamais pu voir le jour. Ils se promirent de faire de leur mieux, préparèrent la chambre plusieurs mois à l'avance sans connaître le sexe du bébé et se languirent de cette attente. Une nouvelle vie, une nouvelle âme. Lucas Andrea. C'était un deuxième prénom de fille. Mais les parents voulaient se rappeler que cet enfant devait vivre pour deux. En comptant Coleen, à qui on avait volé son adolescence, il devrait vivre pour trois. Ils n'avaient pas encore conscience de ce qu'ils avaient créé. Ils n'avaient pas non plus conscience qu'ils n'auraient aucun pouvoir sur leur création. Pour la plus chaude nuit d'été, Carmen fut transférée à l'hôpital moldu le plus proche, où elle-même était née. L'enfant n'était prévu que pour le lendemain, mais la chaleur rendait la situation trop insupportable pour la maman, qui n'avait pas voulu prendre de risque. La climatisation rendait l'air respirable, les draps étaient propres même s'ils sentaient le désinfectant, mais tout sentait le désinfectant, ici. Monsieur Raventhorn inspectait les environs et regardaient les médecins et infirmières défiler dans les couloirs avec suspicion, en cherchant des fautes professionnelles. Il aurait préféré qu'elle accouche à Sainte-Mangouste - ou du moins dans un établissement sorcier -, mais le lieu lui était trop insupportable. Née-moldue, elle avait insisté à accoucher dans un hôpital moldu, de façon normale. Darwin s'était endormi dans le fauteuil inconfortable de la chambre en tenant la main de son épouse. Il se réveilla en sursaut, lorsque Coleen referma la porte derrière elle. La jeune fille venait de terminer son service de nuit. Après avoir trop longtemps traîné dans les couloirs de Sainte-Mangouste, son père lui avait trouvé un poste de secrétaire à l'accueil de l’Hôpital sorcier. Elle aimait son travail, renseigner les gens, les accompagner jusqu'à la bonne chambre. Elle était gentille, elle était souriante, mais son apparence dérangeait la plupart du temps. Les gens n'avaient même pas à se rendre compte que ses neurones avaient également grillé. Le travail commença vers trois heures de l'après-midi. Les deux familles, Raventhorn et Gordon, restèrent toute l'après-midi. Leurs conversations étaient surtout concentrées autour des gros blancs. Ils cherchaient quoi se dire en ajoutant des commentaires inutiles auxquels la famille opposée acquiesçait sans rebondir. Vers dix-neuf heures, alors que le soleil luttait encore contre la nuit, un médecin ouvrit la porte, le fond sonore était un bébé qui hurlait à plein poumons. Lucas était né, et tapait déjà sur le système de tout le monde. Bien qu'à l'époque, c'était considéré comme mignon ... Il était un bébé adorable, calme et souriant. Il ne pleurait pas, il ne faisait pas de crise que ses parents ne pouvait apaiser. Il ne voyait pas beaucoup Coleen, qui l'effrayait trop pour pouvoir se laisser prendre dans ses bras. Cette dernière avait finalement choisi d'aller vivre avec ses grands-parents paternels, au bord du rivage. Eux avaient besoin d'elle parce qu'ils commençaient à devenir vieux et à ne plus savoir s'occuper d'eux-même. Lucas était choyé un peu trop. On lui accordait tous ses caprices, on le couvrait d'amour. Il ne manquait de rien. C'était le bonheur, du moins au début. Plongés dans leurs jobs, fatigués en amour et épuisés par cet enfant-roi, Lucas grandissait seul. Il s'inventait des amis, vivaient des aventures extraordinaires dans son imagination et écoutait les conversations tendues des adultes de mauvais poil. Un quotidien qui développa son attitude solitaire ... II. Je pratique et je prône l’hédonisme mondain. — Mr Raventhorn. Si vous voulez devenir auror, il faudra davantage travailler pour obtenir des notes suffisantes et accéder à la formation. — Je le ferai, Madame. — Vous êtes conscient que vous devrez donner le meilleur de vous-même ? — Oui, Madame. — Et que votre comportement envers les autres élèves devra changer ? — Mon comportement ? — Finies les bagarres et les joutes verbales. Entrer au Bureau des Aurors requiert du sang-froid et de la discipline. Entraînez-vous au duel si vous le voulez, trouvez un moyen de vous canaliser autre que sur vos petits camarades. — Je serai exemplaire. — Je vous fais confiance, ne me décevez pas. Si vous avez davantage de questions et d'interrogations, n'hésitez pas à venir me trouver dans mon bureau.Lucas acquiesça et se leva de sa chaise. Son visage neutre ne laissait que très peu paraître sa déception. Il ne s'attendait pas à devoir faire des efforts pour atteindre son objectif, surtout en matière de discipline. A sa sortie, une fille de petite taille lui tendit une embuscade et réussit à lui décrocher un sourire. Sugar - ce n'était qu'un surnom - était l'une de ses plus proches amies, sa confidente, sa partenaire de cours, sa comparse de crimes et par-dessus tout, son premier amour encore inavoué. — Alors ? — Alors ? — Qu'est-ce qu'elle a dit, Madame Casse-Bonbon ? — De quoi je me mêle ? — Oh ça va, fais pas ta prude ! Dis-moiiii. — Il faut bien que, de nous deux, il y ait une jeune vierge effarouchée. — Tss, coup bas ! — Trop en-dessous de la ceinture pour toi ? — Tu t'éloignes de l'essentiel. — T'en as pas marre de jouer avec un con différent tous les soirs ?Elle le gifla. Il y eut un moment d'arrêt entre les deux qui se dévisagèrent en silence. Lucas était protecteur. Il lui attrapa le visage délicatement et posa un baiser sur son front. Après une brève étreinte, il s'éloigna. La jeune fille resta sur place un moment avant de courir après lui et de sauter sur son dos. C'était comme ça entre eux. Et ça le restera. — Tu me pardonnes ? — J'y gagne quoi en échange ? — Mon pardon. — Non, alors. Je veux des bonbons explosifs. — On peut te corrompre avec des friandises, vraiment ?— C'est pas n'importe quelles friandises. — Ça te perdra. — Elle m'a dit que je devrais travailler. — Combien pour ce secret d'État ? — Une dernière année de servitude.Elle lui donna une pichenette derrière l'oreille, il détestait ça. — Rooh, je ne t'ai pourtant pas mal élevée ! — Tais-toi, tête de nœuds ! — T'as de la chance qu'elle m'ait aussi interdit de me battre. — C'est foutu pour toi, je pense. Reconvertis-toi en gardien de prison. Tu pourras user de ta force, là-bas ! — Arrête de te foutre de moi. — C'est possible que je te fasse péter les plombs ? — Je te parle plus, considère que mon silence soit cruel. Où sont les autres ? III. Je bois à l'absurdité de ton existence, mon cher. — Je suis désolé, Monsieur, mais votre candidature n'a pas été retenue. — Comment ça ? — Le Bureau des Aurors n'a engagé personne ces trois dernières années, cela n'est pas contre vous. — Et vous trouvez ça normal ? J'ai fini la formation d'Auror, qu'est-ce que je suis sensé faire à part être auror ? — A vous de voir, ça, Monsieur.Son corps de jeune adulte tout juste diplômé bouillonnait. Il pulvérisa d'un revers la collection de figurines animées des héros de son interlocuteur et transplana. Le décor semblait être dessiné en papier mâché, à moins qu'il n'ait absorbé des drogues hallucinogènes par mégarde ? Non, le décor se redessina, et le jeune homme rageux pénétrait dans la maison de ses parents. — Ils n'engagent pas. — Oh, mon chéri, je suis désolée. — C'est bon, maman, je suis plus un enfant. Coleen est là ? — Elle ne devrait pas tarder.Darwin Raventhorn leva les yeux un instant de son journal pour regarder son fils puis reprit sa lecture sans faire de commentaire. La relation entre le père et le fils ne s'était jamais vraiment développée correctement. Ils avaient fini par prendre leurs distances et à se parler quand il le fallait vraiment, jamais pour se dire grand-chose. Dans le fond, Lucas continuait à chercher l'approbation de son paternel tandis que ce dernier était heureux que son fils fasse ce qu'il aime. Cherchez l'erreur. Coleen passa sa tête dans l'encadrement de la porte, surexcitée. Aujourd'hui, son visage avait retrouvé un aspect normal, bien que ses cicatrices soient encore visibles. Lucas, petit, avait mis du temps à s'habituer à son aspect physique hideux. Sa répulsion était atroce et il en était conscient. Sa soeur hantait souvent ses cauchemars sous le rôle du méchant. Mais c'était du passé. A l'heure actuelle, il était révulsé envers ceux qui lui avaient fait ça, les Black. Ses déficiences mentales n'avaient jamais été comblées, malgré le travail acharné de leur père dans l'aile ouest de l’Hôpital Sainte-Mangouste. Cette injustice lui brûlait le cœur, qui tout de suite lui semblait apaisé vu le cadeau qu'elle rapportait à la maison. Un homme, la trentaine, un sourire gêné, une grande barbe rousse et de grosses lunettes. Cette réunion de famille promettait. Cet homme avait rencontré Coleen lors d'une visite à Sainte-Mangouste. Son travail consistait à sécuriser des clients ou des zones lors de différentes missions que l'on pouvait lui proposer. Pour le contrat qui l'a attiré à Saint-Mangouste, il reçut le sortilège Sectumsempra par des individus voulant dérober une collection de bijoux magiques de grande valeur. Si son visage était à faire peur lors de son arrivée à la clinique, ça n'a pu empêcher le coup de foudre entre les deux individus. Le dénommé Carl offrit un poste de sorcier-vigile à Lucas, qui accepta de prendre un travail temporaire, le temps qu'ils ré-ouvrent les candidatures au Bureau des Aurors. S'il pensait que ce travail serait tout de même un peu palpitant, Lucas était plutôt déçu. Il passait son temps à surveiller, observer, être attentif sans que rien ne se passe. Quand il se passait quelque chose, il montait rapidement dans les tours, sous son impulsivité, mais il faisait bien son job. Les journées étaient longues, mais ces longues journées lui permettaient de récolter un salaire, et donc de prendre son indépendance auprès de ses parents. Il déménagea à Londres, dans un petit quartier nommé Dulwich Village. Il était tranquille, pouvait faire ce qu'il avait envie. Ramener des filles, organiser des soirées, passer sa journée en cuisine, posséder un boursouflet - ça rendait les filles un peu stupide, mais ça avait toujours son petit effet. Il possédait une grande bibliothèque qu'il aimait remplir de livres sur des sujets qui le fascinaient. La magie noire - il voulait la combattre mais dans le fond, elle était hypnotisante -, les créatures magiques d'ici et d'ailleurs, la stratégie en quidditch, les pratiques interdites de la magie, le vaudou, les potions, ... Il possédait également une étagère où il rangeait des livres qu'ils considéraient comme spéciaux - moldus ou plus de son âge - comme le Kamasutra, des contes pour enfants sans magie, des romans classiques. On frappa à la porte, Lucas posa son livre et alla ouvrir. Sugar se tenait sur le perron, toute droite. Il pouvait voir que ses intentions étaient mauvaises, mais la laissa rentrer. C'était son amie, tout de même. — Je t'apporte ton cadeau d'anniversaire ! — Qu'est-ce que c'est ? — Devine.Et ils se chamaillèrent. Elle resta pour souper et finit par lui tendre une grosse montre en argent. Elle lui dit que ça servait également de moyen de communication parce qu'elle en avait une aussi. Ils restèrent jouer à la console toute la nuit, s'insultant amicalement comme ils l'avaient toujours fait, buvant comme des adolescents voulant tester leurs limites. Il avait toujours voulu franchir le pas, et à la fois, il savait qu'il se détesterait s'il le faisait et que ça changeait. De plus, elle avait un petit-ami, et c'était quelqu'un de bien. Au petit matin, quand ils se réveillèrent, elle dans son lit, lui sur le canapé, ils déjeunèrent en silence. — Il faudra pas qu'on se perde de vue, avec les autres.Lucas tourna son poignet et chipota à sa montre. Sugar sourit quand elle découvrit le message de son pote s'aligner entre les deux aiguilles. Sur qui je me défoulerais, sinon ? Elle repartit peu de temps après, laissant un grand vide dans cet appartement trop grand aux murs trop blancs. IV. N’attendez pas de chute à cette histoire, il n’y en a pas. On était mardi. Quand la grosse horloge afficha dix-huit heure, Lucas se leva de son bureau, enfila sa cape et prit l'ascenseur pour le niveau 0. Dix heures qu'il se tournait les pouces en attendant d'être un poil utile à la communauté sorcière. Dix heures qu'il se repassait les mêmes insultes pour parler de Harry Potter. Dix heures qu'il fantasmait sur son rendez-vous du mardi soir. Pour la nuit, il aurait droit à sa friandise préférée, goût vanille citronnée. Il utilise le réseau de cheminée pour pénétrer dans son appartement vide. Il prend une douche brûlante, se rase grossièrement et se parfume. Dans le salon, la télévision allumée grésille sur des images de la chaîne du Minister Pride. Ils repassent en revue les dernières actualités dont le vol du grimoire de Merlin, l'air inquiet que le coupable n'ait pas encore été attrapé. Lucas enfile un pantalon noir propre et une chemise noire, et grogne devant les commentaires désobligeants que pouvaient prononcer les présentateurs. Au Chaudron Baveur, il était en avance. Assez pour boire un verre en observant la faune locale indiscrète. Une jeune fille surgit à ses côtés au comptoir et commanda une Whisky Pur-Feu. Après quelques plaisanteries échangées et un bon feeling, Lucas l'invita. — On va jouer à un jeu. Ça s'appelle: Répète après moi. Tu répètes après moi.Bon joueur, le jeune homme porta son verre à ses lèvres, attendant la suite avec un brin de curiosité. — Je porte un prénom de fille. — Je porte un prénom de fille.Quand le jeune homme était, ce qu'on pouvait dire en chasse, il ne donnait pas son premier prénom, mais son deuxième, Andrea, tout comme il ne prenait pas son nom de famille, mais celui de sa mère, Gordon. C'était plus simple pour les indiscrétions, et pour la fuite. — Je sais pas m'y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur. Il porta son verre à ses lèvres et huma son contenu. Doué en potions, doué en cocktails alcoolisés, c'était un peu la même chose. Pas le moins mal à l'aise, il regarda la fille dans les yeux et répéta, sans beaucoup de sérieux. — Je sais pas m'y prendre avec les filles ... à part les attacher au radiateur. — C'est vrai, ça ? — C'est vrai, ça.Elle cherchait ses mots, sans pouvoir tirer de conclusions sur l'étrange phénomène qui se trouvait devant elle. Il avait du charme, il avait cette pointe d'ironie dans son non-parlé, cette prestance et à la fois, cette attitude du parfait connard. Un sourire d'ange qui dissimulait ses intentions, et pourtant, ces dernières étaient limpides. — J'ai gagné ? — Le droit de te faire foutre ? — Élégant. — Explique-toi. — Elle m'a sauté dessus, alors je lui ai fait croire qu'il me fallait des conditions particulières pour être excité. Avec un sourire en coin qui dénonçait sa fierté pour ce coup de maître, il l'observait du coin de l’œil, elle et ses réactions. — Comme on manquait d'alcool, je suis parti en chercher. J'ai croisé mon pote Marius qui m'a invité à une petite soirée privée.Il marqua un temps de pause, porta son verre à ses lèvres et régla l'addition. Elle trahissait des signes d'impatience et de crédulité. Le jeune homme jeta un regard à sa montre, il était temps qu'il se sauve. — Quand je suis rentré au petit matin, l'idiote s'était menottée au radiateur et m'attendait pour une surprise. Je l'ai détachée et elle est partie. Ça s'arrête là. — Et je suis sensée te croire.Il haussa les épaules sans innocence, et se leva. — Au plaisir de te recroiser.Il monta à l'étage, où sa chambre miteuse était réservée pour la nuit. Étrange, vous pouvez dire, de réserver une chambre quand on avait un appartement, et le pouvoir de transplaner où bon lui semblait. Mais c'était une habitude et puis, ce n'est pas lui qui choisissait. Il frappa à la porte calmement et investit les lieux sans demander son reste. Elle était déjà là, un carnet à la main. Lui s'appuya sur la porte, conservant ce silence où il pouvait la dévorer des yeux. Ses talons et son rouges à lèvres trahissaient ses intentions, sa robe les criait sans honte. — Dis-moi. C'était qui, cette fille au bar ? — Une fille. Je ne connais pas son prénom. Ça fait partie du deal ? — Simple curiosité qui aurait peut-être excusé ton retard.Il s'assit et ils discutèrent boulot. Lucas n'avait pas l'impression de trahir les siens, il avait l'impression de mettre de la lumière sur les affaires noires du ministère. Un peu d'honnêteté, un peu de transparence qui informerait les ménages sur ce qu'il se passait réellement entre les murs de leur gouvernement. Licenciements abusifs qui mettaient à mal certains sorciers ayant donné leur vie au ministère. Une solution alternative aurait pu être imaginée pour leur assurer un avenir correct à eux et à leur famille. Il n'eut, par contre, pas le temps de parler de la mise en retrait de certains agents sur certaines affaires importantes. Ils étaient pressés d'en finir. L'entrevue se clôtura sur la remise de la récompense au jeune auror. Lucas ne pouvait s'empêcher de s'imaginer que la récompense n'était pas seulement pour ces informations, mais aussi pour la suite ... Leurs ébats sauvages reflétaient la violence de leur émoi. Lucas cultivait cette sensation électrique qu'il ne ressentait dans rien d'autre que ses relations avec Maeve. Pourtant, son cœur ne semblait pas attaché à cette princesse maniérée. Leur relation n'était pas composée de sentiments, mais d'émotions, de vivant. Il était nu dans ces draps et la regarda filer en douce. — Tu pars déjà ? — Pourquoi ? Je te manque ?Il avait trouvé son caleçon et l'avait enfilé. Ils se fixaient avec un sourire, à la fois attirés, et à la fois amusés. Elle cherchait ses affaires pour se remaquiller, lui cherchait le moyen de profiter de sa présence encore un peu. Il savait qu'elle allait fuir rapidement. Il lui ceintura la taille et l'embrassa, tout en ayant pleine conscience que ça ne servirait à rien. Maeve avait le don de le rendre fou aux bons moments. Un non suffirait à continuer à le faire espérer, alors qu'un oui, l'affaire serait pliée. — Reste. — Toutes les bonnes choses ont une fin.Bon enfant, il la libère. Mais mauvais joueur, il n'aime pas abandonner sans tenter un dernier assaut. Il la plaque contre le mur, la fixe dans le blanc des yeux avec émotions. Tout un flux lui traverse le corps et l'agite. — Qu'est ce que je suis pour toi, Goyle ? Un jouet ? Simplement une balance ou un amant ? — Un peu de tout ça à la fois et c'est excitant, je dois dire.Il ne peut réprimer un sourire en coin, ni un rire en voyant sa réaction. Il lui dépose un baiser sur la joue et trouve le courage de la laisser finir de se préparer, pour qu'elle puisse partir. Il jette un coup d’œil par la fenêtre, le ciel est encore sombre, il pleut des cordes. Il jette ensuite un regard à sa montre, il commence dans trente-trois minutes. Super, la journée s'annonçait bien. Paresseusement, il se laisse tomber dans les draps et fixe le plafond. Maeve était une échappatoire sur un quotidien qui le perdait. Elle était le désir de s'auto-détruire. Le diable à qui s'allier. Elle avait le don de lui faire perdre la tête, de le rendre déraisonnable, de lui faire prendre des risques. Comme lorsqu'elle utilisait la légilimancie pour s'introduire dans sa tête et voir toutes ses faiblesses. Elle voyait Coleen, elle voyait même peut-être Andrea. Elle voyait ce mur dressé entre lui et son père. Sa frustration au boulot. Elle voyait sa haine envers la famille Black. Elle avait plus de mal à voir ses autres conquêtes, ou plutôt, à démêler la réalité des fantasmes, le vrai des mensonges. Elle se heurtait à certaines parois de son passé, comme ses souffrances, sa solitude et ses aspirations ; sa violence, son sentiment d'injustice et son égoïsme. Elle voyait tout ce qu'elle voulait. Lui essayait tant bien que mal de dresser des limites dans sa tête qu'il s'efforçait de protéger. Mais sa victoire, dans tout ça, c'est qu'elle devait aimer voir tout ça, parce qu'elle revenait. — La semaine prochaine ? — Oui et... Oh, mets la robe bleu. ?Sa bouille rieuse disparût derrière la porte qui se referma avec un grincement semble-t-il moqueur. Et il se força à se lever rapidement, malgré le parfum de la demoiselle qui hantait les draps. © TEMPORIS HEREDITAS 2015 |
| | | ϟ SORTILÈGES : 388
ϟ CRÉDITS : astoria (avatar)
ϟ PSEUDO : marauders // marine
ϟ AVATAR : sasha pieterse
ϟ MES COMPTES : james potter
ϟ ÂGE DU PERSO : vingt-deux pétales fânés.
ϟ SANG DE SORCIER : sang-mêlée, elle se moque des anciennes valeurs et ricane devant son père à ce sujet.
≈ PROFESSION : journaliste talentueuse et aux articles acides pour Weekly Witch.
ϟ STATUT CIVIL : versatile, elle aime croquer les hommes, jouer avec eux et aucun n'a d'emprise sur son coeur.
ϟ ANCIENNE MAISON : comme ses aïeux avant elle et son aîné, elle a terminé à serpentard.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : baguette en bois de saule, flexible mais parfaitement droite, elle contient un cheveu de sirène et mesure trente-deux centimètres très précisément. Elle est prédisposée aux sortilèges et incantations informulés.
ϟ DON MAGIQUE : elle joue avec la légilimencie comme on joue avec des cartes.
ϟ LOCALISATION : diagon alley, perdue dans la foule, éparpillée dans les dédales des ruelles sombres.
| Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Lun 7 Déc - 10:43 | |
| IL EST BÔ MON AMANT mateus est un excellent choix, je le redis et puis merci de tenter mon scénario l'intro est top, j'ai hâte d'en lire plus ! n'hésite pas si tu as des questions et puis... AVALANCHE D'AMOUR COQUIN² - Spoiler:
|
| | | ϟ SORTILÈGES : 290
ϟ CRÉDITS : @odistole (ava), @rose weasley l'amour de my life (gif sign)
ϟ PSEUDO : january blues.
ϟ AVATAR : dane deehaan.
ϟ MES COMPTES : aucun.
ϟ ÂGE DU PERSO : vingt-six balais.
ϟ SANG DE SORCIER : pur, indiscutablement. même si les valeurs qu'il affirme sont bien loin des préjugés liés à son patronyme.
≈ PROFESSION : ancien tireur d'élite dans la brigade du ministère, il s'est fait renvoyé suite à son arrestation lors de la manifestation des gobelins. cependant, son renvoi a été déclaré à la population comme une démission, ce qui le met en rage ; désormais fugitif, scorpius est activement recherché par les équipes du ministère avec comme motif officiel l'atteinte physique à un auror ainsi que l'évasion des cellules du département de la justice, mais au fond, scorpius sait très bien que s'il est traqué, c'est pour son nom de famille qui représente une menace.
ϟ STATUT CIVIL : récemment célibataire, accroché à ces souvenirs fleuris, qui lui procurent un bien-être infâme. une certaine rousse ne parvient pas à quitter son coeur alors écrasé par la pression de ces derniers temps.
ϟ ANCIENNE MAISON : serpentard.
ϟ LOCALISATION : il se terre dans les ruines de la forêt de godric's hollow depuis son évasion, là où l'a conduit son meilleur ami albus potter. parfois, il ose s'aventurer dans le dédale londonien, mais ses visites sur le chemin de traverse sont rares.
| Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Lun 7 Déc - 12:10 | |
| je n'ai pas eu le temps de lire le scénario mais en tout cas c'est un superbe choix bienvenue et bonne chance pour ta fiche |
| | | ϟ SORTILÈGES : 48
ϟ CRÉDITS : Blondie
ϟ PSEUDO : hiraeth
ϟ AVATAR : Sebastian Stan
ϟ MES COMPTES : /
ϟ ÂGE DU PERSO : le temps commence à se rider, trente ans ça finit par dater.
ϟ SANG DE SORCIER : mêlé
≈ PROFESSION : potionniste à Ste-Mangouste, et se prend pour un alchimiste tous les deux jours
ϟ STATUT CIVIL : il se fout de l'amour depuis l'adolescence, nuits rythmées mais c'est un peu comme s'il avait abandonné son coeur dans le lit de l'autre idiot depuis des siècles
ϟ ANCIENNE MAISON : serpentard
ϟ DON MAGIQUE : loup-garou aveugle
| Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Lun 7 Déc - 12:25 | |
| Cet avatar Et ta plume est canon bon sang |
| | | ϟ SORTILÈGES : 495
ϟ CRÉDITS : @soeurs d'armes - avatar/aconit - badges/scorpius le plus bg - signature.
ϟ PSEUDO : sparks, laura.
ϟ AVATAR : holland roden.
ϟ MES COMPTES : juste celui-ci.
ϟ ÂGE DU PERSO : vingt-cinq étoiles.
ϟ SANG DE SORCIER : sang-mêlée, un mélange de sang pur et moldu. une diversité autrefois reniée, maintenant acceptée, elle affiche ces couleurs la tête haute.
≈ PROFESSION : commentatrice de matchs de quidditch, elle divulgue des mots à travers un micro consumée par sa passion.
ϟ STATUT CIVIL : coquille vide, enivrée. des iris bleues hantent encore ses rêves.
ϟ ANCIENNE MAISON : gryffondor, c'est avec une certaine fierté qu'elle a honoré la mémoire de ses deux parents en rejoignant la maison des braves et des courageux.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : vingt-quatre virgule cinq centimètres, bois de séquoia, possède en son coeur une aile de fée délicate et colorée, prédisposée aux sorts informulés.
ϟ LOCALISATION : elle s'égare, s'abandonne au Terrier. Elle est vide et froide depuis qu'elle est seule, livrée à elle-même.
| Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Lun 7 Déc - 13:03 | |
| Quel choix de scénario. Bienvenue parmi nous. |
| | | ϟ SORTILÈGES : 198
ϟ CRÉDITS : viif.
ϟ PSEUDO : viif.
ϟ AVATAR : mateus lages.
ϟ MES COMPTES : /
ϟ ÂGE DU PERSO : vingt-six.
ϟ SANG DE SORCIER : sang-mêlé.
≈ PROFESSION : auror.
ϟ STATUT CIVIL : célibataire.
ϟ ANCIENNE MAISON : serpentard.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : bois de laurier, moustache de fléreur, trente-deux centimètres.
| Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Lun 7 Déc - 13:17 | |
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| | | ϟ SORTILÈGES : 885
ϟ CRÉDITS : money honey. (avatar) + EXCEPTION (signature)
ϟ PSEUDO : THE @lice (laura)
ϟ AVATAR : jack o'connel.
ϟ MES COMPTES : ashley fawley.
ϟ ÂGE DU PERSO : vingt-six ans, sérieusement, vingt-six années qu'il est sur terre, il est à peu près certain que ça n'en fait pas plus de seize.
ϟ SANG DE SORCIER : mêlé, il a des idéologies de sang-pur, ce qu'il lui semble lui-même stupide, mais il ne les partage que peu souvent.
≈ PROFESSION : mercenaire, voleur, chasseur de prime, assassin, payé pour commettre des crimes.
ϟ STATUT CIVIL : célibataire, depuis toujours, il se sent pas seul, il n'est jamais tombé amoureux, n'a jamais embrassé de filles, et ça lui va, même s'il affirme le contraire pour entretenir une certaine sombre réputation.
ϟ ANCIENNE MAISON : serpentard, originalité inexistante.
ϟ DON MAGIQUE : semi-lycan, il ne le vit pas aussi mal que ce qu'on pourrait le croire, aujourd'hui, du moins.
ϟ LOCALISATION : partout et nul part, âme marginal qu'il est.
| Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Lun 7 Déc - 14:39 | |
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| | | | Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Lun 7 Déc - 16:02 | |
| bienvenue et bonne chance pour ta fiche |
| | | ϟ SORTILÈGES : 1021
ϟ CRÉDITS : herjuliwi (avatar) ; aconit (badges)
ϟ PSEUDO : sweet nothing (bé)
ϟ AVATAR : gemma arterton
ϟ MES COMPTES : aucun
ϟ ÂGE DU PERSO : vingt-cinq ans.
ϟ SANG DE SORCIER : sang-mêlé, cela ne l'a jamais dérangé, ce n'est pas ça qui fait un grand sorcier.
≈ PROFESSION : la fierté n'est plus, la déchéance de la princesse l'a conduite à user de ses charmes pour survivre, la fin d'un rêve lui donnant un aller simple pour la couronne brisée, l'enfer qui la consume.
ϟ STATUT CIVIL : libre comme l'air, elle aime jouer de ses traits fins et raffinés, mais son coeur est épris contre sa volonté.
ϟ ANCIENNE MAISON : les verts et argents, une fierté pour la jeune femme nostalgique du passé.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : sa baguette est en bois de rosier, en son coeur un cheveu de vélane, mesurant vingt-deux centimètres et demi, relativement souple. prédisposée aux sortilèges informulés dans lesquels elle excelle.
ϟ DON MAGIQUE : aucun recensé à ce jour, mais on dit qu'elle aurait du sang de vélane tant elle est envoûtante ce qui l'amuse plus qu'autre chose.
ϟ LOCALISATION : un petit appartement en plein cœur de Londres, non loin du chemin de traverse.
| Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Lun 7 Déc - 18:35 | |
| mateus et le scénario bienvenuuuuue |
| | | ϟ SORTILÈGES : 198
ϟ CRÉDITS : viif.
ϟ PSEUDO : viif.
ϟ AVATAR : mateus lages.
ϟ MES COMPTES : /
ϟ ÂGE DU PERSO : vingt-six.
ϟ SANG DE SORCIER : sang-mêlé.
≈ PROFESSION : auror.
ϟ STATUT CIVIL : célibataire.
ϟ ANCIENNE MAISON : serpentard.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : bois de laurier, moustache de fléreur, trente-deux centimètres.
| Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Lun 7 Déc - 21:34 | |
| björn ► mmh cette petite odeur de baston, j'aime ça ! (chauffe-moi ce lien ! ) ginevra ► mercii ! hestia ► une diggory, mais comment est-ce possible ! |
| | | | | | | ϟ SORTILÈGES : 198
ϟ CRÉDITS : viif.
ϟ PSEUDO : viif.
ϟ AVATAR : mateus lages.
ϟ MES COMPTES : /
ϟ ÂGE DU PERSO : vingt-six.
ϟ SANG DE SORCIER : sang-mêlé.
≈ PROFESSION : auror.
ϟ STATUT CIVIL : célibataire.
ϟ ANCIENNE MAISON : serpentard.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : bois de laurier, moustache de fléreur, trente-deux centimètres.
| Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Mer 9 Déc - 13:57 | |
| héhé j'aime de plus en plus mon choix, au vu des commentaires mercii |
| | | ϟ SORTILÈGES : 129
ϟ CRÉDITS : lucas
ϟ PSEUDO : visenya.
ϟ AVATAR : sarah gadon
ϟ MES COMPTES : lucian vasilescu
ϟ ÂGE DU PERSO : trente-ans.
ϟ SANG DE SORCIER : sang-mêlé, en remerciant son arrière-grand-mère de vélane.
≈ PROFESSION : langue-de-plomb & archéomage, elle a participé aux fouilles ayant permis la découverte des reliques de merlin et ne compte pas s'arrêter là.
ϟ STATUT CIVIL : fiancée à son (seul) et unique "amour", Ted Lupin, depuis une dizaine d'années. elle n'a jamais voulu sauté le pas.
ϟ ANCIENNE MAISON : serdaigle
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : tilleuil argenté, cheveu de vélane, 26 cm, prédisposée aux enchantements
| Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Mer 9 Déc - 22:04 | |
| J'ai l'accord de Maeve pour te valider, cette fiche est parfaite félicitations, tu es validé ! que la force soit avec toi ! Bienvenue officiellement sur le forum ! ça y est, jeune padawan, tu as réçu le test final, tu es officiellement validé ! Avant toute chose, laisse moi quelques mots sur ta fiche : avis sur la fiche du membre. Franchement, bravo ! et maintenant, un petit rappel de ce que tu ne dois pas oublier avant de commencer des RPs déjà, la danse de la joie de Dumbledore t'accueille sur le forum, clique ici (attention les yeux ). Maintenant, il faut que tu passes par ce portoloin pour recenser ton fabulous avatar ! C'est très important et nous te demandons d'être rigoureux sur ce point. D'autre part, qui dit validation, dit carnet d'adresses ! Tu vas pouvoir te créer un carnet pour gérer tes liens en te rendant sur ce sujet ! Lis bien les instructions avant de commencer Ensuite, il est important de passer dans cette partie pour te recenser où il faut. Premièrement, pense à t'enregistrer parmi les sorciers de grande-bretagne en cliquant ici. Ensuite, il faut bien travailler (au diable les paresseux ) alors viens demander un job ici et parce qu'on a tous été à l'école (même mondingus ) il faut bien recenser son parcours scolaire (et ses retenues) en cliquant ici. Enfin, avoir un toit sur la tête c'est mieux, alors demande un logement dans cette partie. D'autre part, si t'es un peu bizarre, que tu as des dents pointues etc... Viens recenser ton don magique dans cette partie. Si tu as décidé d'incarner un personnage issu d'un famille prédéfinie du forum, fais également un tour dans ce sujet. Ca y est, tu es presque en norme maintenant, sache que tu peux avoir le droit à quelques extras ! tout d'abord, tu peux créer un scénario ou un semi-pv dans cette partie pour les scénarios et celle-ci pour les semi-pv. Tu peux également créer ta propre famille de sorciers (cool hein ? ). Rends toi dans cette partie pour en savoir plus sur cette possibilité. Maintenant, tu peux t'éclater et faire la danse du feu tout d'abord, tu peux FLOODER parce que le flood, CEY LA VIE alors viens poster un petit mot tout doux ici et participer aux jeux du forum Découvre aussi la partie dédiée au shipland et aux RPs des membres en prenant ce portoloin. Tu vas t'éclater avec nous et si tu n'oses pas te lancer dans un RP tout de suite car tu es timide, nous avons LA solution lance une recherche de partenaire RP en postant ici. N'oublie pas de consulter régulièrement les nouveautés du forum pour être informé de l'arrivée des intrigues/events et des animations où tu es invité à participer ! Si tu as des questions, l'ensemble du staff reste à ta disposition TEMPORIS HEREDITAS 2015 |
| | | ϟ SORTILÈGES : 1157
ϟ CRÉDITS : scorp d'amour, january blues (avatar)
ϟ PSEUDO : marauders // marine
ϟ AVATAR : daniel sherman
ϟ MES COMPTES : maeve et amon.
ϟ ÂGE DU PERSO : vingt-sept poussières.
ϟ SANG DE SORCIER : sorcier de sang mêlé, fils ainé de la famille potter, il se moque de son sang et de sa nature.
≈ PROFESSION : actuel contrôleur du magicobus, il a enchaîné différents petits jobs à droite et à gauche, mais ce n'est pas ce qu'il souhaitait faire. Il y a deux ans, il a intégré l'équipe de réserve des Flèches d'Appleby, lors d'un match où il fut titularisé, il a eu un accident qui l'a rendu inapte à voler sur un balais.
ϟ STATUT CIVIL : engagé dans une relation compliquée avec garance rosier, ce que les médias aiment raconter et relayer dès que possible.
ϟ ANCIENNE MAISON : ancien élève de la maison gryffondor, il a amassé de nombreuses retenues durant sa scolarité.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : obtenue à l'âge de 11 ans, elle est taillée dans le bois d'un vieux frêne et contient en son coeur, un croc de loup-garou. Elle mesure vingt-neuf centimètres trois quart et se veut parfaitement rigide. La baguette est prédisposée aux maléfices.
ϟ LOCALISATION : à st-mangouste certainement, entrain de soigner ses blessures.
| Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Jeu 10 Déc - 10:52 | |
| je tenais à laisser un petit mot ici car j'ai demandé à justine de te valider, mais j'avais lu ta fiche, c'était pour éviter de te faire trop attendre car j'ai eu quelques imprévus j'espère que tu ne m'en veux pas ! ta fiche est parfaite, j'ai dévoré l'histoire et j'aime lucas, sa personnalité et ses traits de caractère |
| | | ϟ SORTILÈGES : 198
ϟ CRÉDITS : viif.
ϟ PSEUDO : viif.
ϟ AVATAR : mateus lages.
ϟ MES COMPTES : /
ϟ ÂGE DU PERSO : vingt-six.
ϟ SANG DE SORCIER : sang-mêlé.
≈ PROFESSION : auror.
ϟ STATUT CIVIL : célibataire.
ϟ ANCIENNE MAISON : serpentard.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : bois de laurier, moustache de fléreur, trente-deux centimètres.
| Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas Jeu 10 Déc - 13:18 | |
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| | | | Sujet: Re: je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas | |
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| | | | je sais pas comment m’y prendre avec les filles à part les attacher au radiateur ► lucas | |
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